Grand Guignol

Description de l'image  Grand-Guignol-1890.jpg. Spécialisée dans les pièces mettant en scène des histoires macabres et sanguinolentes, elle a par extension donné son nom au genre théâtral, le grand-guignol et à son adjectif grand-guignolesque. Le terme est devenu avec le temps péjoratif et désigne désormais, plus généralement, des situations exagérées, abusant d’effets spectaculaires démesurés.

Textes autour de la bataille de Waterloo.

Texte 1 : Victor Hugo, Les Misérables

Ils étaient trois mille cinq cents. Ils faisaient un front d’un quart de lieue. C’étaient des hommes géants sur des chevaux colosses. Ils étaient vingt-six escadrons ; et ils avaient derrière eux, pour les appuyer, la division de Lefebvre-Desnouettes, les cent six gendarmes d’élite, les chasseurs de la garde, onze cent quatre-vingt-dix-sept hommes, et les lanciers de la garde, huit cent quatre-vingts lances. Ils portaient le casque sans crins et la cuirasse de fer battu, avec les pistolets d’arçon dans les fontes et le long sabre-épée. Le matin toute l’armée les avait admirés quand, à neuf heures, les clairons sonnant, toutes les musiques chantant Veillons au salut de l’empire, ils étaient venus, colonne épaisse, une de leurs batteries à leur flanc, l’autre à leur centre, se déployer sur deux rangs entre la chaussée de Genappe et Frischemont, et prendre leur place de bataille dans cette puissante deuxième ligne, si savamment composée par Napoléon, laquelle, ayant à son extrémité de gauche les cuirassiers de Kellermann et à son extrémité de droite les cuirassiers de Milhaud, avait, pour ainsi dire, deux ailes de fer.

L’aide de camp Bernard leur porta l’ordre de l’empereur. Ney tira son épée et prit la tête. Les escadrons énormes s’ébranlèrent.

Alors on vit un spectacle formidable.

Toute cette cavalerie, sabres levés, étendards et trompettes au vent, formée en colonne par division, descendit, d’un même mouvement et comme un seul homme, avec la précision d’un bélier de bronze qui ouvre une brèche, la colline de la Belle-Alliance, s’enfonça dans le fond redoutable où tant d’hommes déjà étaient tombés, y disparut dans la fumée, puis, sortant de cette ombre, reparut de l’autre côté du vallon, toujours compacte et serrée, montant au grand trot, à travers un nuage de mitraille crevant sur elle, l’épouvantable pente de boue du plateau de Mont-Saint-Jean. Ils montaient, graves, menaçants, imperturbables ; dans les intervalles de la mousqueterie et de l’artillerie, on entendait ce piétinement colossal. Étant deux divisions, ils étaient deux colonnes ; la division Wathier avait la droite, la division Delord avait la gauche. On croyait voir de loin s’allonger vers la crête du plateau deux immenses couleuvres d’acier. Cela traversa la bataille comme un prodige.

Rien de semblable ne s’était vu depuis la prise de la grande redoute de la Moskowa par la grosse cavalerie ; Murat y manquait, mais Ney s’y retrouvait. Il semblait que cette masse était devenue monstre et n’eût qu’une âme. Chaque escadron ondulait et se gonflait comme un anneau du polype. On les apercevait à travers une vaste fumée déchirée çà et là. Pêle-mêle de casques, de cris, de sabres, bondissement orageux des croupes des chevaux dans le canon et la fanfare, tumulte discipliné et terrible ; là-dessus les cuirasses, comme les écailles sur l’hydre. Ces récits semblent d’un autre âge. Quelque chose de pareil à cette vision apparaissait sans doute dans les vieilles épopées orphiques racontant les hommes-chevaux, les antiques hippanthropes, ces titans à face humaine et à poitrail équestre dont le galop escalada l’Olympe, horribles, invulnérables, sublimes ; dieux et bêtes.

Bizarre coïncidence numérique, vingt-six bataillons allaient recevoir ces vingt-six escadrons. Derrière la crête du plateau, à l’ombre de la batterie masquée, l’infanterie anglaise, formée en treize carrés, deux bataillons par carré, et sur deux lignes, sept sur la première, six sur la seconde, la crosse à l’épaule, couchant en joue ce qui allait venir, calme, muette, immobile, attendait. Elle ne voyait pas les cuirassiers et les cuirassiers ne la voyaient pas. Elle écoutait monter cette marée d’hommes. Elle entendait le grossissement du bruit des trois mille chevaux, le frappement alternatif et symétrique des sabots au grand trot, le froissement des cuirasses, le cliquetis des sabres, et une sorte de grand souffle farouche. Il y eut un silence redoutable, puis, subitement, une longue file de bras levés brandissant des sabres apparut au-dessus de la crête, et les casques, et les trompettes, et les étendards, et trois mille têtes à moustaches grises criant : vive l’empereur ! toute cette cavalerie déboucha sur le plateau, et ce fut comme l’entrée d’un tremblement de terre.

Texte 2 : Stendhal, La Chartreuse de Parme. 

Nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment. Toutefois la peur ne venait chez lui qu’en seconde ligne ; il était surtout scandalisé de ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles. L’escorte prit le galop; on traversait une grande pièce de terre labourée, située au-delà du canal, et ce champ était jonché de cadavres.

— Les habits rouges ! les habits rouges ! criaient avec joie les hussards de l’escorte, et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque tous les cadavres étaient vêtus de rouge. Une circonstance lui donna un frisson d’horreur ; il remarqua que beaucoup de ces malheureux habits rouges vivaient encore, ils criaient évidemment pour demander du secours, et personne ne s’arrêtait pour leur en donner. Notre héros, fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. L’escorte s’arrêta ; Fabrice, qui ne faisait pas assez d’attention à son devoir de soldat, galopait toujours en regardant un malheureux blessé.

— Veux-tu bien t’arrêter, blanc-bec ! lui cria le maréchal des logis. Fabrice s’aperçut qu’il était à vingt pas sur la droite en avant des généraux, et précisément du côté où ils regardaient avec leurs lorgnettes. En revenant se ranger à la queue des autres hussards restés à quelques pas en arrière, il vit le plus gros de ces généraux qui parlait à son voisin, général aussi, d’un air d’autorité et presque de réprimande ; il jurait. Fabrice ne put retenir sa curiosité ; et, malgré le conseil de ne point parler, à lui donné par son amie la geôlière, il arrangea une petite phrase bien française, bien correcte, et dit à son voisin:

— Quel est-il ce général qui gourmande son voisin ?
— Pardi, c’est le maréchal !
— Quel maréchal?
— Le maréchal Ney, bêta ! Ah çà! où as-tu servi jusqu’ici ?

Fabrice, quoique fort susceptible, ne songea point à se fâcher de l’injure ; il contemplait, perdu dans une admiration enfantine, ce fameux prince de la Moskova, le brave des braves.

Tout à coup on partit au grand galop. Quelques instants après, Fabrice vit, à vingt pas en avant, une terre labourée qui était remuée d’une façon singulière. Le fond des sillons était plein d’eau, et la terre fort humide, qui formait la crête de ces sillons, volait en petits fragments noirs lancés à trois ou quatre pieds de haut. Fabrice remarqua en passant cet effet singulier ; puis sa pensée se remit à songer à la gloire du maréchal. Il entendit un cri sec auprès de lui : c’étaient deux hussards qui tombaient atteints par des boulets ; et, lorsqu’il les regarda, ils étaient déjà à vingt pas de l’escorte. Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles ; il voulait suivre les autres : le sang coulait dans la boue.

Ah ! m’y voilà donc enfin au feu ! se dit-il. J’ai vu le feu ! se répétait-il avec satisfaction. Me voici un vrai militaire. A ce moment, l’escorte allait ventre à terre, et notre héros comprit que c’étaient des boulets qui faisaient voler la terre de toutes parts. Il avait beau regarder du côté d’où venaient les boulets, il voyait la fumée blanche de la batterie à une distance énorme, et, au milieu du ronflement égal et continu produit par les coups de canon, il lui semblait entendre des décharges beaucoup plus voisines ; il n’y comprenait rien du tout.

A ce moment, les généraux et l’escorte descendirent dans un petit chemin plein d’eau, qui était à cinq pieds en contre-bas.

Le maréchal s’arrêta, et regarda de nouveau avec sa lorgnette. Fabrice, cette fois, put le voir tout à son aise ; il le trouva très blond, avec une grosse tête rouge. Nous n’avons point des figures comme celle-là en Italie, se dit-il. Jamais, moi qui suis si pâle et qui ai des cheveux châtains, je ne serai comme ça, ajoutait-il avec tristesse. Pour lui ces paroles voulaient dire : Jamais je ne serai un héros. Il regarda les hussards ; à l’exception d’un seul, tous avaient des moustaches jaunes. Si Fabrice regardait les hussards de l’escorte, tous le regardaient aussi. Ce regard le fit rougir, et, pour finir son embarras, il tourna la tête vers l’ennemi.

Texte 3 : Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe. 

Le 18 juin 1815, vers midi, je sortis de Gand par la porte de Bruxelles ; j’allai seul achever ma promenade sur la grande route. J’avais emporté les Commentaires de César et je cheminais lentement, plongé dans ma lecture. J’étais déjà à plus d’une lieue de la ville, lorsque je crus ouïr un roulement sourd : je m’arrêtai, regardai le ciel assez chargé de nuées, délibérant en moi-même si je continuerais d’aller en avant, ou si je me rapprocherais de Gand dans la crainte d’un orage. Je prêtai l’oreille ; je n’entendis plus que le cri d’une poule d’eau dans des joncs et le son d’une horloge de village. Je poursuivis ma route : je n’avais pas fait trente pas que le roulement recommença, tantôt bref, tantôt long et à intervalles inégaux ; quelquefois il n’était sensible que par une trépidation de l’air, laquelle se communiquait à la terre sur ces plaines immenses, tant il était éloigné. Ces détonations moins vastes, moins onduleuses, moins liées ensemble que celles de la foudre, firent naître dans mon esprit l’idée d’un combat. Je me trouvais devant un peuplier planté à l’angle d’un champ de houblon. Je traversai le chemin et je m’appuyai debout contre le tronc de l’arbre, le visage tourné du côté de Bruxelles. Un vent du sud s’étant levé m’apporta plus distinctement le bruit de l’artillerie. Cette grande bataille, encore sans nom, dont j’écoutais les échos au pied d’un peuplier, et dont une horloge de village venait de sonner les funérailles inconnues, était la bataille de Waterloo !

