Les principaux polluants dans l’air

5 06 2015

AFP, le 02/06/15
Article en lien avec le défi EDD  L’air que nous respirons est-il toujours bon pour la santé ?
Particules, ozone, dioxyde d’azote, métaux lourds… La pollution atmosphérique provient notamment de l’industrie, du chauffage et des transports, principalement via la combustion des énergies fossiles.
Plus que les pics, générés en partie par les conditions météorologiques ou la hausse saisonnière de certaines activités, c’est la pollution chronique qui préoccupe.
Outre le cancer, mis en avant par l’OMS, ses effets sur la santé sont multiples.
– Les particules : Matières microscopiques en suspension dans l’air, ce sont elles qui, en ville, noircissent les façades des immeubles.
On distingue les PM10 (diamètre inférieur à 10 microns) qui proviennent surtout des processus mécaniques comme les activités de construction, et les particules fines (PM 2,5, diamètre inférieur à 2,5 microns), issues des effluents de combustion du bois ou des carburants (essentiellement le diesel) ainsi que des vapeurs industrielles.
Elles sont considérées comme le « polluant atmosphérique le plus nocif pour la santé humaine en Europe », par l’Agence européenne de l’environnement (AEE): 90% des urbains y sont exposés au-delà des seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Les particules les plus petites, qui génèrent le plus d’inquiétudes sur le plan sanitaire, pénètrent dans les ramifications profondes des voies respiratoires, mais aussi le sang. Outre le cancer, une exposition peut entraîner de l’asthme, des allergies, des maladies respiratoires ou cardio-vasculaires.
– Les oxydes d’azote (NOx) : Le monoxyde d’azote (NO) mais surtout le dioxyde d’azote (NO2), principalement formé lors des processus de combustion, notamment dans les moteurs de voiture ou les centrales électriques.
Le dioxyde d’azote est le plus nocif des deux pour la santé humaine. Lié au transport routier, il touche surtout les villes. C’est un « gaz irritant qui engendre une hyperactivité bronchique », selon le ministère de l’Ecologie. Il augmente la fréquence et l’intensité des crises d’asthme et peut favoriser des affections pulmonaires chez l’enfant.
En 2012, le secteur des transports représentait 59% des émissions de NO2, selon le ministère de l’Ecologie.
– L’ozone (O3) : Cet autre polluant majeur est issu de réactions chimiques, sous l’effet du soleil, impliquant plusieurs polluants émis dans l’air, comme les oxydes d’azote et les composés organiques volatils (hydrocarbures, solvants…).
« L’ozone est un gaz puissant et agressif » qui, à des taux élevés, « corrode les matériaux, les bâtiments et les tissus vivants », écrit l’AEE. Il réduit notamment la capacité des végétaux à assurer la photosynthèse et, dans le corps, entraîne une « inflammation des poumons et des bronches ».
Transport routier, agriculture, industrie manufacturière sont à l’origine des principaux polluants à l’origine de l’ozone.
– Autres : Le dioxyde de soufre (industrie) est à l’origine de nombreuses pathologies respiratoires. Le benzène est issu de la combustion du bois de chauffage et du transport. Ou encore l’ammoniac (NH3), aux émissions dues à 97% à l’agriculture.
L’industrie émet également des métaux lourds – plomb, cadmium, nickel, arsenic, mercure – qui s’accumulent dans l’organisme.
<http://information.tv5monde.com/en-continu/les-principaux-polluants-dans-l-air-36487>



Infographies Développement Durable

18 02 2015

Sans titre 1

Publié sur http://e-rse.net/

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Infographies en lien avec la protection de l’environnement, le développement durable et la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE).

