Socio-esthéticienne, Valérie Bigot propose des soins esthétiques à des personnes fragilisées par la maladie, le handicap ou encore la précarité. Reportage vidéo.
Diplômée d’un CAP d’esthétique, Valérie Bigot, 53 ans, s’est spécialisée comme socio-esthéticienne après avoir accompagné l’une de ses clientes, atteinte d’une sclérose en plaques.
Elle a suivi le cours d’esthétique à option humanitaire et sociale (Codes) du CHRU Bretonneau, à Tours (Indre-et-Loire). Cette formation, ouverte depuis 1978 et habilitée à délivrer un titre de socio-esthéticienne de niveau IV, a formé plus de 1 500 professionnelles (le métier est très majoritairement féminin). Depuis, d’autres écoles françaises lui ont emboîté le pas.