Classe virtuelle n°3

Bonjour !

Vous trouverez ci-dessous la correction du travail fait en classe virtuelle jeudi 9 Avril.
Cette correction peut vous être utile pour rédiger votre réponse argumentée.
N’hésitez pas à me contacter sur Pronote si vous rencontrez des difficultés.


1ere partie : le début de la nouvelle

1) Le début de la nouvelle est-il réaliste ou fantastique ? Justifiez votre réponse en citant le texte.

Le début de la nouvelle est réaliste. En effet, on peut relever la phrase suivante : «  C’était en 1827, au mois de juillet. Je me trouvais à Rouen en garnison. »

2) A quelle personne est faite la narration ? (quel pronom personnel est utilisé?) Quel effet cela produit-il sur le lecteur ?

La narration est faite avec le pronom « je ». Cela permet au lecteur de se mettre à la place du personnage et d’avoir l’impression de vivre l’histoire avec lui.

3) Quelle mission est confiée au narrateur ? Accepte-t-il de remplir cette mission ?

Le narrateur doit aller récupérer des papiers dans le château de son ami. Celui-ci ne veut pas y aller car il ne veut pas se confronter à ce lieu où sa femme est morte. Le narrateur accepte de remplir cette mission, et part vers le château à cheval.

4) Lorsque le narrateur rencontre le jardiner, quelle est l’attitude de celui-ci ? A votre avis, quelle est la raison de son attitude ? Quel signe de ponctuation est majoritairement utilisé par le jardinier ? Pourquoi ?

Le jardinier semble surpris de voir quelqu’un, et il hésite à ouvrir au narrateur. Il a l’air d’avoir peur, on le voit car il utilise beaucoup les « points de suspensions » .

2ème partie : des faits étranges …

5) A quel moment précis le surnaturel apparaît dans cette nouvelle ? Justifiez votre réponse en citant le texte.

Le surnaturel apparaît au moment (ou juste avant) où la femme apparaît. En effet, on peut relever la phrase suivante : « n lit sans draps, mais gardant ses matelas et ses oreillers, dont l’un portait l’empreinte profonde d’un coude ou d’une tête comme si on venait de se poser dessus. », ou encore «  Une grande femme vêtue de blanc me regardait, debout derrière le fauteuil où j’étais assis une seconde plus tôt. »

6) Qui est la femme que le narrateur rencontre ? Que lui demande-t-elle de faire ?

La femme est l’épouse morte de l’ami du narrateur. Elle lui demande de lui peigner les cheveux.

7) Quand la femme s’enfuit de la chambre, quel fait bizarre constate le narrateur ?

Le narrateur constate que la femme s’enfuit par une porte qui est « entrouverte », et lorsque lui-même essaye d’ouvrir cette porte, il l’a trouve « fermée » et « inébranlable ».

8) Une fois rentré chez lui, dans son logis, quel fait inexplicable constate le narrateur ?

Le narrateur constate qu’il y a plein de cheveux de femme emmêlés dans les boutons de sa veste.

9) A quel moment de l’histoire le narrateur exprime-t-il l’émotion de la peur ? Justifiez votre réponse en citant le texte.

Le narrateur exprime l’émotion de la peur à de nombreuses reprises. En effet, on peut relever les phrases suivantes : « J’ai peur la nuit, enfin. », « Une telle secousse me courut dans les membres que je faillis m’abattre à la renverse ! Oh ! personne ne peut comprendre, à moins de les avoir ressenties, ces épouvantables et stupides terreurs. »

Les modalisateurs :

1) rappelez ce qu’est un modalisateur (allez voir la leçon sur le site, dans le post « classe virtuelle #1)

Un modalisateur est un mot ou un type de phrase qui permet au narrateur d’exprimer son opinion, dont le doute.

2) Relisez les phrases suivantes, et pour chacune d’elles repérer les modalisateurs :

a) lignes 49 et 50 : « Il me parut en effet singulièrement agité, préoccupé, comme si un mystérieux combat se fût livré dans son âme ».

b) l.69-70 : « Le manoir semblait abandonné depuis vint ans. La barrière, ouverte et pourrie, tenait debout on ne sait pas comment ».

Le conditionnel présent :

Réécrivez ces phrases en conjuguant les verbes au conditionnel présent : (vous pouvez vous aider de la leçon, disponible dans le post « classe virtuelle #1) sur le site de la classe.)

a) Les bruits inattendus me ferAIENT tressaillir jusqu’au coeur, les objets que je distinguerAI mal dans l’ombre du soir me donnerAIENT une envie folle de me sauver. J’aurAIS peur la nuit.

b) « Je pourrAIS tout vous dire. Je vous expliquerAI l’aventure telle quelle, sans l’expliquer. »

Un commentaire

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