Introduction

Qu’est-ce qui nous humain et qu’est-ce qui fait de nous un monstre ? Quelle est la place de ces caractéristiques dans les mythes ? Si vous ne vous êtes jamais posé la question, nous allons y répondre pour vous.

Tout d’abord, on doit définir ce qu’est un mythe. Les savants ne se sont jamais mis d’accord ou alors ils ne sont jamais parvenus à le faire.Selon l’étymologie du mot, qui viens du grec ancien ‘mûthos’ (μῦθος) un mythe voulait dire récit, ou fable, mais son sens a changé au fil des saisons, passant de parole non rationnelle, à discours ou encore fiction.

Nous avons tenté de faire notre propre définition d’un mythe, elle serait alors la suivante : un mythe est un récit évoquant des faits plus ou moins imaginaires ou légendaires, essentiellement transmis oralement, mentionnant des personnages ou des figures ayant eu un rapport réel et historique mais transformés au cours du temps.

Le besoin inné des humains à vouloir expliquer le monde et trouver une explication à ce qu’ils jugent déraisonnables nous permets de catégoriser les mythes en plusieurs types : racontant la création et les débuts du monde, la cosmogonie ; la naissance des dieux, la théogonie, racontée par le poète Hésiode au XIIIème siècle avant J-C dans son poème éponyme.

Également, ceux qui racontent la création de l’homme, l’anthropogonie, comme dans le mythe grec de Prométhée, le mythe de fondation qui font le récit la fondation d’une ville ou d’une communauté comme par exemple l’histoire de Rome fondée par les jumeaux Romulus et Remus, et enfin le mythe eschatologique, qui relate les fins d’un univers ou d’un monde, la mythologie nordique s’en inspire beaucoup, comme pour Ragnarök.

Nous avons demandé à nos camarades que répondraient-ils lorsque qu’on leurs diraient ‘mythologie‘. Les réponses ont été anormalement similaires : Hercule, l’hydre de Lerne, Ulysse, Persée…  Les histoires de ces héros ont été retracées dans des textes dits fondateurs, L’Iliade et l’Odyssée, écrites par Homère au VIIIème siècle avant J-C, sont deux textes fondateurs de la mythologie gréco-romaine. Avec Homère le terme  »héros » prend son sens moderne « d’homme rendu exceptionnel par ses qualités humaines », dés lors nous nous intéressons aux figures anti-héroïques. Méduse présentée comme effrayante et le Minotaure tel un monstre nous interpellent.

Le but des réécritures modernes que nous allons étudier viennent alors apporter une nouvelle vision de ces deux deutéragonistes, en les humanisant et en leurs donnant des sentiments. Quelles sont les caractéristiques pour accéder au statut de héros, comme Persée et Thésée à l’inverse de Méduse et du Minotaure? Ces antagonistes qui ne sont pas considérés comme des mythes élevés parmi les plus importants ont en quelque sorte subit leurs histoires.

Nous verrons à travers le récit surprenant de leurs histoires, qui pour nous, lecteurs modernes, peuvent paraître incompréhensibles, comment leurs destins brutaux ont permis leurs évolutions.

Nous allons vous raconter deux histoires bien différentes des originaux, et nous voulons leurs donner une dimension nouvelle. Il faudra les saisir dans leurs ensembles, sans préjugés, ni à priori pour rendre ce qui, à première vue, est inconcevable, une idée réalisable.

Minotaure

L’histoire du minotaure varie d’un auteur à un autre, Apollodore et Hygin détaillent le mythe du monstre tandis que Virgile et Ovide ne l’évoque que brièvement.

Minos, fils adoptif du roi de Crète, Astérion, incapable d’enfanter, s’est vu refusé le trône quand la mort du roi fut venue. Dans une autre version, le royaume auquel Minos prétendait ne lui a pas été accordé, craint par ses frères et souhaitant montrer son pouvoir, il fit croire qu’il avait reçu la royauté des dieux, et pour le prouver, il déclara qu’il obtiendrait n’importe lequel de ses souhaits. Il pria alors Poséidon, ou Neptune selon les Romains, dieu des mers et des océans, en lui demandant de lui accorder un souhait. Exauçant son vœu, Poséidon lui offrit un somptueux taureau blanc, beau et sauvage. Minos, émerveillé, n’a pas sacrifié le taureau comme il était prévu mais a mis en place un subterfuge afin de tromper Poséidon, qui contrarié et déshonoré rendit le taureau sauvage, et éveilla en la femme de Minos, Pasiphaé, un désir nouveau pour lui.

