« Le tueur à la cravate » est un excellent roman, policier si on veut « mais pas que ». Policier parce qu’il y a des crimes, des tueurs présumés, des innocents accusés, des flics pourris (et des intelligents aussi), des morts et des vivants… Mais la trouvaille (si on peut dire, cela se fait forcément de plus en plus) de ce roman c’est de l’avoir cuisiné à la sauce internet. Parce que, en l’occurrence, Facebook, Perdudevue et autres MSN vont accélérer l’inévitable et raviver des plaies mal cicatrisées. Ajoutons à cela deux jeunes filles, une petite et une ado, terriblement attachantes et vous avez les ingrédients d’un roman qui se lit en 5 heures chrono (en apnée) et que, au final, on trouverait presque trop court quand on s’aperçoit que les 100 pages qui restent sont le « journal de bord » de l’auteur qui raconte comment est né et a grandi son roman, ce qui, par ailleurs, est assez passionnant.
Home » 8-2. Livre elu 2 (2010-2011) » « Le tueur à la cravate » de M. A. Murail – Ed. L’école des loisirs
La seule chose que j’aurais à reprocher à ce livre c’est que :
Apres avoir pris des repères durant les premières pages que l’auteur a changé subitement, après avoir appris à connaître les personnages attachants de ce livre, après avoir attendu l’événement qui allait bouleverser le cours de l’histoire et qui n’est jamais venu ; après avoir rêvé d’une fin à la hauteur du début, après m’être lassé de ce livre , et enfin après avoir voulu passer une dizaine de pages d’un coup …
J’ai tourné la dernière page, sans qu’aucun de mes souhaits n’ait été exaucé.
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire « Le tueur à la cravate », bien qu’il ne se distingue pas réellement des autres ouvrages que j’ai pu lire pour l’opération « Livre élu ». Plusieurs parties sont intéressantes dans ce livre, comme le fait de montrer les risques d’Internet à travers un récit qui mêle différentes générations. Les passages de tendresse et d’amitié entre Ruth et différents personnages, dont son père, son grand-père qu’elle n’avait jamais rencontré, voire presque d’amour pour sa sœur Bethsabée sont touchants. Avec ses malheurs, cette famille devient attachante. Je conseille donc ce livre aux personnes qui aiment les belles histoires avec un mélange d’enquête policière.
Tel un roman parcourant des années,
Où le mystère est la voie de la réussite
Toute l’histoire est basée sur un meurtrier
Etant sur le chemin de la fuite, qui
Maintenant ne fait que ranimer le passé.
Tel un roman digne d’un policier,
Rien ne vaut mieux que de le dévorer.
Innocent et parfois coupable présumé,
Seulement deux heures et le tour était joué.
Tenter de mentir est pour lui le seul moyen de s’en sortir,
Et pourtant, allongé dans mon lit,
Seul, et comme emprisonné dans ce martyre,
S’il fallait décrire en un mot ce défi,
En toute évidence, je choisirais l’impossible.
(3.5)
(4) Je n’ai pas vraiment d’avis sur ce livre. Je suis à la fois surprise et déçue. Surprise, par la fin aussi inattendue soit elle, par la découverte du véritable tueur à cravate. Déçue, par le déroulement de l’histoire, il n’y a pas assez d’actions à mon goût, c’est assez « longuet » et franchement je me suis ennuyée. En même temps, je n’ai jamais trop accroché avec les romans policiers. De plus, je m’emmêlais les pinceaux avec les prénoms des jumelles ( l’une s’appelant Marie-Ève et l’autre Ève-Marie ) et aussi avec les rapports entre les personnages tout au long de l’histoire, vraiment compliqués ! Par contre, j’ai trouvé l’attachement de Ruth envers sa petite sœur Bethsabée ( encore un nom compliqué ) vraiment adorable et mystérieux à la fois. Elle ne montre pas ses sentiments mais elle l’aime plus que tout, elle le dit bien dans le livre, elle se tuerait pour elle. Il règne également un drôle de sentiment entre Ruth et son père, on ne sait pas ce qu’elle ressent pour lui, de la haine, du mépris, de l’amour… Ruth et assez mystérieuse à ce sujet. Mais finalement nous nous rendons compte que ce qui compte pour elle tout au fil de l’histoire, c’est bien évidemment de savoir qui est le tueur à cravate mais aussi de protéger sa sœur et de la garder en vie.
