L’empreinte carbone des transports

5 08 2015

Publié par l’AFP, le 31/07/15

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Les transports, avec l’agriculture et le chauffage, sont parmi les principaux responsables de la pollution de l’air et des émissions de gaz à effet de serre, qui contribuent au réchauffement climatique.Mais chaque mode de transport n’émet pas la même quantité de CO2… Petit tour d’horizon en vidéographie.
Vidéo à voir à :
<https://www.youtube.com/watch?v=W2s2qzh7UY0&index=1&list=PLAo5j5U8Vm-t4hk38FQ-mjn0lpP6EG4Ex>

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=W2s2qzh7UY0&index=1&list=PLAo5j5U8Vm-t4hk38FQ-mjn0lpP6EG4Ex[/youtube]



Paris, Oslo, Seattle : les villes coupent les vivres aux énergies fossiles

16 04 2015

terraéco

Publié sur terramare.net, le 10/04/15

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm
C’est décidé, ce mois d’avril marquera la fin des investissements de la ville d’Oslo dans le charbon. Mieux, la capitale norvégienne va se débarrasser des 40 millions de couronnes (4,6 millions d’euros) qu’elle détient déjà dans ce secteur via son fonds de pension, indique La Tribune. Quelques semaines plus tôt, Paris faisait un pas dans la même direction. Le 16 mars, sous l’impulsion de Jérôme Gleizes, élu Europe Ecologie – Les Verts, le conseil municipal a voté un vœu contre les investissements dans « les secteurs contribuant au changement climatique ». Pour l’heure, il ne s’agit que d’une incitation, mais à terme le fonds de dotation de la ville – chargé de recevoir les dons et de financer des projets – pourrait se priver complètement de l’argent des industries fossiles, selon Célia Blauel, adjointe à l’environnement citée par Mediapart. Bien avant Paris et Oslo, les villes américaines de Seattle et de San Francisco avaient déjà franchi le pas en s’interdisant tout placement dans l’industrie fossile.
A quelques mois de la conférence sur le climat, la COP 21 qui se tiendra à Paris en décembre prochain, le mouvement de désinvestissement Fossil Free – né en 2011 sur les campus américains – prend de l’ampleur. Sous l’impulsion de l’activiste Bill McKibben à la tête de l’ONG 350.org, des institutions s’engagent à ne plus financer l’extraction d’énergies fossiles. Après l’université de Stanford, l’Eglise de Suède et la fondation Rockefeller ont pris cet engagement. « Au total, plus de 200 institutions ont mis fin à leur investissement dans ce secteur, pour un montant total de 50 milliards de dollars (46 milliards d’euros) », se félicitent Bill McKibben et l’essayiste canadienne Naomi Klein dans une tribune publiée dans Le Monde. L’ambition du mouvement ? Ternir la réputation de l’industrie du gaz, du pétrole et du charbon pour que, faute d’investisseurs, ces émetteurs de gaz à effet de serre restent sous terre.