Auditeur silencieux et solitaire du formidable arrêt des destinées, j’aurais été moins ému si je m’étais trouvé dans la mêlée : le péril, le feu, la cohue de la mort ne m’eussent pas laissé le temps de méditer ; mais seul sous un arbre, dans la campagne de Gand, comme le berger des troupeaux qui paissaient autour de moi, le poids des réflexions m’accablait : Quel était ce combat ? Etait-il définitif ? Napoléon était-il là en personne ? Le monde comme la robe du Christ, était-il jeté au sort ? Succès ou revers de l’une ou de l’autre armée, quelle serait la conséquence de l’événement pour les peuples, liberté ou esclavage ? Mais quel sang coulait ! chaque bruit parvenu à mon oreille n’était-il pas le dernier soupir d’un Français ? Etait-ce un nouveau Crécy, un nouveau Poitiers, un nouvel Azincourt, dont allaient jouir les plus implacables ennemis de la France ? S’ils triomphaient, notre gloire n’était-elle pas perdue ? Si Napoléon l’emportait que devenait notre liberté ? Bien qu’un succès de Napoléon m’ouvrit un exil éternel, la patrie l’emportait dans ce moment dans mon coeur ; mes voeux étaient pour l’oppresseur de la France, s’il devait, en sauvant notre honneur, nous arracher à la domination étrangère.

Wellington triomphait-il ? La légitimité rentrerait donc dans Paris derrière ces uniformes rouges qui venaient de reteindre leur pourpre au sang des Français ! La royauté aurait donc pour carrosses de son sacre les chariots d’ambulance remplis de nos grenadiers mutilés ! Que sera-ce qu’une restauration accomplie sous de tels auspices ?… Ce n’est là qu’une bien petite partie des idées qui me tourmentaient. Chaque coup de canon me donnait une secousse et doublait le battement de mon coeur. A quelques lieues d’une catastrophe immense, je ne la voyais pas ; je ne pouvais toucher le vaste monument funèbre croissant de minute en minute à Waterloo comme du rivage de Boulaq, au bord du Nil, j’étendais vainement mes mains vers les Pyramides.

Discours de Julien, Le Rouge et le Noir.

« Messieurs les jurés,

« L’horreur du mépris, que je croyais pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole. Messieurs, je n’ai point l’honneur d’appartenir à votre classe, vous voyez en moi un paysan qui s’est révolté contre la bassesse de sa fortune.

« Je ne vous demande aucune grâce, continua Julien en affermissant sa voix. Je ne me fais point illusion, la mort m’attend: elle sera juste. J’ai pu attenter aux jours de la femme la plus digne de tous les respects, de tous les hommages. Mme de Rênal avait été pour moi comme une mère. Mon crime est atroce, et il fut prémédité . J’ai donc mérité la mort, messieurs les jurés. Quand je serais moins coupable, je vois des hommes qui, sans s’arrêter à ce que ma jeunesse peut mériter de pitié, voudront punir en moi et décourager à jamais cette classe de jeunes gens qui, nés dans une classe inférieure, et en quelque sorte opprimés par la pauvreté, ont le bonheur de se procurer une bonne éducation, et l’audace de se mêler à ce que l’orgueil des gens riches appelle la société.

« Voilà mon crime, messieurs, et il sera puni avec d’autant plus de sévérité, que, dans le fait, je ne suis point jugé par mes pairs. Je ne vois point sur les bancs des jurés quelque paysan enrichi, mais uniquement des bourgeois indignés… »

Pendant vingt minutes, Julien parla sur ce ton; il dit tout ce qu’il avait sur le coeur; l’avocat général, qui aspirait aux faveurs de l’aristocratie, bondissait sur son siège; mais malgré le tour un peu abstrait que Julien avait donné à la discussion, toutes les femmes fondaient en larmes. Mme Derville elle-même avait son mouchoir sur ses yeux. Avant de finir, Julien revint à la préméditation, à son repentir, au respect, à l’adoration filiale et sans bornes que, dans les temps plus heureux, il avait pour Mme de Rênal … Mme Derville jeta un cri et s’évanouit.

A.P : Oral 2nde partie.

Fiche sur la 2nde partie de l’oral

accompagnement oral 2ème partie

Questions envisageables à l’entretien.

QUESTIONS SUR L’ARGUMENTATION

Questions de connaissances

-  Définir : convaincre, persuader, délibérer. 

-  Quelle est la différence entre convaincre, persuader, délibérer ? Justifiez par un exemple. 

-  Définir : apologue, essai, utopie, contre-utopie. 

-  Quels sont les différents genres d’apologues que vous connaissez ? (parabole, fable, conte, roman de science-fiction…) 

-  Définir : registre polémique, satirique, didactique, épidictique… 

-  Qu’est-ce qu’un argument ? Qu’est-ce qu’une thèse ? 