En somme, je n’ai pas détesté ce livre mais je le conseillerais seulement aux personnes qui aiment les romans policiers qui « torturent » bien l’esprit et qui sont bien longs à lire pour une fin plutôt inattendue.
Copier, coller une vieille photo de classe sur internet
Avec une adresse mail inventée
Ne pose, a priori, pas de difficulté.
Amenant une seule dette :
Le bonheur d’anciens amis.
Copier, coller une vieille photo de classe
Revient aussi
A faire remonter à la surface,
Victorieuses de toutes ces années,
Autrefois étouffées,
Toutes les histoires liées à un homme n’ayant qu’une idée :
Etrangler.
(3.5)
« Le tueur à la cravate » est un livre que j’ai beaucoup aimé, j’ai été prise dans l’histoire dès la première page. Le récit nous fait découvrir des amitiés, des amours cachées, et des secrets enfouis. On ressent l’amour que Ruth a pour sa soeur. Marie-Aude Murail arrive à nous faire ressentir toutes ces émotions. Je ne lis pratiquement pas de romans policiers, mais pour ma part celui-ci est très réussi, il y a du suspense jusqu’à la fin, ce qui nous donne envie de le lire en une seule fois. Le journal de bord m’a permis de bien m’y retrouver dans la chronologie du récit. Malgré son épaisseur il est très facile à lire, je le conseille à tout le monde.
(2.5) Le début est plutôt lent à cause de l’énumération trop fréquente, la fille raconte trop sa vie. Ce n’est pas le genre de livre que j’aime lire même si j’aime les bouquins policiers , il n’y a pas assez de retournements de situation, c’est ennuyant. Même si l’histoire est bien trouvée c’est une histoire dont les causes viennent du passé. Ce n’est que vers les quatre – cinq derniers chapitres que le suspense arrive, on croit que c’est untel le tueur mais en fait c’est pas du tout lui sauf qu’on a quand même des indices donc ce n’est pas trop intéressant. C’est pour ça que je ne recommande pas ce livre.
« Le tueur a la cravate » est un des rares livres où il m’a fallu faire un effort au début, mais après avoir lu une cinquantaine de pages, l’histoire avait un peu plus de sens et me plaisait davantage à chaque chapitre.
Le livre devient de plus en plus captivant, et certains personnages deviennent attachants, en particulier Ruth car on s’identifie beaucoup à elle. Cette jeune fille, qui croit vivre comme n’importe quelle adolescente, découvre soudainement beaucoup de choses sur son passé après avoir posté une photo de classe sur internet.
Cette histoire nous montre qu’un simple clic sur internet peu provoquer des dégâts psychologiques sur nous ou sur nos proches.
J’ai beaucoup aimé le journal écrit par l’auteur à la fin du livre. Il nous montre comment est né le livre, et il répond à la plupart des questions que peuvent se poser les lecteurs sur la création d’un roman.
Je conseille ce livre à ceux qui aiment lire mais aussi à ceux qui n’aiment pas, car la lecture est simple et captivante.
Si mon livre était un objet, il serait un totem,
une arme, il serait une cravate,
un endroit, un parc.
Si mon livre devait être un élément, il serait un canal,
un bruit, il serait un bruit d’étranglement et un climat, ce serait l’été.
Si mon livre était une pièce, il serait une chambre à coucher,
un véhicule, il serait une moto, et un moment de la journée, il serait l’aube.
Pour finir, si mon livre était une émotion, il serait la tristesse.
Voilà un livre que j’ai apprécié, même s’il s’agit d’un roman policier et que je n’ai pas l’habitude de lire ce genre de romans. Il est épais, mais cela ne m’a pas dérangé, il se lit très facilement et on s’accroche à l’histoire, quand on commence à le lire on ne peut plus s’arrêter. Qui ne serait pas captivé par une histoire qui parle d’une victime d’un meurtre et de sa famille qui l’entourait ? On ressent plusieurs sentiments à travers la lecture : de l’appréhension pour savoir ce qu’il va se passer quand la photo de classe sera publiée, on a de la compassion pour Ruth lorsqu’elle apprend la vérité, on comprend aussi l’amour que Ruth a envers sa petite sœur Bethsabée…
Par contre je n’aurais pas imaginé la fin de cette manière- cela gâche un peu l’ensemble, mais au fond, je n’y ai pas trop attaché d’importance.
Le tueur à la cravate est un livre que je conseille, même si on est de petits lecteurs.