La Russie s’engage dans la lutte contre le réchauffement climatique

16 04 2015
novethic
COP 21 : en amont de la conférence de Paris, la Russie s’engage dans la lutte contre le réchauffement climatique,
Publié sur novethic.fr, le 01/04/15
Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm
La Russie a publié ce 31 mars au soir sa contribution en vue de la COP21, se positionnant ainsi in extremis comme membre des pays moteurs dans la lutte contre le changement climatique. Un engagement de bon augure pour la signature d’un accord mondial à Paris à la fin de l’année. Le quatrième émetteur de gaz à effet de serre dans le monde prévoit en effet une réduction de 25 à 30% de ses émissions d’ici à 2030.
À Doha en 2012, la Russie bloquait les négociations sur le climat. Elle réclamait une compensation pour les « dommages » subis par la pollution des pays occidentaux. Cette fois, le pays s’affiche parmi les premiers contributeurs à l’accord susceptible d’être signé à Paris en fin d’année. Son objectif : réduire de 20 à 25% les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030, par rapport au niveau de 1990.
Avec une réserve, cependant : la prise en compte de la capacité maximale d’absorption de ses immenses forêts. Puits de carbone, la Russie concentre sur son territoire 70% des forêts boréales et 25% des ressources forestières mondiales. « L’utilisation rationnelle, la protection, l’entretien et le reboisement, c’est-à-dire la gestion de la forêt, est l’un des éléments les plus importants de la politique russe de réduction des émissions de gaz à effet de serre », souligne la Russie dans le document publié sur le site des Nations Unies en vue de la COP21.
Impact du réchauffement
Feux de tourbières, fonte du sol gelé des régions arctiques, apparition de cratères en Sibérie avec émanation de méthane, pertes de récoltes colossales dues à la sécheresse… La Russie commence en effet à ressentir l’impact du réchauffement de la planète.
Selon l’École des hautes études en sciences économiques de Moscou, les pertes économiques liées au changement climatique pourraient représenter entre 200 et 700 milliards de dollars par an d’ici quelques années. Fournisseur majeur de combustibles fossiles, la cause principale des émissions de gaz à effet de serre, la Russie en est aussi l’une des premières victimes.


Rénovation des bâtiments scolaires : remplacer les systèmes de chauffage réduit les coûts

3 04 2015

Sans titre 1

Publié sur actu-environnement.com le 26/03/15

Energies et Avenir, qui rassemble les acteurs du chauffage à eau chaude, met en avant les gains énergétiques et financiers générés par la maintenance ou le remplacement des installations thermiques, lors des rénovations des bâtiments d’enseignement.
En France, les bâtiments d’enseignement représentent près de 20% du parc tertiaire public et privé, soit environ 180 millions m2, qui feront l’objet d’obligation de réhabilitation énergétique d’ici 2020. Selon Le Moniteur, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal espère la publication « avant l’été » de son décret d’application. Ce texte devait entrer en vigueur en 2012, selon la loi Grenelle 2 de juillet 2010.
Obligations de rénovation du parc tertiaire
Le décret tertiaire « doit fixer l’objectif à 2020 de réduction des consommations d’énergie d’au moins 38% [fixé par la loi Grenelle 1 d’août 2009 pour le parc existant, ndlr], sans distinction des qualités intrinsèques des bâtiments », a précisé la ministre. En attendant ce texte, le Plan Bâtiment durable, présidée par Philippe Pelletier, avait lancé en octobre 2013 une charte d’engagement volontaire signée à ce jour par une centaine d’adhérents. Selon un bilan de cette charte présentée en septembre 2014, les signataires ont adopté un objectif de réduction de leur consommation d’énergie, de l’ordre de 25 à 30%, le plus souvent à réaliser sous une dizaine d’années.
Le projet de loi sur la transition énergétique, adopté en première lecture par l’Assemblée et le Sénat, prévoit également de prolonger l’obligation de rénovation énergétique du parc tertiaire « par période de dix ans à partir de 2020 » avec pour objectif une « réduction des consommations d’énergie finale d’au moins 60% en 2050 par rapport à 2010 ». Ce texte fixe aussi l’objectif ambitieux d’un parc immobilier entièrement rénové aux normes bâtiment basse consommation (BBC) à l’horizon 2050. Ce qui représenterait une consommation de 80 kWep/m²/an (kilowattheure d’énergie primaire par mètre carré par an).
Dans ce contexte réglementaire, l’association professionnelle Energies et Avenir a identifié dans une étude, présentée le 25 mars, « les solutions de travaux les plus performantes » pour aider les pouvoirs publics et les professionnels à rénover les bâtiments d’enseignement primaire et secondaire. L’étude a analysé une école maternelle et élémentaire datant de 1985, une école élémentaire et un collège construits avant 1980 et un lycée datant des années 70. Ces bâtiments représentent « une grande diversité de surfaces utiles, allant de moins de 1.000 m2 pour l’école élémentaire simple à plus de 6.000 m2 pour le lycée avec cantine et internat », indique l’étude. La plupart d’entre eux ont fait l’objet de rénovations depuis leur construction, « mais il s’agit plutôt du changement de systèmes de chauffage ou de l’éclairage ».
Des gains énergétiques de 20 à 60% Lire la suite »