-  Qu’est-ce qu’un argument ad hominem ? 

-  Qu’est-ce qu’une concession ? une réfutation ? un compromis ? une controverse ? un présupposé ? une alternative ? 

-  Qu’est-ce qu’une apologie ? un réquisitoire ? un plaidoyer ? une délibération ? un dilemme ? 

-  Logique et pseudo-logique : syllogisme, paradoxe, contre-vérité, sophisme ? 

-  Implicite et explicite. 

-  Argumentation et liaisons logiques / et absence de liaison (asyndète/parataxe). 

-  Expliquer les mécanismes de l’ironie. 

-  Qu’est-ce que l’ironie ? Quels sont ses avantages, ses limites ?

Questions sur les genres argumentatifs

-  Quel genre argumentatif vous semble le plus efficace ? 

-  Quels sont les intérêts respectifs des différentes formes d’argumentation (essai, fable, conte philosophique) ? 

-  Donnez des exemples d’argumentations indirectes. Sont-ils moins convaincants qu’une argumentation directe ? 

-  Pourquoi les argumentations indirectes se sont-elles développées au cours des siècles passés, plutôt que l’argumentation directe ? 

-  Vaut-il mieux argumenter directement ou s’appuyer sur un apologue ? 

-  Quels sont les éléments constitutifs d’un apologue ? 

-  Quelles sont les fonctions de l’apologue ? 

-  L’apologue est-il un bon outil de critique ? Qu’est-ce qui fait son succès ? 

-  Aspects futiles / utiles de l’apologue. 

-  La valeur argumentative de l’utopie (Thélème, l’Edorado, etc.) ou de la contre-utopie. 

-  Quel est le rôle joué par la morale dans une fable ? Sans cette moralité, la fable est-elle moins convaincante ? 

-  Qu’est-ce qui fait la différence entre la visée morale d’une fable et celle d’un conte philosophique ? 

-  La valeur du conte philosophique pour critiquer un système philosophique (Pangloss et Leibniz). 

-  En quoi le conte philosophique relève-t-il du genre argumentatif ? 

-  Qu’y a-t-il de philosophique dans le conte philosophique ? 

-  Le genre de l’essai est-il très présent aujourd’hui ? 

-  Pourquoi a-t-il été plus judicieux pour [tel auteur] d’écrire son œuvre sous la forme d’un essai plutôt que sous la forme d’un dialogue ou d’un apologue ?

Autres questions

-  Qu’est-ce qui différencie une démonstration logique d’une argumentation efficace ? 

-  Le pouvoir de la persuasion dans le discours argumentatif. 

-  Par quels procédés un auteur peut-il se montrer persuasif ? 

-  Les interventions de l’auteur renforcent-elle la force argumentative d’un texte ? 

-  Quel est l’intérêt d’impliquer l’auteur / le narrateur dans un texte argumentatif ? (différentes valeurs du « je », du « on », du « nous »…) 

-  Quel est l’intérêt d’impliquer le destinataire dans un texte argumentatif ? (différentes valeurs du « on », du « vous »…) 

-  Quel type de texte ou procédé d’écriture vous paraît le plus efficace pour convaincre / persuader ? 

-  Comparer les stratégies argumentatives des différents textes de votre descriptif. Quel est le plus efficace ? 

-  Quels sont les registres principalement utilisés par les auteurs de la séquence ? 

-  Comment les auteurs de la séquence expriment-ils leurs idées ? 

-  La forme littéraire permet-elle à l’argumentation d’être plus efficace ? 

-  Comment critiquer et dénoncer efficacement ? 

-  Pour convaincre, faut-il émouvoir ou indigner ? 

-  Comment une image peut-elle être argumentative ? 

-  Quel est le rôle de l’humour, de l’ironie, dans l’argumentation ? 

-  L’argumentation peut-elle se mettre au service du mensonge ? 

-  La littérature engagée est-elle toujours de la littérature ? 

-  Est-ce le rôle de la littérature d’argumenter ? Peut-elle améliorer la société ? 

-  Quelle est l’utilité actuelle de la littérature engagée ? 

-  Aujourd’hui, de quelle façon défendriez-vous vos idées ? 

-  Quelle cause défendriez-vous aujourd’hui ? Par quels moyens ? 

-  Toutes les opinions se valent-elles ?

 

QUESTIONS SUR LES MOUVEMENTS LITTERAIRES ET CULTURELS

Sur l’humanisme

-  Qu’est-ce que l’humanisme ? Pourquoi le mouvement porte-t-il ce nom ? 

-  Quelles sont les valeurs de l’humanisme ? 

-  Quelle est la nouvelle conception de l’homme et du monde pour le mouvement humaniste ? 

-  Pourquoi l’humanisme au XVIe siècle ? 

-  Quelles sont les caractéristiques de l’éducation humaniste ? 

-  Citez des écrivains humanistes. 

-  L’humanisme existe-t-il encore aujourd’hui ?

Sur les Lumières

-  Quel est le contexte historique du XVIIIe siècle ? 

-  Quels ont été les grands combats / les grandes affaires du XVIIIe siècle ? 

-  Quels sont les événements importants du XVIIIe siècle ? 