(4) « Le tueur à la cravate » est un livre qui m’a beaucoup plu car l’histoire était très intrigante, il y avait beaucoup de suspens et l’enquête des deux jeunes filles était prenante. La simplicité de l’écriture m’a permis de comprendre plus facilement l’histoire. J’ai apprécié le déroulement de l’histoire car au fur et à mesure des pages, je découvrais de nouveaux indices permettant la résolution de l’enquête. Ce livre était agréable à lire, malgré les nombreuses pages et la couverture du livre qui ne me donnait pas forcément l’envie de le lire. Au début quand je lisais le Livre je confondais un peu tous les personnages (surtout les deux jumelles, Ruth et Bethsabée). Mais plus je lisais le livre et moins je les confondais. De plus comme le dit Solène L. Internet est un très bon outil. Mais ce livre nous fait aussi apprendre qu’on ne doit pas trop faire confiance aux sites, photos … sur Internet ! Car nous ne pouvons pas savoir si c’est vraiment quelqu’un de confiance qui les a postés.
Je conseillerai ce livre aux jeunes amateurs de romans policiers.
C’est fou ce qu’un simple clic sur le Net peut déclencher comme catastrophes dans la vraie vie !
Le tueur à la cravate fut pour moi une petite déception. J’ai mis un certain temps pour me plonger complètement dans le livre. A la fin du roman, ma lecture m’a laissée perplexe.
Point positif du roman quand même: les personnages sont attachants, d’humeur tendre, et à la fin, quelques pages de suspense nous tiennent en haleine.
La grande originalité de ce livre de Marie-Aude Murail est qu’elle nous en offre le « making of », sous la forme d’un journal de création intitulé « Comment naît un roman (ou pas) ». Des pages que l’on parcourt avec curiosité, dans lesquelles l’auteur nous raconte au quotidien son métier d’écrivain et nous livre le long processus de la création de son roman, afin de répondre à une question que des lecteurs lui ont souvent posée : « D’où ça vous vient, l’inspiration ? ». C’est tout à fait intéressant !
(3.5) J’ai beaucoup aimé ce livre. Dès le début je me suis attachée au personnage principal. Elle m’a beaucoup émue ! Le personnage principal est en fait Ruth, une adolescente de 14 ans qui a perdu sa mère et qui vit avec son père et sa soeur. Au fil de l’histoire l’auteur fait ressortir le sentiment d’exclusion que ressent Ruth face à la complicité entre sa soeur et son père. Elle fait preuve aussi de beaucoup de courage et de maturité face aux événements qu’elle subit par la suite et je pense que c’est cela qui rend son personnage si attachant.
Au niveau de l’histoire en elle-même, j’ai tout de suite été entraînée dans l’histoire grâce au suspens et au mystère que l’auteur arrive à tenir jusqu’à la dernière page. Etant donné que ce livre est assez long à lire, tout le mystère est prolongé !
Je pense que c’est la façon d’écrire de l’auteur qui fait qu’on est plongé dans le livre, il y a toujours de l’action, et on ne peut pas s’ennuyer en lisant ce livre !
(3) J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman. L’intrigue était très prenante, une fois le livre commencé il m’était impossible d’arrêter. Je voulais, à chaque fin de chapitre, savoir ce qui allait arriver aux personnages.
L’auteur décrivait à la perfection chaque sentiment pour chacun des personnages, ce qui les rendait très attachants et très humains. Tout en lisant j’étais aussi heureuse, malheureuse ou désappointée qu’eux.
De plus, j’ai beaucoup aimé le fait que ce soit une adolescente qui enquête pour innocenter son père et protéger sa petite sœur. J’ai aimé suivre son histoire.
(1.5/5) Les livres policiers ne me fascinent pas du tout, mais j’ai fait un effort. Malgré mon effort je n’ai pas aimé ce livre. Selon moi, c’est un livre pour les adultes. Comme le dit « Salomé Z. » (commentaire au dessus) quand on se met dans le livre, on plonge direct dedans. Et donc, j’y ai plongé.
Le commencement de l’histoire se passe dans une maison où deux adolescentes mettent une photo de classe du père et mère d’une d’entre elle. Et toute une histoire débute à cause de ça. Je ne recommande ce livre qu’aux personnes qui s’attachent aux romans de ce genre, car je pense que les autres personnes seront comme moi.