Covoiturage sur autoroutes

30 03 2015

Publié par AFP le 26/03/15

Vinci Autoroutes et le site de covoiturage BlaBlaCar ont mis en place un partenariat pour développer ce mode de transport sur les autoroutes, avec une offre de télépéage dédiée et la création de 1.500 places de parking.
Ce partenariat vise à mettre en relation les membres de BlaBlaCar et les automobilistes qui empruntent le réseau Vinci Autoroutes, sur lequel 19 parkings de covoiturage sont créés, soit 1.500 places, ont-ils annoncé jeudi dans un communiqué de presse.
Par ailleurs, une offre de télépéage dédiée, nommée « Temps Libre Covoiturage », est créée, « incluant la gratuité des frais de gestion, valable à partir de deux covoiturages longue distance par mois, réservés sur BlaBlaCar et effectués sur le réseau Vinci Autoroutes », détaillent les partenaires dans un communiqué de presse.
BlaBlaCar revendique 10 millions de membres, dont 2 millions qui covoiturent chaque mois.
Des expérimentations ont déjà été menées par Vinci Autoroutes avec les collectivités locales, à Briis-sous-Forges (Essonne), où la « première gare autoroutière d’Europe » a été mise en service en 2005, et à Longvilliers-Dourdan (Yvelines) sur l’A10 avec la réalisation d’un « parking de comodalité », mis en service en 2013.
L’entreprise envisage à l’avenir « l’accompagnement du développement des liaisons inter-cités par autocar », et prévoit la création de « gares routières et d’aires de service dédiées aux autocaristes », ainsi que « le financement, la réalisation et la gestion au quotidien de voies dédiées sur les voies rapides, en banlieue des grandes métropoles, pour favoriser le développement des lignes express d’autocars et du covoiturage ».
Vinci Autoroutes a conduit une étude en mars 2013 sur son réseau, qui « a permis de constater que 89% des déplacements en covoiturage sont liés à l’activité professionnelle : 46% sont associés à des déplacements professionnels (parcours moyen de 286 km aller-retour), 43% à des trajets domicile-travail (parcours moyen de 194 km aller-retour) ».
<http://information.tv5monde.com/en-continu/partenariat-entre-vinci-autoroutes-et-blablacar-pour-le-covoiturage-sur-autoroutes-24551>



Infographies Développement Durable

18 02 2015

Sans titre 1

Publié sur http://e-rse.net/

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Infographies en lien avec la protection de l’environnement, le développement durable et la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE).

Au sommaire

  • Quel est l’Impact de la Dégradation de l’Environnement sur notre Santé ?
  • Mobilité et Transport Durable : un Connecteur entre les Territoires et les Citoyens
  • Changement Climatique : 5 Actions Concrètes pour Réduire notre Impact Environnemental
  • Pollution en Mer : les Ravages du Plastique
  • Le Gaspillage Alimentaire
  • La Seconde vie des Déchets Issus de la Fabrication des Bouteilles d’Eau en Plastique
  • Télécoms et Ressources Rares : quels Défis pour les Industriels et les Consommateurs ?
  • Consommation Collaborative


ALERTE – DÉPASSEMENT DU SEUIL DE POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE

13 02 2015

Courriel reçu par toutes les écoles du département

En lien avec le défi EDD « L’air que nous respirons est-il toujours bon pour la santé ?« 

Mesdames et Messieurs les chefs d’établissement,

Monsieur le Préfet du Val-de-Marne informe :
ALERTE – DEPASSEMENT EN ILE DE FRANCE DU SEUIL DE POLLUTION ATMOSPHERIQUE AUX PARTICULES – JOURNEE DU 12 FEVRIER 2015

Recommandations :

– privilégier les activités calmes et éviter toutes les activités physiques et sportives intenses, notamment s’abstenir de concourir aux compétitions sportives ;
– respecter scrupuleusement les traitements médicaux en cours à visée respiratoire ou les adapter sur avis du médecin.