-  Que veut dire « Lumières » dans l’expression « siècle des Lumières » ? 

-  Quel est le but du mouvement des Lumières ? 

-  Définir l’esprit des Lumières en trois mots. 

-  Quelles sont les grandes idées, les causes, les valeurs défendues par les philosophes des Lumières ? 

-  Quelles caractéristiques aurait la société idéale telle que la souhaitent les philosophes ? 

-  Quels thèmes sont abordés dans les textes des Lumières ? 

-  Quelles cibles sont visées par les philosophes des Lumières ? 

-  Quelles sont les principales revendications des philosophes ? 

-  Qu’appelle-t-on un « philosophe des Lumières » ? 

-  Quel rôle joue le philosophe dans ce mouvement des Lumières ? 

-  Quels sont les auteurs majeurs des Lumières ? Citez les genres dans lesquels ils se sont illustrés. 

-  Comment les auteurs des Lumières expriment-ils leurs idées ? 

-  Quels sont les moyens utilisés par les philosophes pour diffuser leurs idées ? 

-  Quels sont les genres et les registres variés qui expriment ces idées nouvelles ? 

-  Que savez-vous de l’Encyclopédie ? 

-  Qu’est-ce que la « bataille encyclopédique » ? 

-  Qui a participé à l’Encyclopédie ? 

-  Comment les écrivains de cette époque ont-ils fait pour déjouer la censure ? Que risquaient-ils à publier leurs œuvres ? 

-  Pourquoi les auteurs passaient-ils parfois par des œuvres anonymes ? Pouvez-vous citer des œuvres anonymes ? 

-  A quel événement historique majeur la contestation des Lumières a-t-elle abouti ? 

-  Pourquoi peut-on dire que les Lumières ont été un nouvel humanisme ? 

-  Cette philosophie a-t-elle eu une efficacité ? Quels effets a-t-elle eu à court et moyen terme ? à long terme ? 

-  Connaissez-vous d’autres mouvements littéraires contemporains des Lumières ? 

-  Le XVIIIe siècle se limite-t-il au mouvement des Lumières ? 

-  Les combats des Lumières (par exemple contre le fanatisme religieux) sont-il toujours d’actualité ? 

-  [Tel texte des Lumières] est-il toujours d’actualité aujourd’hui ? 

-  Quels intérêts y a-t-il à faire connaître le mouvement des Lumières aujourd’hui ? 

-  Qui aurait le rôle des philosophes des Lumières aujourd’hui ? 

-  Qu’est-ce qu’un philosophe aujourd’hui selon vous ? 

-  A quelle valeur défendue par les Lumières avez-vous été le plus sensible ? dans quel texte ?

 

QUESTIONS SUR LA POESIE

Questions sur la forme poétique

-  Quelles sont les différentes formes poétiques que vous connaissez ? 

-  Quels types de vers connaissez-vous ? 

-  Que connaissez-vous à l’organisation des rimes ? 

-  Que savez-vous de la forme du sonnet ? 

-  Définissez l’élégie. 

-  Qu’est-ce qui distingue la prose des vers ? 

-  Qu’est-ce qui différence la poésie de la prose ? 

-  Peut-on encore parler de poésie avec le poème en prose ou la prose poétique ? 

-  Quels sont les intérêts d’utiliser les vers / la prose en poésie ? 

-  La forme poétique « classique » est-elle une contrainte ? 

-  Qu’est-ce qui distingue la poésie des autres genres littéraires ? 

-  Quelle définition proposez-vous de la poésie ? 

-  Qu’est-ce qui fait qu’un texte est poétique ? // Qu’est-ce qui fait la poésie d’un texte ? 

-  Quelle est la spécificité de l’écriture poétique ? 

-  En quoi la forme poétique donne-t-elle plus de force au propos tenu dans un texte ? 

-  La poésie peut-elle se passer des images ? 

-  Quels rapports la poésie entretient-elle avec la musique ? 

-  Que pouvez-vous dire sur le genre et la forme des poèmes que vous avez étudiés ? 

-  Qu’est-ce qu’un art poétique ?

Questions d’histoire littéraire

-  Définissez Pléiade / baroque / romantisme / Parnasse / symbolisme / surréalisme… (selon les textes étudiés). 

-  Pouvez-vous citez un poète / un poème appartenant à [tel mouvement] ? 

-  Qui sont les « poètes maudits » ? 

-  Citez trois poètes du XIXe siècle. 

-  Quelles sont les caractéristiques de la poésie classique et de la poésie moderne ? 

-  Poésie et modernité : le renouvellement des formes et des thèmes en poésie. 

-  Pouvez-vous citer un poème libéré des contraintes formelles ? 

-  Comment percevez-vous l’histoire du genre poétique ?

Questions sur les fonctions de la poésie

-  Quelles sont les fonctions de la poésie ? // A quoi sert la poésie ? 

-  Quels sont le rôle et le statut du poète ? // A quoi sert le poète ? Comment le définir ? 

-  Pensez-vous que la poésie ne trouve son inspiration que dans les sentiments ? Quelles sont ses autres sources d’inspiration, ses autres missions ? 

-  Quels sentiments le poète fait-il naître chez le lecteur ? 

