EDD au cycle 2 : Explorer les organisations du monde

13 07 2017

http://eduscol.education.fr/cid100805/questionner-l-espace-et-le-temps.html#lien2

Progressivement, au cycle 2, les élèves développent des savoir-faire et des connaissances leur permettant de comprendre qu’ils font partie d’une société organisée qui évolue dans un temps et un espace donnés. Les ressources ci-dessous proposent des séquences de classe accompagnées de vidéos permettant de comparer des modes de vie des hommes et des femmes et des représentations du monde, de comprendre qu’un espace est organisé.

Comparer des modes de vie

Comprendre qu’un espace est organisé

Introduction

Séquence au CP : la classe, un espace organisé qui se représente.

Séquence au CE1 à partir de l’album Un lion à Paris, Béatrice Alemagna, édit. Autrement jeunesse.

Séquence au CE2 : l’organisation spatiale du quartier comparée à celle du village.



Enseigner la géographie au primaire

2 11 2016

Par cafepedagogique.net, le mercredi 02 novembre 2016

« C’est la très vaste question de l’habiter qui domine les textes de 2016. Des grandes migrations à l’échelle mondiale à la micro échelle du quartier en passant par de nombreux espaces intermédiaires, la question du vivre ensemble des populations peut constituer un vrai sujet d’étude pertinent ». Intervenant lors de l’Université d’automne du Snuipp, Xavier Leroux, professeur des écoles à Tourcoing et membre associé au Laboratoire « Discontinuités » de l’Université d’Artois, fait un point sur l’enseignement de la géographie à partir des nouveaux programmes.

Quelles implications spatiales dans les pratiques du quotidien ?

L’introduction, dans les nouveaux programmes de géographie du primaire bouleverse fortement la façon dont peut être enseignée la discipline. Habiter signifie ici se loger, travailler, consommer, se déplacer, autant de pratiques du quotidien qui ont leur implications spatiales. L’échelle de l’habiter convoque une approche par thèmes qu’il conviendra de cerner à des échelles variées puisque l’être humain organise sa vie autour de plusieurs lieux. Dans sa conférence, Xavier Leroux aborde la spécificité de l’échelle locale, la construction de l’outillage méthodologique sans oublier la question de la temporalité dans l’espace qui constitue un prisme nécessaire pour appréhender la manière dont sont organisés les territoires mais également dont ils se développent.

Après ce petit détour qui précise les contours de la discipline, Xavier Leroux va, tout au long de sa conférence, illustrer cette présentation par des situations didactiques qu’il met en œuvre dans sa classe.

 

Ma petite géographie

On demande aux élèves de citer 10 lieux importants pour eux, soit par la fréquentation, soit par l’attache affective. Puis, ils doivent, pour chaque lieu, écrire en une ou deux phrases, un commentaire sur le pourquoi de ce choix. Enfin, ils illustrent chaque lieu choisi en mobilisant pour cela les outils géographiques à leur disposition. Ce travail débouche sur la constitution d’un petit livre avec onglets qui classent les lieux par échelles.

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Ça suffit le gâchis

9 06 2016

gachisJe passe à l’action

Au moment de faire mes courses, à la maison, au bureau, dans le jardin… toutes les occasions sont bonnes pour adopter un des nombreux gestes qui me permettront de réduire significativement mes déchets, mais pas seulement ! En effet, certains gestes me permettront également de réaliser de vraies économies, d’autres de gagner du temps, de la place… bref de me faciliter la vie !

Alors si je peux à la fois participer activement à la préservation de l’environnement et améliorer mon quotidien : pourquoi hésiter ? C’est décidé, j’agis !