Pour plus d’information, vous pouvez consulter les sites suivants :
www.airparif.asso.fr
www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr

Nous vous souhaitons bonne réception de la présente.

Le cabinet de la directrice académique du Val-de-Marne



Courts-métrages « Autrement »

11 12 2014

Des initiatives porteuses de sens, ADEME, Collège des transitions sociétales & TéléNantes, 02/12/14
telenantes
En partenariat avec l’ADEME et le Collège des transitions sociétales, Télénantes réalise actuellement une série intitulée AUTREMENT.
Ces courts-métrages de 12 mn ont pour objectif de partager des initiatives porteuses de sens, accessibles à tous, chez soi ou à son travail.
Vous trouverez les premiers N° sur le site du Collège :
Numéro 1 : Alimentation autrement
Numéro 2 : Réemploi, la solution contre le gaspillage !
Numéro 3 : Production d’énergies renouvelables, l’option citoyenne
Numéro 4 : Le compostage pour tous 
Numéro 5 : Pour les fêtes, si on consommait autrement ?
A voir et à partager à :
<http://www.emn.fr/z-de/cts-pdl/index.php?page=autrement>



Vidéo : Les services écologiques

28 06 2014

dailymotion.com
Cette vidéo animée aborde successivement :
1. La biodiversité à la base des services écologiques
2. Qu’appelle-t-on services écologiques ?
3. Les 5 grandes causes d’érosion de la biodiversité
4. Comment préserver notre capital naturel ?
Durée : 13′



15% d’économies d’énergie et… en famille !

2 06 2014

Publié le 30 mai 2014 sur http://www.presse.ademe.fr/2014/05/15-deconomies-denergie-et-en-famille.html

7500 familles – accompagnées par 110 Espaces INFO->ÉNERGIE (EIE) – ont participé cette année au défi « Familles à énergies positives », soutenu par l’ADEME et coordonné par l’ONG Prioriterre.

Visuel FEP

Objectif : diminuer de 8 % leur consommation d’énergie par rapport à l’hiver précédent, grâce à des actions sur le chauffage, l’eau chaude, les équipements électriques…

Avec une moyenne d’économies de 15 % , soit près de 13GWh sur une année et un gain sur la facture d’environ 200 euros, l’objectif est largement atteint ! Ils étaient cette année 50 % d’inscrits en plus par rapport à l’édition 2012-2013.

Une réussite qui incite certains à aller plus loin : un tiers des familles a investi dans des appareils de chauffage plus performants, de la régulation ou encore l’isolation et plus de la moitié des participants envisage des travaux à plus long-terme pour pérenniser les économies réalisées et, pourquoi pas, en réaliser encore davantage.

Au-delà d’un intérêt économique, le défi « Familles à énergies positives » a conduit surtout à une prise de conscience qu’il est possible de réduire sa consommation d’énergie, et donc sa facture, avec quelques bonnes habitudes. Appareils branchés sur des multiprises éteintes la nuit, volets fermés pour conserver la chaleur, minuteur dans la douche pour économiser l’eau chaude : c’est tout le quotidien de ces familles qui a été revu pour consommer moins sans réduire le niveau de confort.

Chaque participant a bénéficié d’un suivi attentif des conseillers des EIE : mesures des consommations actuelles, formation, guide de bonnes pratiques…

De l’avis de tous, la motivation et l’envie de se surpasser naît aussi de la possibilité de comparer ces résultats entre familles. Depuis le lancement de l’initiative en 2008, ce sont 16 000 familles qui ont relevé le Défi.

Le défi Familles à énergie positive

L’association Prioterre