Une Journée à Orléans

Un récit de voyage et des photos de Sawarat Ruchithamkul // Mai 2017

Si vous aviez 6 heures à Orléans, que feriez-vous ?

Le 27 avril 2017, mon voyage a commencé à 7h00 du matin. J’ai dû aller à Orléans pour obtenir mon dossier de l’OFII…donc j’ai décidé de rester un peu plus longtemps.  Après avoir fini à l’OFII vers 9h30, je suis allée vers à la statue de Jeanne d’Arc parce que c’est une ville de Jeanne d’Arc. Alors, je suis allée à la maison de Jeanne d’Arc. C’est une vieille maison telle que les maisons dans le quartier du Vieux-Tours à la place Plumereau!

De plus, j’ai visité le deuxième étage qui est la bibliothèque pour rechercher des informations sur Jeanne d’Arc. Avec l’aide de la bibliothécaire, elle m’a raconté l’histoire de Jeanne d’Arc qui est très intéressante. J’ai compris que cette maison n’était pas la maison originale de Jeanne d’Arc à cause de la deuxième guerre mondiale. Elle a été reconstruite pour en conserver la mémoire.

En outre, il y a plusieurs statues de Jeanne d’Arc et la première que j’ai trouvée sur la place de Jeanne d’Arc est la plus récente. Il y en a deux. Malheureusement, je n’ai pas assez eu du temps pour voir la troisième qui est la plus ancienne parce qu’il faut traverser le Loire. Au lieu de traverser la Loire, j’ai cherché la deuxième qui se trouve dans un hôtel particulier près du musée des beaux-arts et la cathédrale.

Puis, j’ai visité le musée des beaux-arts avec un ticket de 2 euros pour les étudiants qui ont moins de 25 ans. Il faut voir le grand tableau de Jeanne d’Arc que la bibliothécaire m’a recommandé.

Selon moi, j’ai trouvé que ce musée est plus grand qu’à Tours. Ce ticket que j’ai acheté seulement 2 euros permet aussi de visiter le musée historique et archéologique de l’Orléanais. Avant de le visiter, je suis allée voir la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans.

Jeanne d’Arc sur le bûcher

Les vitraux dans lesquels l’histoire de Jeanne d’Arc a été racontée se trouvent des deux côtés de la cathédrale. Ils sont très beaux !

À Orléans, il y a aussi les Halles mais c’est plus grand qu’à Tours. J’ai déjeuné aux halles d’Orléans dans un petit restaurant italien. Alors, j’ai visité le musée historique et archéologique de l’Orléanais qui se trouve à 5 minutes des halles. Il y a une collection d’objets médiévaux et des objets évoquant l’histoire d’Orléans. C’est intéressant !

Enfin, mon voyage a fini. J’ai dû retourner à Tours. C’était une journée magnifique même si j’ai raté le cours.

Points de vue…

Composition : logo de la présidentielle sur Panorama des candidats (source : Journal Midi Libre)

Voici le résultat d’un travail collectif réalisé par des étudiants du cours avancé 2 sur le thème des élections présidentielles françaises qui se sont déroulées ce printemps. Étaient réunis autour des micros en ce vendredi 12 mai : Kavin, l’animateur principal, Jack, Sookkyeom, Jinsu et Ivan, les journalistes chroniqueurs et un invité exceptionnel de dernière minute : Joseph, l’anglais… modèle, de passage dans notre ville.

Qu’ont pensé les étudiants des candidats, de leurs programmes ? Pour qui auraient-ils voté ? Vous saurez tout en écoutant ici l’émission « Points de vue »:

Un lieu magique à Nantes…

Voici le reportage réalisé à l’occasion d’une visite à Nantes le 29 mars. Les étudiants du cours Avancé 2 de Slyvie Janin, accompagnés de Minie, Annie et de Sébastien, sont allés à la rencontre de cette belle ville, passant par Trentemoult, son ancien village de pêcheurs, pour aller ensuite visiter à Rezé la Maison radieuse dessinée par Le Corbusier.