-  Pourquoi parle-t-on de poésie lyrique pour désigner la poésie qui exprime les sentiments ? 

-  A votre avis, à quoi sert la poésie lyrique ? 

-  La poésie est-elle la forme la plus appropriée au lyrisme / aux sentiments ? 

-  L’émotion suffit-elle à faire un poème ? 

-  La poésie est-elle le genre le plus approprié pour évoquer le sentiment amoureux ? 

-  La poésie engagée… Est-ce encore de la poésie ? 

-  La poésie est-elle utile ou inutile ? 

-  Poésie : exploration du monde ou création d’un autre univers ? 

-  La poésie est-elle un jeu sur le langage ? 

-  Quels rapports le poète entretient-il avec la société selon les époques ?

Autres questions

-  Selon vous, quel est le poème le plus réussi de la séquence ? Pourquoi ? 

-  Justifiez le choix des poèmes du groupement. 

-  L’étude de la poésie en classe a-t-elle modifié la vision que vous en aviez ? 

-  La vie quotidienne est-elle poétique ? 

-  Qu’est-ce qu’un « objet » poétique ? 

-  La poésie idéalise-t-elle la réalité ? 

-  Comparez la chanson et la poésie. 

-  Est-il gênant de ne pas comprendre un poème au premier abord ? 

-  La poésie a-t-elle encore sa place aujourd’hui ? Sous quelles formes existe-t-elle ? 

-  Savez-vous un poème par cœur ? Pouvez-vous le réciter ? 

-  Avez-vous un poète préféré ? Pourquoi ? 

-  Aimez-vous la poésie ? Pourquoi ? 

-  L’écriture poétique vous semble-t-elle facile / difficile ? 

-  Avez-vous vous-même écrit des poèmes ? Dans quelles circonstances ? Sous quelle forme ? Quel intérêt avez-vous retiré de cette expérience ?

 

QUESTIONS SUR LE ROMAN

Questions de connaissances

-  Qu’est-ce qu’un narrateur ? 

-  Expliquez les points de vue. 

-  Quand le roman est-il né en France ? 

-  Quelle évolution le genre romanesque a-t-il connue au cours des siècles ? 

-  Qu’apporte le XIXe siècle au genre romanesque ? 

-  Qu’est-ce qui caractérise le roman moderne ? 

-  Qu’est-ce qu’un roman autobiographique ? 

-  Qu’appelle-t-on un roman de formation ? 

-  Qu’est-ce que le naturalisme / le nouveau roman… ? (selon les textes étudiés) 

-  Citez des auteurs réalistes.

Questions portant sur l’objet d’étude : le personnage, la vision de l’homme et du monde

-  Quelles visions du monde peut offrir le roman ? 

-  Comment un personnage de roman peut-il transmettre une vision du monde au lecteur ? 

-  Expliquez la construction et l’évolution du personnage de roman. 

-  Comment le romancier fait-il comprendre au lecteur ce que découvre son personnage ? 

-  Quelle place le romancier accorde-t-il au corps du personnage ? 

-  Comment le lecteur peut-il s’identifier au personnage ? Est-ce souhaitable ? 

-  Quels rapports l’auteur entretient-il avec son personnage ? 

-  Quelles qualités doit avoir un personnage de roman pour plaire au lecteur / pour être le héros du roman ? 

-  Que savez-vous de l’évolution du personnage de roman au fil du temps ? 

-  Qu’appelle-t-on un héros positif / négatif, un antihéros, un héros collectif ? 

-  Quelles différences y a t-il entre un personnage de roman et un personnage de théâtre ?

Autres questions

-  Qu’est-ce qui différencie le roman des autres genres littéraires ? 

-  Qu’est-ce qui caractérise l’écriture romanesque par rapport à d’autres formes littéraires ? 

-  Quels sont les points communs / les différences entre un roman et un film ? 

-  Quelles sont les fonctions du roman ? 

-  Quel rapport le roman entretient-il avec la réalité ? 

-  On dit parfois que dans un roman les descriptions sont ennuyeuses : qu’en pensez-vous ? // A quoi servent les descriptions dans un roman ? 

-  Quelles sont les fonctions de la description dans la représentation des personnages ? 

-  Quelles qualités doit avoir un début / une fin de roman réussi(es) ? 

-  Diriez-vous que la lecture du roman que vous avez étudié cette année a contribué à modifier votre vision du monde ? 

-  Quel intérêt y a-t-il à étudier un roman ? 

-  Qu’attendent les lecteurs d’un roman ? 

-  Quel est le rôle du lecteur dans la lecture d’un roman ? 

-  Qu’est-ce qui fait le succès du genre romanesque ? 

-  Qui est selon vous le plus grand romancier français ? Pourquoi ? 

-  Quels sont les romans qui vous plaisent / vous déplaisent ? Pourquoi ? 

-  Quelles qualités doit avoir un bon roman selon vous ?

 

QUESTIONS SUR LE THEATRE

Questions de connaissances sur le genre

-  Donnez une définition du théâtre. 

-  Quelles sont les particularités du texte théâtral ? 

-  En quoi le théâtre se différencie-t-il des autres genres littéraires ? 

-  Qu’est-ce que la double énonciation au théâtre ? 