Follement amoureuse, la reine crétoise demanda de l’aide à Dédale, le célèbre architecte exilé d’Athènes, qui, pour elle, construit une structure en bois similaire à celle d’une vache et fit entrer Pasiphaé dans la même prairie que la bête. Ainsi, lorsque le taureau arriva, il s’accoupla avec elle comme avec une véritable vache et elle enfanta rapidement un hybride, muni d’une tête de taureau et du reste du corps d’un homme,

Dès sa naissance, le minotaure, aussi appelé Astérios ou Astérion, fut caché et élevé en tant que monstre absolu et considéré comme l’opprobre de la famille par Minos, qui, furieux, avait fait construire un labyrinthe spécialement conçu par le même Dédale, dont il est presque impossible de sortir.

Tous les neuf ans (ou chaque année selon Virgile), sept jeunes garçons et sept jeunes filles athéniens étaient envoyés en sacrifice, au Minotaure. Une année, Thésée, le fils d’Égée, fut tiré au sort, ou embarqua de son plein gré, d’après Virgile, parmi les futurs sacrifiés. Ariane, la fille de Minos et Pasiphaé, le remarqua dans la foule, et en tomba amoureuse, elle fit dès lors, tout son possible pour le sauver. Elle chercha Dédale, et une solution, qui se révélait être une bobine de fil. Thésée, qui pendant l’échange, avait promis à Ariane de l’emmener avec lui une fois sorti, n’avait plus qu’a dérouler la pelote pour atteindre le monstre déroutant.

Grâce à Friedrich Dürrematt et la pièce théâtrale adaptée de son roman, le Minotaure apparaît comme un être innocent et naïf, qui se libère du rejet des Hommes, pour parvenir à aimer. C’est l’injustice qu’il a subi, à cause de la liaison adultérine et zoophile de Pasipahé, qu’il est dès sa naissance enfermé dans un  »curieux palais, dont les salles et les couloirs, en nombre infini, s’entrelaçaient mystérieusement ». Injustement, il a été isolé dans cette prison à vie et tué violemment par Thésée, à mains nues selon Apollodore. Censé être le héros, qui n’a pas hésité à laisser et abandonner discrètement Ariane, la jeune femme dont il s’était épris, sur une île abandonnée, une fois endormie. Sa mort brutale est également racontée par Hygin, qui relate Thésée et sa bobine de fil, s’approchant doucement de la chambre du Minotaure, endormi, et qui, sans attendre, souleva son épée et transperça le monstre de tous les cotés, le clouant au sol.

Le Minotaure passe alors d’un bouc émissaire, un cible à devoir tuer à un humain, qui sensible, vit et éprouve des sentiments. Il a, dans la mise en scène de Guillaume Mika, un rêve d’amour, qu’il nous dévoile dans un monologue, riche en émotions, et toute en chanson.

Transition

After having presented the varying details of the history of the Minotaur, which will now be written with a capital letter, we would like to highlight an other mythological figure who has also been a victim of his fate. Both associated with a particulary repulsive animal, the character who, from our modern point of view, suffers revenge as a result of different relationships, have presented as adjuvants (helpers) for the stories’s heroes, Daedalus and Ariane will, just like Athena for Theseus, harm them.

With the movie, The Clash of Titans, released in 2010, we get to know Medusa, under the pressure of constant threat, must eliminate his opponents to defend herself before they do so. She appears as a very beautiful creature, powerful, and strong in character, which is impossible to reach, showing us a new face, as well as new facets. In her book, Meduse, the evil eye, Anne Vantal makes her monstrous characteristics dissappear and allows the monster to be humanized.

