Les Bobos

Le terme bobo, contraction de bourgeois-bohème, désigne un sociostyle, c’est-à-dire une tentative de caractériser un groupe social selon les valeurs que ses membres partagent, plutôt que selon leurs caractéristiques socio-économiques ou démographiques.
Le bobo parisien (Bourgeois Bohème) est une espèce rare repérée principalement dans le IXe, Xe, XIe, XIXe, XXe et la banlieue pantinoise. Il est donc facilement reconnaissable grâce à son style vestimentaire constitué de Stan Smith, New Balance, Converse, des bonnets et pantalons Carharrt, etc.
Attention, il faut faire attention à ne pas confondre hipster et bobo !
Les gilets jaunes ne nous apprécient guère, car nous sommes une espèce supérieure à eux (oups …).
Nous sommes plus cultivés, plus intelligents, plus aisés, ce qui explique le terme bourgeois.
Nous faisons partie de l’aristocratie intellectuelle de ce pays. Nous mangeons bio, sans gluten et de saison. Nous possédons tous des produits Apple. Nous portons des vêtements de marques branchées et plutôt chers. Nous sommes aussi abonnés aux magazines Télérama et aux Inrockuptibles. Nous visionnons aussi Konbini et Vice sur des plateformes sociales tels Instagram, Facebook et Snapchat.
Contrairement aux ploucs et beaufs, nous regardons les infos sur la 2 et la 7, et Quotidien sur TMC, pendant que certains regardent TPMP et la 1.
Il possède Apple music, et un abonnement Spotify Premium et Netflix. Le bobo refuse d’être vu sans ses ourlets. Les enfants des bobo deviennent des skaters (ou fuckboy, s’ils ne possèdent pas de skate mais s’habillent avec des vêtements de marques de skate (thrasher, supreme, huf, vans, etc.)). Ils sont aussi habillés chez le Monoprix de République
Le bobo est féministe qu’il soit femme, homme ou autre. La plupart possède des CE (Cigarettes Electroniques) et roule en Limes ou en Bird.
Le bobo vote à gauche, mais place son argent à droite, il aime la mixité sociale (mais pas trop quand même).
Il se déplace en vélo ou vélo électrique.
Ils possèdent une maison de campagne et s’y rend chaque week-end .

conclusion:
la vida loca

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *