L’Epopée de madame Mouillaud

Tout commença par une belle journée de la fin du mois d’octobre. Madame Mouillaud allait chercher ses croissants de bonne heure et de bonne humeur. Arrivée devant la boulangerie, elle vit qu’elle avait oublié son porte monnaie. Elle rentra donc chez elle en mode super vitesse. Mais elle ne maîtrisait pas encore son super pouvoir et partit dans l’autre sens. Elle se retrouva dans un endroit très étrange. Il y avait toutes sortes de choses incroyables : des chamallows qui marchent, des poissons qui respirent hors de l’eau ou encore des rivière qui changent de sens à leur guise. Madame Mouillaud, ébahie, fut vite interpellée par un  petit bonhomme qui lui dit : « Bonjour personne à longues jambes, vous n’êtes pas d’ici ?  » « Non » répondit-elle. « Alors nous allons vous présenter notre univers » Il lui fit découvrir le pays et, à un moment, ils arrivèrent  devant un lieu sombre, madame Mouillaud demanda ce que c’était. Le lutin répondit : « C’est la zone noire. Il ne faut jamais y aller car une bête y habite ». Madame Mouillaud approuva et ils repartirent vite vers un autre endroit. Mais le lutin avait oublié de dire qu’il ne fallait pas sortir à minuit. Vers 23 h,  madame Mouillaud fit une fête pour remercier les habitants de ce pays de l’avoir si bien accueillie. Mais la fête  se prolongea. Quand minuit arriva, une ombre rapide prit tous les villageois et après l’ombre partit vers la zone noire. Alors madame Mouillaud prit son courage à deux mains (ce qui l’étonna elle-même) et alla affronter l’ombre. Devant une grotte, elle entendit des cris de peur et pénétra grâce à son super pouvoir. L’ombre était, en fait, un  dragon aussi grand que six immeubles. Il voulait faire cuire des villageois au barbecue. C’est alors que madame Mouillaud concentra toute sa force (elle ne savait pas qu’elle en avait) dans ses mains et ses pieds, elle  détruisit le dragon. Après elle libéra les villageois et repartit chez elle. Arrivée chez elle, elle se rendit compte qu’en se battant avec le dragon, elle s’était cassée deux doigts de la main droite (le pire c’était qu’elle était droitière, donc que cela allait être galère de corriger les copie de ses élèves ).

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