Pour ceux qui préfèrent écouter, voici une lecture de la nouvelle « Apparition ».
La nouvelle est à lire pour notre prochaine classe virtuelle (jeudi 9 avril) et je vous rappelle qu’il y a également des questions à faire, disponibles sur Pronote (ou juste en dessous de cette vidéo). A jeudi !

Étapes du travail :

– Lire (ou écouter sur le site de la classe) la nouvelle « Apparition » de Guy de Maupassant (doc PDF disponible dans Pronote)
– Répondre aux questions ci-dessous sur une feuille de classeur
– Préparer vos questions sur ce que vous ne comprenez pas.

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► 1ere partie : le début de la nouvelle
1) Le début de la nouvelle est-il réaliste ou fantastique ? Justifiez votre réponse en citant le texte.
2) A quelle personne est faite la narration ? (quel pronom personnel est utilisé?) Quel effet cela produit-il sur le lecteur ?
3) Quelle mission est confiée au narrateur ? Accepte-t-il de remplir cette mission ?
4) Lorsque le narrateur rencontre le jardiner, quelle est l’attitude de celui-ci ? A votre avis, quelle est la raison de son attitude ? Quel signe de ponctuation est majoritairement utilisé par le jardinier ? Pourquoi ?

► 2ème partie : des faits étranges …
5) A quel moment précis le surnaturel apparaît dans cette nouvelle ? Justifiez votre réponse en citant le texte.
6) Qui est la femme que le narrateur rencontre ? Que lui demande-t-elle de faire ?
7) Quand la femme s’enfuit de la chambre, quel fait bizarre constate le narrateur ?
8) Une fois rentré chez lui, dans son logis, quel fait inexplicable constate le narrateur ?
9) A quel moment de l’histoire le narrateur exprime-t-il l’émotion de la peur ? Justifiez votre réponse en citant le texte.

► Les modalisateurs :

1) rappelez ce qu’est un modalisateur (allez voir la leçon sur le site, dans le post « classe virtuelle #1)
2) Relisez les phrases suivantes, et pour chacune d’elles repérer les modalisateurs :
a) lignes 49 et 50 : « Il me parut en effet singulièrement agité, préoccupé, comme si un mystérieux combat se fût livré dans son âme ».
b) l.69-70 : « Le manoir semblait abandonné depuis vint ans. La barrière, ouverte et pourrie, tenait debout on ne sait pas comment ».

► Le conditionnel présent :

Réécrivez ces phrases en conjuguant les verbes au conditionnel présent : (vous pouvez vous aider de la leçon, disponible dans le post « classe virtuelle #1) sur le site de la classe.)
a) « Les bruits inattendus me font tressaillir jusqu’au coeur, les objets que je distingue mal dans l’ombre du soir me donnent une envie folle de me sauver. J’ai peur la nuit. »
b) « Je peux tout vous dire. Je vous explique l’aventure telle quelle, sans l’expliquer. »