Voici donc, pour commencer, la traversée sonore de Trentemoult suivie de la délicate carte postale impressionniste écrite par Sookkyeom.

Balade sonore à écouter ici :

Et impressions de Sookkyeom à lire et écouter ici :

« Les murs polychromes m’ont attiré dès que je suis entrée dans Trentemoult. Les couleurs pastels m’évoquaient le flux oisif de la Loire et l’histoire fanée de Nantes à l’ère de l’esclavage.

Ce petit village, saturé de décorations kitchs, m’a rappelé une aire de jeux qu’une nymphe gamine aurait construit pour s’amuser. Pourtant, les dialogues dynamiques des habitants et les fumets alléchants se sont également harmonisés avec cette ambiance fascinante.

Les chaises et la table disposées de manière désordonnée au petit carrefour m’ont fait imaginer la nuit paisible pleine de conversations aimables. Évidemment, Trentemoult n’est plus un village qui résonne de l’activité des pêcheurs. À la place, l’enthousiasme des artistes ainsi que les pas des enfants secouent la terre de Trentemoult en revitalisant l’ambiance.

Les bruits des habitants et les enfants batifolants m’ont réveillée d’une pensée : je me promène en un lieu imaginaire. Quand bien même, cette idée insensée n’a pas disparu définitivement. Car tous les objets : l’affiche déchirée, les graffiti(s)[1] des enfants, le mur peint, la branche tordue et la feuille tombée… tout s’harmonise telle une mise en scène cinématographique.

À mes yeux, ce village avait l’air d’un gigantesque ouvrage artistique, contemporain sans doute… Pourquoi pas ?

Visiter un lieu inconnu me fait ressentir une sorte de domination. Car d’après moi, la découverte était censée me faire conquérir un territoire méconnu. Toutefois, pendant la promenade à Trentemoult, ce qui a été conquis, c’est moi, tellement impressionnée. »

[1]    « Graffiti » en langue française vient de l’italien graffito, terme désignant un stylet à écrire. Son pluriel italien est graffiti. (…) On utilise donc le mot graffiti au singulier et au pluriel mais l’utilisation du s (graffitis) est admise dans l’usage. Source : Wikipédia

Le numéro d’avril est en ligne :

Éditorial du numéro d’avril par Sébastien BAETA // avril 2017

Merci à tous les étudiants qui ont contribué ce mois-ci encore avec des portraits croisés et des critiques de films. Sung Hyo rebondit sur l’actualité avec un parallèle entre les élections présidentielles en France et en Corée.

Nous avons aussi partagé nos souvenirs lors d’une belle discussion finale sur les lieux où l’on a vécu et ceux que l’on aimerait découvrir, peut-être même y vivre. Elle fera prochainement l’objet d’une chronique… à suivre donc !

Bonne lecture à tous et encore bravo à tous nos rédacteurs !

Portraits croisés de Mahdi et de Sébastien…

Portrait de Mahdi par Sébastien // avril 2017

J’ai rencontré Mahdi (on prononce Mehdi). Ce jeune homme très sympathique et ouvert est Koweïtien, il a 18 ans. Il vient de terminer le lycée et il est venu en France pour apprendre le français car il veut faire des études de littérature française dans une université à Lyon.Son rêve serait de devenir professeur de littérature française au Koweït car c’est rare dans son pays et ce type de poste offre beaucoup de vacances.

Madhi aime beaucoup les langues : il parle déjà arabe, anglais, farsi et maintenant le français. Enfant, il avait du mal à rester assis toute la journée en classe, il a toujours aimé le sport.

Il a pratiqué durant quatre années le judo et il a fini deuxième à un championnat au Koweït ! Maintenant il pratique le football et le tennis, un peu de ping-pong aussi à l’Institut.

Je lui ai demandé d’où lui venait son attirance pour le français, il m’a raconté qu’il avait déjà fait un voyage en France en 2013. Apparemment, ce premier voyage lui avait plu !

