Voici un extrait du programme de SNT (B.O.):

• 1826 : naissance de la photographie argentique
• 1900 : photographie en couleurs.
• 1975 : apparition des premiers appareils numériques
• 2007 : arrivée du smartphone

En entrée, le capteur est formé de photosites en matrice de petits carrés de quatre photosites (deux verts, un bleu et un rouge) correspondant à la répartition des cônes de la rétine. La résolution du capteur se mesure en millions de photosites.

En sortie, l’image est formée de pixels colorés homogènes, représentés par trois nombres RVB (rouge, vert, bleu). La résolution de l’image se compte en mégapixels; elle n’est pas forcément égale à celle du capteur. La profondeur de couleur est en général de 8 bits par pixel et par couleur pour l’image finale.

Des métadonnées sont stockées dans les fichiers images sous format EXIF (Exchangealbe Image File Format) : modèle de l’appareil, objectif, vitesse, diaphragme, distance de mise au point, auteur copyright, localisation, etc.

Les couleurs peuvent être représentées dans différents systèmes : RVB, TSL (teinte, saturation, lumière), avec des formules empiriques de passage d’un modèle à l’autre. On distingue différents formats des fichiers images, compressés ou non , avec ou sans perte : RAW, BMP, TIFF, JPEG.

Vidéo introductive Universcience (on peut arrêter à 3’40 »)

Vidéo « Le capteur » (Carpe Diem) (on peut arrêter à 3’47 »)

Métadonnées

Site d’analyse : https://fotoforensics.com/

Pour aller plus loin

http://fran6.rignanese.free.fr/Python/chapitre_12/cours/html/lecon12.php

Sur la compression jpeg.

La restauration de films en noir et blanc n’est pas chose aisée mais les mathématiques y contribuent heureusement.

Pour aller plus loin, on pourra regarder cette conférence de J-Noël Lafargue sur la représentation du mouvement par l’image. Et on gardera un esprit critique sur les photos qu’on peut recevoir car elles peuvent être truquées.

Enfin, que faire pour conserver ses photos sur du long terme ?