  • Je prépare ma liste de courses
  • Je fais les courses alimentaires dans le bon ordre
  • J’achète la juste quantité d’aliments
  • Je suis vigilant sur les dates de péremption
  • Je veille à la bonne conservation des aliments
  • Je cuisine astucieusement
  • J’accommode les restes
  • J’ai les bons réflexes au restaurant

Ça suffit le gâchis



Ramassage scolaire en pédibus

2 09 2015
france inter
Émission diffusée sur France Inter le 01/09/15, en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm
Avec les pédibus , les enfants vont à l’école à pied, encadrés par des parents volontaires qui se relaient chaque jour. Comme une ligne de bus, il y a des arrêts et des horaires. Une solution à l’encombrement devant les écoles ?
Interview : Stéphanie Dusser, une  mère de famille de Chaville, qui conduit un pédibus.
> A écouter à :
<http://www.franceinter.fr/emission-l-esprit-d-initiative-ramassage-scolaire-en-pedibus


Écomobilité scolaire : repenser le trajet domicile-école

2 09 2015

écomobilitéArticle publié sur mobilite-durable.org le 01/09/15, en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Infographie : L’écomobilité scolaire permet d’éduquer dès le plus jeune âge et de sensibiliser plus largement la communauté scolaire à la nécessité d’opter pour des solutions alternatives et collectives pour les déplacements quotidiens. Il s’agit d’une démarche éco-citoyenne concrète.



Transports : des déplacements plus respectueux de l’environnement

21 04 2015

planèteénergies

Publié le 26 Jan. 2015 sur planete-energies.com

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Les transports routiers, en France, contribuent pour 34 % aux émissions de CO2, les voitures de particuliers représentant plus de la moitié de ces émissions. Entre incitations fiscales et éco-gestes, il existe plusieurs possibilités pour optimiser les dépenses énergétiques et ainsi réduire ses émissions de gaz à effet de serre.

Déjà dotée de normes très strictes pour les émissions de gaz polluants par les automobiles, l’Europe a engagé la mise en place de nouvelles normes pour les émissions de CO2 – qui n’est pas classé comme polluant. Le Parlement européen a validé en février 2014 une législation visant à réduire à 120 grammes par kilomètre parcouru les rejets de CO2 en 2015 et à 95 g/km en 2020, contre 160 g/km aujourd’hui. Il s’agit de moyennes globales : les constructeurs pourront continuer à produire des grosses cylindrées (un point sur lequel insistent les Allemands), mais devront en même temps développer suffisamment de modèles plus sobres ou de nouvelles motorisations, électriques ou hybrides1.

Économies d’énergies dans les transports : le cas de la France

En France, les pouvoirs publics ont développé l’information et introduit des incitations fiscales destinées à encourager les conducteurs à s’orienter vers des véhicules économes.

La première démarche pour sensibiliser les conducteurs a été la mise en place d’une « étiquette énergie » pour indiquer la consommation et les émissions de CO2. Depuis 2006, cette étiquette doit être affichée sur les voitures neuves dans tous les lieux de vente. Elle indique pour chaque voiture la consommation en litres pour 100 km et les émissions de CO2 en grammes par kilomètre. Comme pour le Diagnostic de performance énergétique du bâtiment (Voir le décryptage : « Habitat : le diagnostic de performance énergétique »), une série de catégories apparaissent avec des couleurs différentes : de la classe A en vert pour les voitures les moins émettrices, à la classe G pour les plus émettrices2.

La surconsommation d’essence est de 45 % sur le premier kilomètre et de 25 % sur le deuxième

L’autre action publique a consisté en la mise en place de dispositifs de bonus-malus, d’aides et de taxes pour rendre financièrement plus attractives les voitures de particuliers peu émettrices3. Le malus s’applique dès 131 g/km. Avec la mise en place du bonus-malus, les modifications des pratiques d’achat des véhicules ont permis d’économiser 85 000 tonnes de CO2 en 2012, soit les émissions annuelles de 42 500 voitures, selon l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie.

Eco-gestes : comment réduire sa consommation de carburant ?