Au sommaire

  • Quel est l’Impact de la Dégradation de l’Environnement sur notre Santé ?
  • Mobilité et Transport Durable : un Connecteur entre les Territoires et les Citoyens
  • Changement Climatique : 5 Actions Concrètes pour Réduire notre Impact Environnemental
  • Pollution en Mer : les Ravages du Plastique
  • Le Gaspillage Alimentaire
  • La Seconde vie des Déchets Issus de la Fabrication des Bouteilles d’Eau en Plastique
  • Télécoms et Ressources Rares : quels Défis pour les Industriels et les Consommateurs ?
  • Consommation Collaborative


ALERTE – DÉPASSEMENT DU SEUIL DE POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE

13 02 2015

Courriel reçu par toutes les écoles du département

En lien avec le défi EDD « L’air que nous respirons est-il toujours bon pour la santé ?« 

Mesdames et Messieurs les chefs d’établissement,

Monsieur le Préfet du Val-de-Marne informe :
ALERTE – DEPASSEMENT EN ILE DE FRANCE DU SEUIL DE POLLUTION ATMOSPHERIQUE AUX PARTICULES – JOURNEE DU 12 FEVRIER 2015

Recommandations :

– privilégier les activités calmes et éviter toutes les activités physiques et sportives intenses, notamment s’abstenir de concourir aux compétitions sportives ;
– respecter scrupuleusement les traitements médicaux en cours à visée respiratoire ou les adapter sur avis du médecin.

Pour plus d’information, vous pouvez consulter les sites suivants :
www.airparif.asso.fr
www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr

Nous vous souhaitons bonne réception de la présente.

Le cabinet de la directrice académique du Val-de-Marne



Vidéo : Les services écologiques

28 06 2014

dailymotion.com
Cette vidéo animée aborde successivement :
1. La biodiversité à la base des services écologiques
2. Qu’appelle-t-on services écologiques ?
3. Les 5 grandes causes d’érosion de la biodiversité
4. Comment préserver notre capital naturel ?
Durée : 13′



Services écologiques fournis par les écosystèmes marins et côtiers en France

10 04 2014

 

services écologiques

Panorama des services écologiques fournis par les milieux naturels en France : Les écosystèmes marins et côtiers

Les services écologiques se répartissent en 4 catégories :
• les services de support ou fonctions écologiques, sont à la base de l’ensemble des services car ils permettent le maintien du fonctionnement de l’écosystème. Une fonction écologique peut contribuer à plusieurs services et inversement un service peut être issu de plusieurs fonctions. Ce lien entre fonctions et services explique l’étroite dépendance entre la bonne santé des écosystèmes et la qualité et la pérennité des services écologiques qu’ils rendent ;
• les services d’approvisionnement correspondent à la production de biens ;
• les services de régulation sont responsables du contrôle des processus naturels ;
• les services culturels sont des services non matériels, obtenus à travers les loisirs et le tourisme, l’éducation et la recherche et l’enrichissement artistique, patrimonial et spirituel.

UICN_France_services_ecologiques_marins_et_cotiers



Airparif, vigie au quotidien de la qualité de l’air en Ile-de-France

19 03 2014

airparif

Publié le 17-03-2014 sur http://www.sciencesetavenir.fr/

Article en lien avec le défi EDD L’air que nous respirons est-il toujours bon pour la santé ?

Paris (AFP) – Airparif assure en Ile-de-France le rôle de vigie de la qualité de l’air: au même titre que 26 autres associations de l’Hexagone et d’Outre-Mer, elle scrute au quotidien les taux de polluants et informe autorités et citoyens en cas de niveaux trop élevés.

« Nous avons une mission de surveillance de la qualité de l’air et de prévision, c’est ce dont on parle depuis 10 jours – et une mission d’évaluation a priori des mesures de politiques publiques, comme l’impact des plans de déplacement urbains », explique Anne Kauffmann, directrice-adjointe d’Airparif.

Si Airparif est née en 1959, d’autres associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) ont été créées au fil des ans et maillent aujourd’hui le territoire français: Air Rhône-Alpes, AirPaca, Oramip en Midi-Pyrénées, AirBreizh, Atmo Picardie, Aspa en Alsace, etc.

Au total, il existe 27 AASQA, regroupées dans la fédération Atmo France, et qui sont financées par l’Etat, les collectivités et les industriels.

Chaque jour, un indice de la qualité de l’air est calculé par ces organismes en combinant les concentrations enregistrées ou prévues de quatre polluants majeurs: dioxyde de souffre, oxydes d’azote, ozone et particules (PM10 et PM2,5).

Cet indice, exprimé sur une échelle de 1 (très bon) à 10 (très mauvais), « est un indicateur simplifié prenant en compte le niveau maximum de pollution attendu pour chaque polluant », indique Anne Kauffmann. « Cela donne une image de la qualité de l’air tout polluant confondu ».