Portrait de Sébastien par Mahdi // avril 2017

Bonjour. J’ai rencontré Sébastien c’est un professeur de français pour les étudiants qui apprennent la langue française à l’institut. En fait il a repris ses études jusqu’au master fle. En ce moment, il enseigne le français pour les étudiants étrangers et il est sympathique.  Il est resté au  Japon pendant 6 ans c’est bien quand même parce que  le Japon lui  a donné l’envie de d’étudier en doctorat spécifiquement dans les sciences de l’éducation et faire une formation, il aimerait bien compléter ses études.

Il m’a raconté un souvenir d’école : quand il avait 8 ans  à l’école, il a cassé la dent d’une fille de son âge, c’était un accident  mais il se sentait coupable. Il m’a raconté une autre histoire  quand il avait 16 ans, il s’était inscrit dans un club d’archéologie du  lycée, il adorait ça.

Pour finir, je lui souhaite de finir ses études de doctorat parce qu’il aime beaucoup ça et en fait je ne connais personne qui ne l’aime pas il est toujours sympa et calme.

Mahdi Mohammad

Il était temps

La critique du film About Time/Il était temps (2013) par Sawarat RUCHITHAMKUL // avril 2017

About Time/Il était temps (2013) est un film de Richard Curtis réalisé en 2013. Avec :  Domhnall Gleeson (dans le rôle de Tim Lake), Rachel McAdams (dans le rôle de Mary) et Bill Nighy (dans le rôle du père de Tim)

Genre : Drame, Science-Fiction, Fantaisie, Comédie romantique

« Il était temps » commence avec Tim Lake, un garçon normal qui soudainement découvre qu’il a un super pouvoir. Quand il a 21 ans, son père partage avec lui le pouvoir secret de sa famille : celui de voyager dans le temps. Puis, il l’utilise pour se trouver une copine. Il déménage à Londres pour poursuivre son travail idéal d’avocat et il continue à chercher une petite amie dans le futur. Finalement, il rencontre Mary, une femme avec qui il veut se marier. Cependant, il est capable de changer à tout moment de vie mais tout ne se passe pas aussi bien qu’il le souhaite.

Après avoir vu le film « Il était temps », il ne ressemble à aucun autre film  de voyage dans le temps. En fait, si vous connaissez Richard Curtis qui est le réalisateur, tout le monde a déjà vu le film de « Coup de foudre à Nothing Hill » ou « Love Actually ». Absolument, c’est lui qui a les réalisés ! Alors… Pourtant, les scripts et les dialogues donnent toute la sensibilité et le sens d’un couple comme celui de Tim (Domhnall Gleeson) et Mary (Rachel McAdams). De plus, il y a un tel humour dans chaque dialogue que je ne peux pas m’empêcher de sourire. Par exemple, quand Mary amène Tim à sa chambre et lui dit : « Je vais dans ma chambre mettre mon nouveau pyjamas et dans une minute, tu peux entrer et l’enlever. » Cela rend sexy, amusant et vraiment romantique. Curtis montre aussi Tim et sa relation avec son père (Bill Nighy). Bien qu’ils ne se parlent pas beaucoup, ils sont très proches. Cette relation fera penser à votre père.

Pour la musique, il y a une chanson qui trotte dans ma tête : c’est « How Long Will I Love You » par Jon Boden, Nick Laird-Clowes, Sam Sweeney et Ben Coleman. Cette chanson est très douce et simplement romantique. Le poème lyrique et le rythme se sont gravés dans mon cœur.

« Il était temps » m’a complètement réjoui du début jusqu’à la fin. Il renouvelle la comédie romantique avec un petit peu de voyage du temps. Il n’y a aucune raison que vous ratiez ce film !