(2/5) Je n’ai pas trop apprécié ce livre car l’histoire ne m’a pas beaucoup parlé. Ce n’est pas le genre de livre que j’ai l’habitude de lire mais je me suis quand même forcé et au final ça ne m’a pas trop déplu. Les personnages m’ont beaucoup plus surtout la famille qui est plutôt attachante. Le livre est assez long à lire mais une fois pris dans l’histoire ça roule. Pour ma part je trouve la couverture pas très attirante pour les lecteurs mais le concept d’internet dans le livre m’a beaucoup fait réfléchir sur l’utilisation de celui ci ! En bref ce livre m’a pas trop parlé mais je le recommande aux amateurs de romans policiers.
L’histoire du tueur à la cravate ne m’a pas beaucoup parlé. Habituée aux livres plutôt destinés aux adultes, j’ai trouvé l’écriture trop simple.
Cependant, allongée au chaud avant de m’endormir, je dois avouer que j’ai été prise dans le déroulement de l’action : qui n’apprécie pas de suivre une enquête pour un meurtrier qui reprend ses plans machiavéliques après 20 ans ?
L’histoire débute par un acte commit par deux adolescentes ; ce qui permet de s’identifier aux personnages et d’ainsi « vivre » le récit. De plus, la famille dont il est question est plutôt attachante : un père protecteur, une enfant charmante et sa sœur adolescente à qui nous pourrions nous comparer.
Bien que le livre soit plutôt gros, je le recommande même aux « petits lecteurs », car l’histoire s’avère très prenante!
(4) « Le tueur à la cravate » est un livre que j’ai apprécié, il se lit très facilement ; néanmoins, il m’a fallu lire une cinquantaine de pages avant de bien accrocher à l’histoire. J’ai été déçue par le fait que ce ne soit pas véritablement les deux adolescentes qui mènent l’enquête (ce à quoi je m’attendais). De plus, j’ai eu un peu de mal à bien retenir les personnages (surtout les deux jumelles) et les liens qu’il y avait entre eux.
Quant aux personnages de Ruth et son amie, je les trouve bien choisies : Internet est un phénomène qui touche aujourd’hui tout le monde et plus particulièrement les adolescents qui pensent tout maîtriser derrière leurs écrans mais qui ne se rendent pas compte de l’ampleur que peut prendre la diffusion d’une simple photo de classe. De plus, le père ignore (comme beaucoup de parents) ce que font ses enfants sur le net.
« Le tueur à la cravate » n’est pas un livre dans lequel on s’ennuie mais moi qui apprécie beaucoup les romans policiers, j’ai trouvé que l’histoire manquait d’actions et de rebondissements.
Je recommanderais donc ce livre à un public plus jeune ou aux lecteurs qui veulent passer un moment agréable mais qui ne s’attendent pas à un bestseller des romans policiers.
(4,5) « Le tueur à la cravate »
J’ai eu l’occasion de lire deux ou trois livres policiers et j’ai vraiment aimé. Mais pour ce livre, je n’ai pas pu m’arrêter de le lire. Dès que je me suis plongée dans ce policier, j’ai tout de suite été transportée.
Dans la première partie, mon premier sentiment, a été le fait de m’identifier à « Ruth », une fille de notre âge environ, tout à fait ordinaire. L’écriture, parfois familière me fait penser à la vie de tous les jours.
Le livre nous montre qu’Internet, qui peut être un très bon outil, a plusieurs facettes, avec le problème de se faire passer pour quelqu’un d’autre. De plus, avec un seul clic, on peut faire ressortir des souvenirs douloureux, comme c’est le cas dans « Le tueur à la cravate ».
Mais je ne vais pas dire que j’ai tout aimé du début à la fin, car le fait qu’il y ait trop de personnages, m’a troublée à certains moments, même si ceux-ci étaient très bien décrits.
Ensuite je trouve dommage, que les personnages soient tous en quelque sorte des caricatures, des stéréotypes, comme le grand-père, un vieux « bourru » pas méchant mais renfermé sur lui-même. Ou même, « Alice Meyzieux » la femme encore célibataire à passée la trentaine qui se laisse aller, « Martin et Guy » les deux hommes charmants inaccessibles du livre.
Pour la couverture, au premier abord, le livre ne donne pas envie d’être lu et la couverture est un peu effrayante et relativement sombre. Mais après avoir lu le livre, on arrive à comprendre à quoi elle fait référence.
Et pour la deuxième partie « Comment naît un roman (ou pas) », je trouve intéressant le fait de voir, en quelques pages comment naît un roman comme celui-ci, même si je pense que ce n’est qu’une seule partie de la naissance d’un livre.