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« Le tueur à la cravate » adapté par…

Nicolas Joly de 1 CAP Bij

Le Polar by Solène L. 2°6

« Le tueur à la cravate »
J’ai eu l’occasion de lire deux ou trois livres policiers et j’ai vraiment aimé. Mais pour ce livre, je n’ai pas pu m’arrêter de le lire. Dès que je me suis plongée dans ce policier, j’ai tout de suite été transportée.
Dans la première partie, mon premier sentiment, a été le fait de m’identifier à « Ruth », une fille de notre âge environ, tout à fait ordinaire. L’écriture, parfois familière me fait penser à la vie de tous les jours.
Le livre nous montre qu’Internet, qui peut être un très bon outil, a plusieurs facettes, avec le problème de se faire passer pour quelqu’un d’autre. De plus, avec un seul clic, on peut faire ressortir des souvenirs douloureux, comme c’est le cas dans « Le tueur à la cravate ».
Mais je ne vais pas dire que j’ai tout aimé du début à la fin, car le fait qu’il y ait trop de personnages, m’a troublée à certains moments, même si ceux-ci étaient très bien décrits.
Ensuite je trouve dommage, que les personnages soient tous en quelque sorte des caricatures, des stéréotypes, comme le grand-père, un vieux « bourru » pas méchant mais renfermé sur lui-même. Ou même, « Alice Meyzieux » la femme encore célibataire à passée la trentaine qui se laisse aller, « Martin et Guy » les deux hommes charmants inaccessibles du livre.
Pour la couverture, au premier abord, le livre ne donne pas envie d’être lu et la couverture est un peu effrayante et relativement sombre. Mais après avoir lu le livre, on arrive à comprendre à quoi elle fait référence.
Et pour la deuxième partie « Comment naît un roman (ou pas) », je trouve intéressant le fait de voir, en quelques pages comment naît un roman comme celui-ci, même si je pense que ce n’est qu’une seule partie de la naissance d’un livre.

« Le tueur à la cravate » de M. A. Murail – Ed. L’école des loisirs

« Le tueur à la cravate » est un excellent roman, policier si on veut « mais pas que ». Policier parce qu’il y a des crimes, des tueurs présumés, des innocents accusés, des flics pourris (et des intelligents aussi), des morts et des vivants… Mais la trouvaille (si on peut dire, cela se fait forcément de plus en plus) de ce roman c’est de l’avoir cuisiné à la sauce internet. Parce que, en l’occurrence, Facebook, Perdudevue et autres MSN vont accélérer l’inévitable et raviver des plaies mal cicatrisées. Ajoutons à cela deux jeunes filles, une petite et une ado, terriblement attachantes et vous avez les ingrédients d’un roman qui se lit en 5 heures chrono (en apnée) et que, au final, on trouverait presque trop court quand on s’aperçoit que les 100 pages qui restent sont le « journal de bord » de l’auteur qui raconte comment est né et a grandi son roman, ce qui, par ailleurs, est assez passionnant.

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