Chaque polluant a sa propre échelle de dangerosité: ainsi avec les poussières fines appelées particules, il faut que l’exposition moyenne quotidienne soit comprise entre 28 et 34 microgrammes par m3 pour un indice 5. Avec l’ozone, pour avoir un indice 5, il faut une concentration horaire maximale entre 105 à 129 microgrammes par m3.

Pour le dioxyde d’azote, c’est aussi la concentration horaire maximale qui est prise en compte. Quant au dioxyde de souffre, il a quasiment disparu en Ile-de-France, indique Airparif, mais ce qui n’est pas le cas partout, notamment à proximité de sites industriels.

On respire mieux qu’il y a 20 ans

Pour leurs calculs quotidiens, les agents d’Airparif s’appuient sur les données relevées dans 52 stations de mesure, équipées de capteurs.

A cela, s’ajoute « un système de modélisation qui permet de cartographier la pollution réelle et de la prévoir pour les jours suivants », explique Anne Kauffmann.

Lundi, les concentrations en particules devaient être comprises entre 40 et 55 microgrammes par m3 en moyenne journalière. Pour mardi, Airparif est plus optimiste et prévoit une « nette amélioration » avec des maximum entre 25 et 35 microgrammes.

« Les modèles utilisent des prévisions météo, car la qualité de l’air est très dépendante de la météo, et les émissions attendues sur le trafic routier, l’activité industrielle, etc. », détaille la responsable d’Airparif.

« Cela nous permet par exemple de modéliser les émissions lundi à 09H00… Ces dernières années, les capacités de modélisation ont beaucoup progressé », poursuit-elle, en précisant que des cartes avec l’exposition annuelle à l’échelle des communes sont disponibles sur le site internet (www.airparif.asso.fr).

Au cours des dernières années, « notre mission de base a peu évolué mais les attentes du public sont de plus en plus importantes, notamment concernant la qualité de l’air près de chez soi », note la directrice adjointe d’Airparif.

En dépit de la crise de pollution aiguë que vient de vivre l’Ile-de-France, « on respire bien mieux qu’il y 20 ans », assure Anne Kauffmann, en soulignant des concentrations réduites de particules et de dioxyde d’azote.

Mais « l’ampleur du travail encore à faire » reste néanmoins « énorme pour descendre en dessous des seuils réglementaires », prévient-elle. Car au delà des pics, « il s’agit de faire baisser les émissions de manière permanente »: cela permettra de limiter l’exposition des Franciliens tout au long de l’année et les coûts sanitaires qui y vont avec, et de limiter l’ampleur des pics lorsque les conditions météo sont défavorables.



Pollution aux particules : que sont-elles ? quel effet pour la santé ?

14 12 2013

pollution

Publié le 13 décembre 2013 sur www.charentelibre.fr

Un épisode de pollution aux particules affecte une partie de la France, jusqu’à atteindre un seuil d’alerte dans certaines régions. De quoi parle-t-on ? Quels effets pour la santé ? Comment se protéger ?

Article en lien avec le défi EDD L’air que nous respirons est-il toujours bon pour la santé ?

Qu’est-ce qu’une particule et quand déclenche-t-on une alerte ?

Ce sont des poussières, de compositions diverses et en suspension dans l’air, au diamètre égal ou inférieur à 10 microns, soit 0,01 millimètre (PM10). Elles sont émises par la combustion des carburants (principalement diesel), le chauffage (notamment bois et fioul), et la transformation de combustibles fossiles dans l’industrie.

Quand la concentration atteint 50 microgrammes/m3 en moyenne sur 24 heures, le seuil d’information est déclenché car on considère qu’une exposition présente un risque pour les personnes les plus fragiles (bébés, personnes âgées, malades).

A partir de 80 microgrammes/m3, la procédure d’alerte est déclenchée car il y a un risque pour l’ensemble de la population. Des mesures, comme la baisse des vitesses maximales autorisées sur les voies rapides, sont alors prises par chaque préfecture.

Selon les normes européennes, il ne faut pas dépasser le seuil d’information plus de 35 jours par an. En France, 16 agglomérations ont dépassé cette norme en 2012.

Quand interviennent les pics de pollutions et où ?