-  Quelles sont les formes de la prise de parole au théâtre ? // Définissez les termes suivants : réplique, tirade, stichomythie, monologue, aparté… 

-  A quoi servent les didascalies ? 

-  Définissez un genre théâtral : comédie, tragédie, drame… 

-  Définissez ces registres : comique, tragique, dramatique, lyrique… 

-  Quelles sont les différentes formes de comique au théâtre ? 

-  Qu’est-ce qu’un quiproquo ? 

-  Comment une tragédie est-elle structurée ? 

-  Quelles sont les différentes étapes d’une pièce ? // Définissez les termes suivants : exposition, nœud, dénouement. 

-  Qu’attend-on d’une scène d’exposition ? Quelles difficultés se posent au dramaturge ? 

-  Quelles sont les fonctions du dénouement au théâtre ?

Questions d’histoire littéraire

-  Qu’est-ce que la règle des trois unités au théâtre ? 

-  Quelles sont les règles de la tragédie classique ? 

-  Quelles sont les caractéristiques du théâtre classique et du théâtre moderne ? 

-  En quoi le théâtre romantique a-t-il renouvelé la scène française ? 

-  Qu’est-ce que le théâtre de l’absurde ? 

-  Quels sont la place et le rôle des didascalies dans le théâtre moderne ? 

-  Citez trois dramaturges modernes. 

-  Que connaissez-vous de l’évolution du lieu théâtral depuis l’origine du théâtre ?

Le théâtre comme représentation

-  Est-ce que la représentation est indispensable pour apprécier et comprendre une pièce ? 

-  Expliquez la difficulté à lire une pièce de théâtre. 

-  Quelle différence faites-vous entre le texte théâtral et sa représentation sur scène ? 

-  Qu’appelle-t-on la mise en scène ? A quoi sert-elle ? Quels problèmes pose-t-elle ? 

-  Le théâtre peut-il se passer de mise en scène ? 

-  Peut-on dire que « mettre en scène », c’est réinterpréter une pièce, lui donner un sens ? 

-  La mise en scène est-elle une illustration ou une trahison ? 

-  Qui est le vrai « dramaturge » : l’auteur ou le metteur en scène ? 

-  Quelle est la place du metteur en scène par rapport à l’auteur de théâtre ? 

-  En quoi la mise en scène peut-elle influencer la réception d’une pièce par le public ? 

-  Comment le théâtre prend-il en compte le spectateur ? 

-  En quoi consiste le plaisir / la supériorité du spectateur au théâtre ? 

-  Qu’est-ce qui intéresse le spectateur avant tout ? 

-  Le spectateur est-il toujours un « voyeur » au théâtre ? 

-  Pourquoi va-t-on au théâtre aujourd’hui ? 

-  Quelle expérience personnelle du théâtre avez-vous en dehors du cadre scolaire ? 

-  Lorsque vous avez assisté à cette représentation, qu’est-ce qui vous a le plus marqué ? 

-  Quelles sont les différences entre le théâtre et le cinéma ? 

-  Quel est le rôle de l’accessoire ou du décor au théâtre ? 

-  Pouvez-vous citer des metteurs en scène ? 

-  Quels métiers du théâtre connaissez-vous ? 

-  Quelles qualités faut-il pour être un bon comédien ? 

-  Facilité / difficulté à jouer du théâtre classique / du théâtre moderne ?

Questions portant sur une œuvre intégrale ou un groupement

-  Quelle a été la genèse de la pièce que vous avez étudiée ? 

-  Quelle a été la réception de la pièce que vous avez étudiée ? 

-  Dans la pièce que vous avez étudiée, y a-t-il une évolution de la problématique / de l’intrigue ? 

-  Quelle est la fonction de telle scène / tel acte dans la pièce que vous avez étudiée ? 

-  [Tel personnage / telle scène] est-il/elle foncièrement nécessaire à la pièce ? 

-  L’amour au théâtre est-il toujours une lutte, une déchirure ? 

-  Que pouvez-vous dire des relations entre maîtres et valets au théâtre ? 

-  Théâtre et hypocrisie : la thématique du « masque ». 

-  Théâtre et séduction.

Autres questions

-  Quelles sont les fonctions du théâtre ? 

-  Le théâtre a-t-il pour fonction d’instruire ou de distraire le public ? 

-  Le théâtre a-t-il nécessairement un « message » à faire passer ? 

-  Le théâtre est-il nécessairement argumentatif ou illustratif ? 

-  Qu’est-ce qui fait qu’une scène bascule du comique au tragique, ou vice-versa ? 

-  Une comédie (genre) est-elle nécessairement comique (registre) selon vous ? 

-  Une scène de théâtre est-elle toujours un affrontement ? 

-  Quel est l’intérêt des portraits au théâtre ? 

-  Quelles sont les fonctions du monologue / du dialogue au théâtre ? 

-  Qu’est-ce qui fait le succès du théâtre classique aujourd’hui ?

 

QUESTIONS SUR L’AUTOBIOGRAPHIE (PREMIERE L)

Questions de connaissances sur le genre et son histoire

-  Définissez l’autobiographie. 