Transition traduite en français

Après avoir présenté les détails variants de l’histoire du Minotaure, qu’on écrira désormais avec une majuscule, nous voudrions mettre en avant une autre figure mythologique qui a elle aussi été victime de son destin. Tout deux associés à un animal particulièrement repoussant, les personnages qui, de notre point de vue, moderne, subissent des vengeances des suites à différentes liaisons, ont du affronter des adjuvants pour les héros des histoires, Dédale et Ariane vont, comme Athéna pour Thésée leurs porter préjudice.

Avec Le Choc des Titans (2010) on prend connaissance de Méduse qui sous la pression de la menace constante, doit éliminer ses adversaires pour se défendre avant qu’ils ne le fassent. Elle apparaît comme une très belle créature, puissante et forte de caractère, qui impossible à atteindre, nous montre un nouveau visage, ainsi que de nouvelles facettes. Dans son livre, Méduse le mauvaise oeil, Anne Vantal fait disparaître ses caractéristiques monstrueuses et, permet l’humanisation du monstre.

Méduse

Dans la mythologie grecque, le Chaos, qui est un élément primordial a engendré des endroits tels que : le tartare (l’enfer) , Éros (l’amour) et Gaïa (la terre). Gaïa enfante à son tour des enfants comme Pontos (l’océan) et Ouranos (le ciel). Étant l’élément terre, sa descendance est la plus vaste et la plus connue de toutes.

Hésiode révèle en premier dans la Théogonie (VIIe siècle avant J-C) que Gaïa aura cinq enfants avec son fils Pontos, dont Phorcys et Céto qui plus tard auront quatre enfants qui se révéleront être les Gorgones. Le mot gorgone veut dire effrayant ou terrible en grec, qui vient de « gorgo » : ce qui prend à la gorge. Sthéno, Euryale et Méduse sont mentionnées dans L’Odyssée d’Homère comme étant trois, et des créatures des enfers tandis que selon Euripide il n’existe qu’une seule gorgone qui agit en tant que renfort pendant la bataille des Dieux. La version la plus populaire est celle que l’on attribue à Hésiode dans la Théogonie, nous nous baserons donc sur celle-ci, et celle d’Apollodore dans Épitomé qui est plus précise.

Les Gorgones sont des monstres femelles qui ne partageaient qu’un seul œil en plus d’une seule dent en guise de défense de sanglier. Leurs ailes d’or et mains en bronze ont marqués les légendes et les esprits, tout comme leurs cheveux dressés en serpent. Méduse, la seule mortelle des trois, était dotée d’une beauté déconcertante et n’a pas manqué de se faire remarquer par Poséidon, qui, dieu de la mer, l’a violée dans un temple dédié à sa sœur, la déesse Athéna. Déesse vierge interdisant tout acte allant à l’encontre de la chasteté, qui furieuse, punit Méduse, victime d’un viol, ainsi que ses sœurs, innocentes, en les transformant en Gorgones. Elle passe alors d’une charmante jeune et belle femme à la chevelure de rêve qui, serait son plus grand atout selon Ovide, à un monstre pétrifiant chaque humain qui oserait la regarder dans les yeux, elle et ses têtes de serpents, remplaçant sa si belle chevelure.

Elle n’eut aucun autre choix que de fuir et de s’isoler car des nombreux téméraires se portaient volontaire pour tuer la jeune femme et ses sœurs désormais monstres, ces prétendants finissaient tous par échouer pétrifiés par le regard de celles-ci. Le terme « méduser » vient de ce mythe et à gardé un sens qui est aujourd’hui similaire, on l’utilise pour représenter le choc ou la stupéfaction.   Dans Épitomé, Apollodore raconte que Persée, fils de Zeus et de Danaé part combattre Méduse, aidé par Hermès, le messager des Dieux de l’Olympe et d’Athéna.

En partant à sa recherche, il se procure le casque d’Hadès, un casque d’invisibilité, le kibisis, un sac pour y mettre la tête de cette dernière, des sandales ailées, un de ses signes distinctifs d’Hermès, probablement données par celui-ci, ainsi qu’un sabre et un bouclier en bronze poli et remit par Athéna elle-même, afin de créer un effet miroir pour surprendre Méduse.