Les pollutions sont plus fréquentes en hiver en raison du recours accru au chauffage et des conditions météorologiques souvent défavorables à la dispersion des polluants, comme le temps anticyclonique actuel.

Elles sont également favorisés par un phénomène dit d' »inversion de température ». En situation normale, la température de l’air diminue avec l’altitude et l’air chaud contenant les polluants s’élève naturellement. En situation d’inversion de température, avec le sol qui se refroidit notamment pendant la nuit en hiver, les polluants se trouvent piégés par un « couvercle » d’air chaud.

Les régions les plus polluées sont le Nord-Pas-de-Calais, Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Rhône-Alpe, soit essentiellement des milieux urbains et/ou industriels, mais aussi des zones encastrées comme des vallées en montagne où la dispersion s’opère mal.

Pourquoi les particules sont-elles dangereuses ?

Elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires, créant des inflammations avec un effet immédiat (toux, essoufflement, maux de gorge, de tête…), plus marqué chez les personnes plus fragiles: enfants dont les poumons ne sont pas encore totalement formés, personnes âgées dont la capacité respiratoire est plus faible, fumeurs au système respiratoire déjà irrité par le tabac, malades du cœur et des voies respiratoires, et femmes enceintes.

Sur des sujets très fragiles, un épisode aigu de pollution peut provoquer des hospitalisations, voir des décès.

En dehors des pics, la pollution chronique est tout aussi néfaste, avec des effets à long terme : aggravation de l’asthme, atteinte du système immunitaire, diminution de la fonction respiratoire, cancer du poumon, maladies vasculaires…

Les particules fines (diamètre inférieur à 2,5) ont été classées « cancérigènes certains » par l’Organisation mondiale de la Santé.

Que faire pour réduire son exposition ?

Les plus fragiles doivent réduire leurs activités physiques dès le seuil d’information. Pour l’ensemble de la population, il est recommandé de ne pas faire de sport, y compris prendre son vélo pour les déplacements, lorsque le seuil d’alerte est atteint. Un individu inhale 15 litres d’air en moyenne en marchant, et jusqu’à 100 litres lors d’activités d’endurance.

Il faut également s’éloigner des axes routiers très fréquentés. Il est néanmoins recommandé de continuer à aérer son logement. Quant aux masques de protection (type chirurgie), ils n’arrêtent pas les particules.



La pollution de l’air coûte cher au système de santé français

16 10 2013

 

pollution air

Publié le 10.10.2013 sur http://www.lemonde.fr/planete/

En lien avec le défi EDD L’air que nous respirons est-il toujours bon pour la santé ?

Asthme, bronchites, cancers… la pollution de l’air coûte de 0,7 à 1, 7 milliard d’euros par an au système de soins en France, selon un document daté d’octobre du Commissariat général au développement durable (CGDD). « Les montants en jeu ne sont pas négligeables » et « peuvent venir appuyer utilement les démarches (…) de protection et d’amélioration de la qualité de l’air », souligne l’organisme. Par comparaison, le tabac coûte 18,3 milliards d’euros, d’après le Comité national contre le tabagisme.

L’asthme, avec de 400 000 à 1 400 000 nouveaux cas par an attribuables à la pollution, est « l’exposition chronique qui est globalement la plus préjudiciable en termes d’impact sanitaire »‘, avec un coût total situé entre 335 000 et 1,1 milliard d’euros. Suivent les bronchites aiguës (950 000 nouveaux cas), les bronchites chroniques (134 000 cas), et les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO, entre 26 000 et 39 500 cas).

Le CGDD compte également les nombreuses hospitalisations pour traiter des difficultés respiratoires, circulatoires ou cardiaques (33 500 cas). Le nombre de cancers des voies respiratoires est, lui, « beaucoup moins » important avec entre 1 684 et 4 400 nouveaux malades par an. Mais « le coût total reste élevé, entre 53 millions et 138 millions d’euros, compte tenu des coûts de protocole de soins et des longues durées d’arrêt de travail du patient ».

ESTIMATION MINIMALE

« C’est la première fois qu’on obtient des résultats aussi complets sur le périmètre de ces coûts tangibles et les montants obtenus sont supérieurs à ceux des études existantes », souligne le CGDD, précisant qu’il ne s’agit que d’une estimation « minimale » sans prendre en compte les examens complémentaires en dehors du circuit hospitalier, ni les suites de maladies sur plusieurs années.