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Rénovation des bâtiments scolaires : remplacer les systèmes de chauffage réduit les coûts

3 04 2015

Sans titre 1

Publié sur actu-environnement.com le 26/03/15

Energies et Avenir, qui rassemble les acteurs du chauffage à eau chaude, met en avant les gains énergétiques et financiers générés par la maintenance ou le remplacement des installations thermiques, lors des rénovations des bâtiments d’enseignement.
En France, les bâtiments d’enseignement représentent près de 20% du parc tertiaire public et privé, soit environ 180 millions m2, qui feront l’objet d’obligation de réhabilitation énergétique d’ici 2020. Selon Le Moniteur, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal espère la publication « avant l’été » de son décret d’application. Ce texte devait entrer en vigueur en 2012, selon la loi Grenelle 2 de juillet 2010.
Obligations de rénovation du parc tertiaire
Le décret tertiaire « doit fixer l’objectif à 2020 de réduction des consommations d’énergie d’au moins 38% [fixé par la loi Grenelle 1 d’août 2009 pour le parc existant, ndlr], sans distinction des qualités intrinsèques des bâtiments », a précisé la ministre. En attendant ce texte, le Plan Bâtiment durable, présidée par Philippe Pelletier, avait lancé en octobre 2013 une charte d’engagement volontaire signée à ce jour par une centaine d’adhérents. Selon un bilan de cette charte présentée en septembre 2014, les signataires ont adopté un objectif de réduction de leur consommation d’énergie, de l’ordre de 25 à 30%, le plus souvent à réaliser sous une dizaine d’années.
Le projet de loi sur la transition énergétique, adopté en première lecture par l’Assemblée et le Sénat, prévoit également de prolonger l’obligation de rénovation énergétique du parc tertiaire « par période de dix ans à partir de 2020 » avec pour objectif une « réduction des consommations d’énergie finale d’au moins 60% en 2050 par rapport à 2010 ». Ce texte fixe aussi l’objectif ambitieux d’un parc immobilier entièrement rénové aux normes bâtiment basse consommation (BBC) à l’horizon 2050. Ce qui représenterait une consommation de 80 kWep/m²/an (kilowattheure d’énergie primaire par mètre carré par an).
Dans ce contexte réglementaire, l’association professionnelle Energies et Avenir a identifié dans une étude, présentée le 25 mars, « les solutions de travaux les plus performantes » pour aider les pouvoirs publics et les professionnels à rénover les bâtiments d’enseignement primaire et secondaire. L’étude a analysé une école maternelle et élémentaire datant de 1985, une école élémentaire et un collège construits avant 1980 et un lycée datant des années 70. Ces bâtiments représentent « une grande diversité de surfaces utiles, allant de moins de 1.000 m2 pour l’école élémentaire simple à plus de 6.000 m2 pour le lycée avec cantine et internat », indique l’étude. La plupart d’entre eux ont fait l’objet de rénovations depuis leur construction, « mais il s’agit plutôt du changement de systèmes de chauffage ou de l’éclairage ».
Des gains énergétiques de 20 à 60% Lire la suite »



COP21 : Les Français et le Climat, pourquoi ça ne passe pas ? (étude)

3 04 2015

place to b

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Place To B est un projet dont l’objectif est de sensibiliser le public aux enjeux de la COP 21, sommet sur le climat qui se tiendra à Paris fin 2015 (dont tous les évènements sont à retrouver sur notre agenda des évènements de la COP21). Mi mars se tenait la conférence de presse inaugurale du projet, autour d’Anne-Sophie Novel, l’instigatrice de cette initiative, et Stéphane Paoli, son parrain. A cette occasion, l’institut BVA présentait les résultats d’un sondage inédit intitulé « Les français et l’information sur le climat ».

Cette enquête, réalisée du 26 février au 5 mars 2015 auprès de 1 056 personnes âgées de 18 ans et plus, relève 5 enseignements, à retrouver aussi en infographie.