La jeune fille et son Aigle

Critique de La jeune fille et son Aigle par Tomomi // avril 2017

Photo du film « La jeune fille et son aigle »

~ Pour son rêve et pour vivre, la jeune fille combat toujours, avec l’esprit fort ~

?La jeune fille et son Aigle?est un film documentaire américain-britannique-mongol qui est sorti en 2016. Le réalisateur, Otto Ben, a remarqué une jeune fille qui est née en Mongolie comme nomade et qui est le premier chasseur à l’aigle féminin. Ce qui est étonnant, ce qu’elle, Aisholpan, a encore 13 ans. Dans la plupart du film, elle est toujours avec son partenaire “ Aigle”. Quand l’aigle revient à elle en étendant ses ailes, on est surpris par la taille de l’aigle à côté de celle de jeune fille.

Depuis plus de 1000 ans, la tradition de la chasse à l’aigle se perpétue dans cette région. Cependant, il n’y a que des hommes si bien que le chemin de Aisholpan pour devenir une chasseur n’est pas très simple malgré que son père ait gagné 2 fois dans la compétition de chasse à l’aigle. Pour vivre avec son partenaire “l’Aigle”, elle lui faut combattre la tradition, les préjugés et la grande nature etc… Personnellement, je trouve sa vie trop dramatique pour une personne de son âge. Mais, je n’ai jamais constaté que ses yeux aient perdu leur éclat jusqu’ à la fin de l’histoire.

La famille, les camarades d’école, les coutumes, la culture, les animaux…Vous pourrez découvrir beaucoup de choses remarquables. Et vous vous rendrez compte que les yeux de Aisholpan et ceux de son Aigle tendent à se ressembler.

La seule chose qui m’a dérangé un peu, ce sont quelques effets sonores excessifs, mais lorsque j’ai pensé que c’est un film pour toutes les générations, alors j’ai compris et je ne m’en apercevais plus.

Néanmoins, il n’y a rien de plus émouvant qu’une histoire vraie…

Un jour merveilleux

Portrait de Mélanie par Tomomi USUI // Avril 2017

Le 6 avril, j’ai rencontré une étudiante américaine qui avait un rêve formidable. Quand elle a parlé de son avenir, ses yeux étaient plus brillants.

Mélanie est une personne très travailleuse. Elle a appris l’espagnol et le latin au lycée. Ensuite, elle a commencé à étudier la biologie et la médecine à l’université. Jusqu’à ce moment-là, elle pensait devenir médecin pour aider des gens.

Le moment du changement est arrivé tout d’un coup. Lorsqu’elle était en maîtrise, elle est tombée amoureuse de la littérature. Elle aimait beaucoup ce monde et il lui a offert de nombreuses impressions et ouvert l’imagination. En même temps, elle apprenait le français et elle s’intéressait au français autant que la littérature. Parce qu’elle veut devenir une écrivaine comme Ernest Hemingway, un écrivain américain qui avait habité à Paris en 1920. Vivre à Paris en écrivant un roman, c’est son rêve!! Paris est une ville séduisante où nous découvrons des tas de choses extraordinaires.

Aujourd’hui, elle travaille dans une administration universitaire. Comme elle aime écrire, son travail, aider les chercheurs à faire des demandes de financement, est très amusant pour elle. De cette façon, son travail utilise les compétences qu’elle a obtenues dans ses études, dit-elle.

A l’Institut de Touraine, elle est en train d’améliorer son français, surtout la compréhension orale et écrite pour lire des romans français et bien sûr pour écrire ses ouvrages. J’espère trouver ses livres dans une librairie un beau jour!!

Portrait de Tomomi par Mélanie ALBRIGHT // Avril 2017

A l’Institut de Touraine, il y a une étudiante japonaise qui s’appelle Tomomi. Quand Tomomi n’étudie pas le français a l’Institut, elle essaye d’apprendre toutes les choses qu’elle peut : << Pour mes projets d’étude, je n’ai pas d’objectif spécifique. Au contraire, je voudrais connaitre beaucoup de choses. >>

Tomomi a commencé cette exploration de connaissances lorsqu’elle étudiait la culture européenne à l’université. Quand elle était étudiante, elle est allée en Autriche et en Allemagne, où elle a découvert un peintre, Gustave Klimt. Ensuite, ce voyage lui a inspirée une rédaction sur le changement des cultures au Japon et en Europe.

