Dontown Abbey, le film

 Premièrement, parlons de la série: Dontown abbey est  un drame historique qui se déroule au début du XXème siècle, de 1912 (le naufrage du Titanic) à 1926. C’est la vie quotidienne d’un manoir , ou plutôt celles des habitants du manoir (les aristocrates mais aussi le personnel).
Deuxièmement, parlons de l’adaptation de cette belle série ; le film est une conclusion de la série anglaise . Le film se déroule lorsque le roi vient rendre visite à la famille Crawley.
Allons, comparons les deux : dans la série, tout se passe très vite. Les twist (retournements de situation) sont nombreux c’est-à-dire. Mais tandis que, dans le film, on a le temps d’observer les belles scènes ou le temps de s’endormir, au choix. J’ai comparé les deux downton abbey. Maintenant, laissons d’autres spectateurs donner leurs avis.

Spectateur 1 (David Vernon)-Ils ont substitué un bon scénario et une bonne intrigue avec des scènes extravagantes et somptueuses (comportant beaucoup de scènes aériennes pour une raison quelconque) , et beaucoup de nostalgie pour se vautrer dans un âge d’or imaginaire. On a l’impression de regarder le passé à travers des lunettes teintées de rose.

Tout cela est quelque peu atténué par le plaisir réel de se vautrer dans le passé et par la présence de très bons acteurs, notamment de Dame Maggie Smith, qui semble en fait avoir écrit le film et qui a obtenu les meilleures répliques.
Spectateur 2 (anonyme): Après la fin de la série, nous avions hâte de découvrir l’adaptation filmique. Et, bien évidemment, le résultat est bien en-deçà de nos espérances. Je vous explique :- trop de bons sentiments ! Comment croire à une réconciliation entre Edith et Mary ? Nous parvenons même à apprécier Thomas …us explique :
– l’intrigue est minimaliste et peu crédible. Croyez-vous en la modernité de la monarchie anglaise, moi pas !
Il reste néanmoins ses premières notes du générique, promesse d’un retour dans le passé, ou encore les décors, l’étiquette mais aussi les tenues qui nous permettent de rêver un peu, et surtout Maggie. Ah, Maggie …

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