S’intéressant en particulier aux particules, PM 10 (d’un diamètre inférieur à 10 microns) et PM 2,5 (moins de 2,5 microns), le CGDD rappelle que ces dernières sont jugées responsables de 42 000 décès depuis 2000. Selon un autre calcul prenant en compte la mortalité (décès, années de vie perdues), la morbidité (admissions hospitalières, journées d’activité restreinte…), mais aussi les pertes économiques du fait des arrêts de travail, « les coûts liés à la perte de bien-être », ou encore « la restriction des activités de loisir », le coût de cette pollution est estimé entre 20 à 30 milliards pour la collectivité.

Les principaux polluants atmosphériques en France sont les particules, mais aussi le dioxyde de soufre, les oxydes d’azote, les composés organiques volatiles (tel le benzène), et des métaux comme le plomb. En zone urbaine, ils sont principalement émis par les transports routiers (notamment utilisant le diesel) et des bâtiments (chauffage, production d’eau chaude…). Un adulte inspire en moyenne chaque jour 12 000 litres d’air.

Le point sur la pollution de l’air et santé : les maladies respiratoires et le coût pour le système de soin

 



Un air toujours trop pollué à Paris, mais des progrès depuis dix ans

5 07 2013

Article en lien avec le défi EDD sur l’air et la santé http://www.ia94.ac-creteil.fr

Publié le jeudi 04 juillet 2013 sur http://news.doctissimo.fr/

Les Parisiens respirent globalement un air un peu moins pollué qu’il y a dix ans, mais les concentrations en dioxyde d’azote et en particules restent encore supérieures aux normes, selon une étude commanditée par la municipalité parisienne à l’organisme de mesures Airparif rendue publique mercredi.

La qualité de l’air générale dans Paris s’améliore depuis 10 ans, même si les niveaux restent supérieurs à la réglementation, notamment le long du trafic.

À un an des élections municipales, la Ville de Paris n’a pas manqué de se féliciter des progrès constatés entre 2002 et 2012, y voyant l’effet de ses « efforts réalisés pour réduire à la fois le trafic routier et la vitesse de circulation« .

Selon Airparif, l’étude montre que « la qualité de l’air générale dans Paris s’améliore depuis 10 ans, même si les niveaux de pollution restent supérieurs à la réglementation, notamment le long du trafic« . Une amélioration toutefois ralentie par la diésélisation du parc automobile.

De plus, cette amélioration de la qualité de l’air a vraisemblablement été plus forte entre 2002 et 2007, la tendance étant plutôt à la stabilité depuis 2007, souligne Airparif.

Pour le dioxyde d’azote et les particules, deux polluants particulièrement nocifs pour la santé, « la baisse s’explique d’abord et surtout par l’amélioration générale de la qualité de l’air en Ile-de-France grâce aux actions menées tant au niveau national qu’européen et sur l’ensemble des sources de pollution : trafic bien sûr, mais aussi chauffage et industrie« , souligne Airparif.

« Elle s’explique ensuite par les aménagements réalisés dans Paris intra-muros qui ont abouti à la diminution générale du trafic (-15 à -20%) (…) et une diminution de la vitesse d’environ 2 km/h dans Paris (de 19 km/h à 17 km/h)« , ajoute l’organisme.

« Reste que, pour les deux polluants, de 22% (pour les particules) à 97% (pour le dioxyde d’azote) des Parisiens sont toujours exposés à un air dont la qualité ne respecte pas les normes annuelles« , remarque Airparif même s’ils sont globalement exposés à des niveaux en baisse.



La matière : connaissances et activités

22 11 2012

Texte du diaporama, guide de la formation de Claude Chat sur les états et les propriétés de la matière au cycle 1 :

états et propriétés de la matière

 

Quelques documents pour les 3 cycles trouvés sur le site de l’IUFM de Créteil :

Connaiss chang etats iufm C1-2-3

connaiss matière iufm C1-2-3

flottabilite C1-2-3

etat changement C1-2-3

air C1-2-3

melanges solutions C1-2-3

trajet eau C1-2-3