Mon métier : socio-esthéticienne auprès de personnes fragiles

Socio-esthéticienne, Valérie Bigot propose des soins esthétiques à des personnes fragilisées par la maladie, le handicap ou encore la précarité. Reportage vidéo.

Diplômée d’un CAP d’esthétique, Valérie Bigot, 53 ans, s’est spécialisée comme socio-esthéticienne après avoir accompagné l’une de ses clientes, atteinte d’une sclérose en plaques.

Elle a suivi le cours d’esthétique à option humanitaire et sociale (Codes) du CHRU Bretonneau, à Tours (Indre-et-Loire). Cette formation, ouverte depuis 1978 et habilitée à délivrer un titre de socio-esthéticienne de niveau IV, a formé plus de 1 500 professionnelles (le métier est très majoritairement féminin). Depuis, d’autres écoles françaises lui ont emboîté le pas.

CNAM : Bac + 1 Accompagnement professionnel et bien-traitant des personnes âgées

Public, conditions d’accès et prérequis

Personnes diplômées du Bac (niveau 4), du DAEU ou du Passe numérique.
La formation sera également ouverte aux diplômés d’un CAP, d’un BEP ou équivalent (niveau 3) et ayant au moins 5 années d’expérience dans le secteur de la santé, du médico-social ou du social (VAPP).

Objectifs

Former mieux et plus de personnes à un accompagnement de qualité des personnes âgées compte tenu des besoins du secteur en termes quantitatifs et qualitatifs
Développer l’employabilité des professionnels voulant exercer ou exerçant déjà auprès des personnes âgées, en leur permettant de progresser au sein de leur organisation ou bien dans une autre organisation du secteur grâce à la transmission de compétences techniques d’accompagnement et des compétences d’organisation des activités et des services.
Transmettre les compétences permettant d’accompagner une personne âgée dans les activités et gestes quotidien, de contribuer à son confort, son bien-être et sa sécurité par l’entretien de son cadre de vie et du maintien de son autonomie
Valoriser le métier d’Accompagnant Professionnel en développant les compétences adaptées à l’évolution des besoins et attentes des personnes âgées.

Mentions officielles

Intitulé officiel figurant sur le diplôme : Diplôme d’établissement Formation supérieure de spécialisation Bac + 1 Accompagnement professionnel et bien-traitant des personnes âgées

Code(s) NSF : Spécialités plurivalentes des services aux personnes (réalisation du service) (330t)

Code(s) ROME : Assistance auprès d adultes (K1302)

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RESPONSABLE-COORDONNATEUR SERVICES AU DOMICILE

Formation en présentiel

TITRE PROFESSIONNEL 

RESPONSABLE COORDONNATEUR SERVICES AU DOMICILE

Cette formation est reconnue Niveau Bac+ 2 correspondant à un BTS/DUT

Responsable coordonnateur services à domicile : Titre professionnel délivré par le ministère du Travail de niveau 5 (BTS/DUT).

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Animateur en gérontologie

L’animateur en gérontologie intervient auprès de personnes âgées. Il vise à favoriser le bien-être des résidents d’une structure et à leur permettre de retrouver ou de développer une vie sociale au sein de la structure ou dans son environnement.

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Auxiliaire de vie auprès des personnes âgées : l’humain avant tout

Mettre l’humain au cœur de son travail, c’est ce que font les auxiliaires de vie qui accompagnent les personnes âgées en perte d’autonomie. Entre vocation, bienveillance et force tranquille, ces professionnels du grand âge ont plus d’une corde à leur arc pour rendre la vie de nos ainés plus douce. Aujourd’hui, 2,3 millions de personnes âgées sont dépendantes. En 2050, elles seront 4,8 millions et, de fait, le métier d’auxiliaire de vie, déjà indispensable, va devenir incontournable. Vous avez envie de suivre la voie de ces professionnels engagés ? Voici tout ce que vous devez savoir sur la place de l’humain dans ce métier, au travers du regard d’Olivier Lebouché, Président du réseau Petits-fils.

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Mieux accompagner la fin de la vie à la lumière des enseignements de la crise sanitaire

L’avis « Mieux accompagner la fin de la vie à la lumière des enseignements de la crise sanitaire » a été adopté lors de l’Assemblée plénière du 17 février 2022 (Adoption à l’unanimité moins une abstention).

La crise sanitaire a rappelé les lacunes du système sanitaire et médico-social en matière d’accompagnement de la fin de la vie. Un équilibre doit être recherché entre l’approche sanitaire et les autres approches à partir des droits des personnes.
Outre la revalorisation et le renforcement des métiers du soin et du lien, la CNCDH
recommande de replacer la mort au centre du débat public en organisant des états généraux de la fin de la vie, afin, notamment, d’anticiper les enjeux du vieillissement.
Elle recommande également de développer une culture palliative partagée, de

mieux informer les personnes sur leurs droits et les dispositifs existants et de

créer un répertoire national regroupant les dispositions anticipées. Elle suggère de
lutter contre l’isolement social, les discriminations liées à l’âge et les inégalités en garantissant un meilleur maillage territorial favorisant les échanges en réseau entre professionnels et en multipliant les lieux de vie partagés. La CNCDH appelle enfin à mieux accompagner les aidants mais également les plus démunis tout au long du processus de fin de la vie.

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Lancement de la campagne nationale « OSONS VIVRE » – CSPHF

La Société Française d’Accompagnement et de soins Palliatifs lance une campagne nationale via les réseaux sociaux, des opérations d’affichage et des spots radio et TV afin de diffuser la culture palliative auprès du grand public.
La SFAP a l’ambition de toucher 20 millions de Français dans les semaines et les mois à venir pour que davantage de personnes malades puissent ensuite, avec leurs proches, trouver soulagement et accompagnement jusqu’au bout de leur vie.

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Grand âge : le Gouvernement engagé en faveur du bien vieillir à domicile et en établissement

Parce que tous les Français aspirent aujourd’hui à bien
vieillir chez eux, comme la crise sanitaire l’a encore
montré, le Gouvernement a pris un ensemble de
mesures pour l’accompagnement des personnes à
domicile. La création, à l’été 2020, d’une cinquième
branche de la sécurité sociale couvrant le risque
« autonomie », financée sur le long terme et pilotée
par la Caisse nationale des solidarités pour l’autonomie
(CNSA), va permettre le déploiement effectif et
universel de cette politique du bien vieillir, dans tous
les territoires.

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