Grâce à son casque qui le rendait invisible, Persée put pénétrer dans la grotte dans laquelle se trouvait les Gorgones, qu’il trouva endormies et qu’il ne fallait impérativement pas réveiller puisqu’elles étaient immortelles. Une fois celles-ci évitées, il put, grâce à l’image de Méduse reflétée sur le bouclier et Athéna qui guidant sa main, anticiper chacun de ses mouvements, et tout en gardant la tête tournée, il lui coupa la tête.

Lorsque sa tête fut tranchée, ses enfants, Chrysaor et Pégase, nés du viol de Poséidon, jaillirent de son cou. Persée réussit à s’enfuir en évitant les gorgones le pourchassant. Une fois sa quête achevée il donna la tête de Méduse à Athéna qu’elle finira par accrocher à son bouclier l’Égide.

Méduse est un exemple de destin tragique injustement déchu de tout attribut humain qui finira sa vie en tant que monstre malgré elle à cause d’un incident grave dont elle a été victime sans aucune défense. Méduse est devenue un monstre mythologique à cause de la déesse Athéna, déesse de la sagesse, qui en apprenant le viol de la jeune fille par son frère Poséidon, la punie sévèrement en la transformant en gorgone, un monstre hideux, pétrifiant chaque humain souhaitant la regarder dans les yeux.

Depuis cette transformation injuste, elle fuit les gens et la civilité, pointée du doigt par ceux qui appréciait tant sa beauté juvénile auparavant, ainsi que ceux qui voulait la tuer. Avec un visage pareil, nombreux ce sont proposés afin de la tuer, ce qui résultait à un échec constant puisqu’ils finirent pétrifiés à chaque tentative. Seul Persée, fils de Zeus, part à sa recherche accompagné de sa tante Athéna afin tuer la dernière gorgone. Sa fuite l’ayant menée jusqu’au pied de l’actuel Mont Atlas au Maroc dans une grotte où elle se cache avec ses deux sœurs : Sthéno et Euryale. C’est l’histoire que raconte le livre Méduse, le mauvais œil écrit par Anne Vantal en 2016. Méduse est la seule mortelle parmi ses frères et sœurs mais également la plus belle, le récit partage sa vie entre ballades, communions avec la nature et contemplation de sa beauté qui mènera à sa perte. Ce livre raconte son histoire jusqu’à sa mort, la tête crûment tranchée par Persée, doublé d’Athéna, venue se venger de Méduse.

Anne Vantal choisit de montrer cette histoire du point de vue du dit-monstre, point de vue qui n’avait jamais été adopté avant et offre une vision moderne du personnage en la plaçant comme victime. Cela permets au lecteur d’effacer ce mythe de la Méduse perfide qui n’hésite pas à pétrifier ses ennemis si l’on ose la contrarier et peut nous faire réfléchir au fait que ce monstre est connu pour sa méchanceté a beaucoup souffert avant d’en arriver la .

Ce livre nous montre aussi une autre facette de la déesse Athéna, qui, en tant que déesse de la sagesse, est connue pour faire régner la justice dans la mythologie grecque, elle adopte ici un comportement mesquin et rancunier, et elle n’hésitera pas à épauler Persée, dans sa quête de vengeance et d’assassinat de la gorgone.

Plan

Minotaure et Méduse, des portraits littéraires et mythologiques inexplorés.

Le personnage du Minotaure à travers les réécritures modernes

A) Brutalité de son destin / B) Un nouveau visage

II) Le personnage de Méduse à travers les réécritures modernes

A) La déshumanisation par l’injustice / B) Son évolution

Conclusion

« Les réécritures modernes humanisent-elles les monstres mythologiques que sont le Minotaure et Méduse ? »

Indéniablement, la réponse est oui.

Les auteurs des textes fondateurs tel que Virgile, Apollodore, Hygin, Ovide, Euripide, Homère, et Hésiode, ont faits d’eux des êtres inhumains et monstrueux tandis que Friedrich Dürrematt et Anne Vantal nous donne une vision beaucoup plus humaniste du Minotaure et de Méduse.

Ainsi plusieurs noms et adjectifs dérivés ont découlé de ces mythes. Leurs modernisations a pu s’exprimer à travers différents arts, le théâtre, la musique, la cinématographie, la peinture, la sculpture, la littérature, etc.