« Frise Beethoven », G. Klimt (1901)

Son séjour à Tours est bientôt finit. Toutefois, elle a une décision à prendre : ou habitera-elle ? << Je n’arrive pas à décider si je veux vivre en France ou au Japon. >> Après elle retournera au Japon, elle travaillera dans une entreprise, mais elle n’en a pas encore trouvée. Donc, je lui souhaite beaucoup de chance pour prendre cette décision : bon courage, Tomomi !

Interview de Sue par Jenny (Sawarat)

Interview de Sue par Jenny (Sawarat RUCHITHAMKUL)// avril 2017 Sue,Taïwanaise est inspirée par les plantes et les herbes, Sue est étudiante en horticulture à Taïwan. Elle s’intéresse à toutes les plantations et à Tours il se trouve qu’il y en a beaucoup, c’est pourquoi Sue a choisi d’apprendre le français ici !

Souvenirs liés à ses études – Positif : LES PLANTES !!!!!!!! Tout ce qui concerne des plantes, ses souvenirs les plus agréables.

Négatif : LE COMMERCE de l’usage des plantes : à son avis, les produits chimiques même à base de plantes détruisent l’équilibre de l’environnement et sa nature..

Études : Elle a obtenu une licence (4 ans) dans le domaine de l’horticulture à Taïwan.

Projets professionnels : Ses projets professionnels sont de devenir propriétaire d’un café et de continuer ses études supérieures sur le thé.

Pourquoi la France ? Sue : C’est cliché ! La France était mon rêve mais au-delà la gastronomie qui m’a attiré à voyager en France. Je rêvais de goûter du vin et le chocolat et aujourd’hui mon rêve s’est réalisé.        

Sunghyo par Wenmin

Portrait de Sung Hyo HAN par  Wenmin CHANG // 12 avril 2017

Jeudi dernier, j’ai connu une nouvelle étudiante à l’Institut de Touraine. Elle s’appelle Sunghyo et elle a vingt ans. C’était son troisième mois à Tours, et elle m’a dit qu’elle aimait beaucoup la vie ici. Comme l’autre Coréenne que j’ai connue, elle était belle et gentille. Nous avons raconté beaucoup d’histoires dans nos vies.

D’abord, elle m’a raconté un souvenir d’école quand elle avait dix-huit ans. Cette année-là, elle travaillait toujours pour passer le Bac. Normalement, les étudiants en Corée travaillent de huit heures à une heure du matin pendant un an. C’était très difficile pour moi d’imaginer cela. Mais, grâce à tout son travail, elle a réussi à entrer dans une bonne université à Séoul ¨l’université de Sungshin.¨ Et puis, elle a ajouté avec un sourire qu’elle a eu la note de cent sur cent au sujet d’anglais. Mais aussi dans le même examen, elle n’a pas eu une bonne note en ¨Coréen¨, parce que c’était trop difficile et elle était très nerveuse au premier test aussi.

Après, je lui ai demandé pourquoi elle apprenait le français. Elle m’a répondue que le français c’était le deuxième domaine qu’elle avait choisi. Le premier était la politique. Quand elle aura fini ses études, elle voudrait travailler pour l’ONU. C’est aussi la raison pour laquelle elle est venue en Europe pour apprendre les cultures différentes.

En effet, elle m’a expliqué qu’il y avait beaucoup d’employés qui travaillaient pour l’ONU et qui étaient des Européens. Et c’était mieux qu’elle ait connu les idées diverses entre les différents pays. Et puis, pour atteindre son objectif, elle voulait voyager en Europe quand elle a du temps libre.

C’était très agréable de la connaître. Je souhaite qu’elle réussisse à travailler pour l’ONU dans l’avenir.

buy windows 11 pro test ediyorum