Du contrat social de Rousseau

16 avril 2010 0 Par Caroline Sarroul

STRUCTURE DU CONTRAT SOCIAL (1762)

 (Avec L’émile ,le Contrat social est l’œuvre qui a condamné Rousseau à l’errance, à la solitude et à faire l’objet de poursuites judiciaires et policières à Paris et Genève en juin 1762. Ces ouvrages ont été brûlés à Paris et à Genève, jugés par les autorités suisses comme « téméraires, scandaleux, impies, tendant à détruire la religion chrétienne et tous les gouvernements ». En 1789, les révolutionnaires, en particulier les Montagnards et Robespierre liront le Contrat social  et le considéreront comme «  l’évangile des patriotes ».

  LIVRE I , l’idée du pacte social comme fondement de l’état

 Préambule                                  Présentation de l’intention générale de l’ouvrage 

 Chapitres 1à 5                           La nécessité d’un pacte social

  •   Chap.1    Présentation de la problématique et  annonce de l’ordre argumentatif en 3 points
  •  Chap.3    1er Point : rapport entre le droit et la force
  •  Chap.4     2ème Point : exemple de « ce qui ne peut pas être » , une convention juridique, un contrat d’esclavage
  •  Chap.2     3ème Point : la question de l’autorité naturelle et le droit comme nécessaire convention
  •  Chap.5     Conclusion : conséquences des impasses aux 3 points précédents  et le seul  fondement  possible de cette convention.

  Chapitres 6 et 7                         La logique du pacte social

 Chapitres 8 et 9                          Les acquis du pacte social

 LIVRE II                             la formulation de la volonté générale (Qui « dit » la volonté générale ? Que peut? vouloir la volonté générale, le « miracle » d’une législation réussie, le système des lois)

LIVRE III                           le gouvernement (l’application de la volonté générale dépend du gouvernement qui ne doit pas usurper la souveraineté)

LIVRE IV                            l’expression de la volonté populaire et les institutions de l’état (comment le peuple peut exercer concrètement sa souveraineté, l’exemple romain, la religion civile)