Aujourd’hui, les priorités des français sont tournées vers le court terme. L’enjeu climatique est perçu comme prioritaire par seulement 13% des Français, loin derrière la lutte contre le chômage (60%), la lutte contre le terrorisme (41%) et la défense du pouvoir d’achat (36%). Le climat apparait comme un enjeu incertain et lointain.
Une désaffection doublée d’un fatalisme puisque 67% des sondés n’ont pas confiance en la capacité de l’homme à préserver la planète.
Pourtant, les français semblent prêt à agir personnellement et à faire pression sur les décideurs (51% des sondés pensent que créer une véritable opinion publique mondiale pour faire pression sur les décideurs est une action qui pourrait faire bouger les choses).
De plus, les Français sont demandeurs d’information sur le climat (57% estiment qu’on n’en parle pas suffisamment) et attendent un récit plus positif (50%), plus concret (48%) et participatif (42%).
Enfin, 68% des sondés se sentent concernés par la COP21 mais restent septiques : 75% considèrent que celle-ci a peu ou pas de chances d’aboutir à un accord.

Voir l’infographie

Pour suivre le projet Place To B, rendez-vous sur leur compte Twitter ou leur page Facebook



Covoiturage sur autoroutes

30 03 2015

Publié par AFP le 26/03/15

Vinci Autoroutes et le site de covoiturage BlaBlaCar ont mis en place un partenariat pour développer ce mode de transport sur les autoroutes, avec une offre de télépéage dédiée et la création de 1.500 places de parking.
Ce partenariat vise à mettre en relation les membres de BlaBlaCar et les automobilistes qui empruntent le réseau Vinci Autoroutes, sur lequel 19 parkings de covoiturage sont créés, soit 1.500 places, ont-ils annoncé jeudi dans un communiqué de presse.
Par ailleurs, une offre de télépéage dédiée, nommée « Temps Libre Covoiturage », est créée, « incluant la gratuité des frais de gestion, valable à partir de deux covoiturages longue distance par mois, réservés sur BlaBlaCar et effectués sur le réseau Vinci Autoroutes », détaillent les partenaires dans un communiqué de presse.
BlaBlaCar revendique 10 millions de membres, dont 2 millions qui covoiturent chaque mois.
Des expérimentations ont déjà été menées par Vinci Autoroutes avec les collectivités locales, à Briis-sous-Forges (Essonne), où la « première gare autoroutière d’Europe » a été mise en service en 2005, et à Longvilliers-Dourdan (Yvelines) sur l’A10 avec la réalisation d’un « parking de comodalité », mis en service en 2013.
L’entreprise envisage à l’avenir « l’accompagnement du développement des liaisons inter-cités par autocar », et prévoit la création de « gares routières et d’aires de service dédiées aux autocaristes », ainsi que « le financement, la réalisation et la gestion au quotidien de voies dédiées sur les voies rapides, en banlieue des grandes métropoles, pour favoriser le développement des lignes express d’autocars et du covoiturage ».
Vinci Autoroutes a conduit une étude en mars 2013 sur son réseau, qui « a permis de constater que 89% des déplacements en covoiturage sont liés à l’activité professionnelle : 46% sont associés à des déplacements professionnels (parcours moyen de 286 km aller-retour), 43% à des trajets domicile-travail (parcours moyen de 194 km aller-retour) ».
<http://information.tv5monde.com/en-continu/partenariat-entre-vinci-autoroutes-et-blablacar-pour-le-covoiturage-sur-autoroutes-24551>



Infographies Développement Durable

18 02 2015

Sans titre 1

Publié sur http://e-rse.net/

Article en lien avec le défi EDD sur le climat http://www.ia94.ac-creteil.fr/EDD/defi_climat-transports.htm

Infographies en lien avec la protection de l’environnement, le développement durable et la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE).

Au sommaire

  • Quel est l’Impact de la Dégradation de l’Environnement sur notre Santé ?
  • Mobilité et Transport Durable : un Connecteur entre les Territoires et les Citoyens
  • Changement Climatique : 5 Actions Concrètes pour Réduire notre Impact Environnemental
  • Pollution en Mer : les Ravages du Plastique
  • Le Gaspillage Alimentaire
  • La Seconde vie des Déchets Issus de la Fabrication des Bouteilles d’Eau en Plastique
  • Télécoms et Ressources Rares : quels Défis pour les Industriels et les Consommateurs ?
  • Consommation Collaborative