Ces deux figures, victimes d’un désir de vengeance à cause d’une liaison (viol de Poséidon, ou adultère zoophile de Pasiphaé) sont et ont des corps d’humains, avec un torse de taureau ou une chevelure de serpent. Ils ont tout les deux subit leurs destins tragiques et ignobles, et auront été pointés du doigts toutes vies durant.

Le cycle se rompt grâce à nos points de vues nouvellement modernes et Méduse et le Minotaure tendent à être plus humains et développent des sentiments.

Sitographie / Bibliographie

Voici notre corpus, les sites et les ouvrages que nous avons pu utilisé.

Nous affirmons n’avoir fait aucun plagiat volontaire.

Corpus :

  • La ballade du minotaure, Friedrich Dürrematt, 1985

  • Méduse, le mauvais œil, Anne Vantal, 2016

  • Métamorphoses, Ovide, 8 ap. J-C (traduction de Anne-Marie Boxus et Jacques Poucet, 2009)

  • Épitomé, Apollodore, 200 ap. J-C (traduction d’Ugo Bratelli, 2001)

  • Clash of Titans, Louis Letterier, 2010

Biographie / Sitographie :

La ballade du minotaure, Friedrich Dürrenmatt, mise en scène de Guillaume Mika

Le minotaure et son mythe, André Siganos

Medusa : Solving the mystery of the gorgon, Stephen R. Wilk

Mythologie, aux origines des mythes et des croyances, Christopher Dell

Liens Wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythe

https://fr.wikipedia.org/wiki/Minotaure

https://fr.wikipedia.org/wiki/Méduse_(mythologie)

Liens des traductions :

Métamorphoses – Ovide :

http://bcs.fltr.ucl.ac.be/METAM/Met00-Intro.html

Fables – Hygin :

https://www.hsaugsburg.de/~harsch/Chronologia/Lspost02/Hyginu/hyg_fabu.html#c28

Dossier sur Méduse, le mauvais œil, d’Anne Chantal : http://extranet.editis.com/it-yonixweb/images/340/art/doc/6/6386144e1531353238333739313237353830323630.pdf

Liens des articles :

 »Persée armé de pied en cap : réécritures lyrique et parodique sur la scène française » : https://www.persee.fr/doc/gaia_1287-3349_2014_num_17_1_1631#gaia_1287-3349_2014_num_17_1_T12_0232_0000

 »Sur le fil… d’Ariane, du Labyrinthe, du Minotaure et… de l’architecte, du funambule, du jardinier… » : https://pc-blognote.blogspot.com/2014/03/sur-le-fil-dariane-du-labyrinthe-du.html

Liens des œuvres picturales :

   »Médusa » d’Arnold Böcklin :

http://art-magique.blogspot.com/2011/05/meduse-la-gorgone.html

 »Thésée combattant le minotaure » de Louis Barye

http://cartelfr.louvre.fr/cartelfr/visite?srv=car_not_frame&idNotice=2266

http://www.petit-palais.org/musee/fr/voir-la-collection-les-peintures-italiennes/thesee-et-le-minotaure/

La Ballade du Minotaure, par Youna Noiret :

https://younanoiret.jimdo.com/th%C3%A9%C3%A2tre/

Buste de Méduse, par Gian Lorenzo Bernini :

https://fr.vikidia.org/wiki/M%C3%A9duse_(mythologie)

Présentation

Bonjour, ceci est notre production finale que nous avons créer dans l’optique d’illustrer nos TPE.

Noms : Lavault Laura, Tagadirt Alexandra & Jade Vives Établissement : Lycée la Colinière (2018-2019)
Classe : 1ère L1 Série : Littéraire Groupe : n°9
Thème : Frontière(s)
Sous-thème : Frontière(s) symboliques(s) : « L’altérite, l’ennemi, le monstre »
Sujet : Minotaure et Méduse, des portraits littéraires et mythologiques inexplorés.
Problématique : « Les réécritures modernes humanisent-elles les monstres mythologiques que sont le Minotaure et Méduse ? »
Disciplines concernées : Lettre, Anglais
Professeurs encadrants : Mme Deriano, Mme Gery, Mr. Lepetit

 

 

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