-  Qu’est-ce que le « pacte autobiographique » ? Peut-il vraiment être respecté ? 

-  Quels sont les différentes formes autobiographiques que vous connaissez ? Quelles sont leurs caractéristiques ? 

-  Définissez : journal, mémoires, autobiographie, autoportrait, roman autobiographique. 

-  Qu’est-ce qui différence l’autobiographie traditionnelle des autobiographies modernes ? 

-  Y a-t-il des thèmes récurrents dans les autobiographies ?

Problématiques spécifiques à l’autobiographie : buts, sincérité, mémoire

-  Quelles raisons peuvent conduire un auteur à rédiger une autobiographie ? 

-  Pour qui écrit-on une autobiographie ? Pour soi, pour les autres ? 

-  Ecrire son autobiographie aide-t-il à la connaissance de soi ? 

-  Autobiographie : testament, bilan de vie ? 

-  Cherche-t-on toujours à « prouver » quelque chose en écrivant une autobiographie ? 

-  Quelle est la place du « je » dans l’autobiographie ? 

-  Autobiographie : vérité ou mensonge ? 

-  L’autobiographie donne-t-elle la vérité sur son auteur ? // Quelle est la crédibilité de l’auteur d’autobiographie ? 

-  Qu’est-ce qui peut déformer la vérité de l’autobiographie ? 

-  Peut-on tout dire dans une autobiographie ? Le doit-on ? 

-  A quelles difficultés peut se heurter un auteur d’autobiographie ? 

-  Comment s’effectue le choix des souvenirs racontés ? 

-  Quel est le pouvoir de l’écriture face au temps qui passe ? 

-  La mémoire est-elle une alliée ou une ennemie ? 

-  Quel est le jeu des temps dans l’autobiographie ?

Autres questions

-  Comment l’écriture transforme-t-elle l’histoire d’une vie en œuvre littéraire ? 

-  Quelle est la place / l’importance de l’enfance dans les récits autobiographiques ? 

-  Comment s’articulent le regarde de l’enfant (l’adolescent) et de l’adulte ? 

-  Est-ce légitime de vouloir raconter sa vie aux autres ? 

-  Quel est l’intérêt pour un lecteur de lire une autobiographie ? // En quoi une autobiographie peut-elle intéresser le lecteur ? 

-  Pour bien connaître un personnage célèbre, préféreriez-vous lire son autobiographie ou sa biographie ? 

-  Quelles réflexions vous inspire le titre de cette œuvre autobiographique ? Peut-il servir de fil conducteur de l’œuvre ? 

-  L’autobiographie est-elle seulement le récit d’une expérience personnelle ? 

-  Les différents genres du « je » : poésie, théâtre… 

-  L’illustration du regard sur soi dans d’autres arts (peinture, photographie, musique, cinéma…). 

-  Comment expliquer l’inflation du genre autobiographique aujourd’hui ? 

-  Comparez l’autobiographie et le blog. 

-  L’écriture autobiographique vous semble-t-elle facile / difficile ? 

-  Avez-vous déjà pratiqué l’écriture autobiographique ? Dans quelles circonstances ? Quel bilan faites-vous de cette expérience ?

 

QUESTIONS SUR LES REECRITURES (PREMIERE L)

-  Qu’est-ce qu’une réécriture ? Pouvez-vous en donner des exemples ?

-  Quelle différence faites-vous entre une traduction, une imitation et une réécriture ? 

-  Quelles difficultés soulève la traduction en français d’un texte étranger (en particulier d’un texte poétique) ? 

-  Comment procède-t-on, d’après vous, à la traduction d’un texte littéraire ? 

-  Quels intérêts présente une réécriture ? 

-  Les réécritures d’œuvres connus vous semblent-elles utiles ou pertinentes ? Pourquoi ? 

-  Qu’apporte une réécriture par rapport au texte original ? 

-  Quelles difficultés présente une réécriture ? 

-  Qu’avez-vous pensé des réécritures étudiées pendant l’année ? 

-  Quelle réécriture avez-vous préféré / le moins apprécié ? Pourquoi ? 

-  Quel est le rapport entre réécriture et parodie ? 

-  Avez-vous déjà tenté la réécriture d’un texte (au sens littéraire) ? Quelles difficultés avez-vous rencontrées ?

oral du bac 1/2

Une fiche qui vous détaille la première partie de l’épreuve orale du BAC.

accompagnement oral 1ère partie

dissertation 1ère L humanisme

Correction d’un sujet donné en AP.

Dans le premier livre des Essais, Michel de Montaigne explique que, pour se former, il faut « frotter et limer notre cervelle contre celle d’autrui ». En quoi peut-on dire que l’humanisme, à la Renaissance, se caractérise par une ouverture à l’autre et une interrogation sur l’autre ?

Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les textes du corpus et sur vos connaissances et lectures personnelles. (L 2012)

dissertation humanisme

Corpus d’exemples de romans pour la dissertation.

Tous ces romans sont de votre niveau, vous pouvez donc à loisir piocher des idées de lecture.

Corpus romans dissertation

Exemples de dissertations sur le roman.

dissertation_le_roman personnage

Histoire littéraire : le roman.

Histoire littéraire le roman. Fiche de cours