Home » Histoire (Page 4)

Category Archives: Histoire

Qui sont les Roms ?

Brutalement sortis de l’ombre par une actualité parfois sulfureuse, les Roms sont pourtant mal connus. Ils sont une composante d’un peuple dispersé dans une multitude de pays : la nation romani. Elle regroupe notamment les Roms, les Manouches (Sintés) mais aussi les Gitans (Kalés). Partis d’Asie, peut-être d’Inde, ils ont débarqué dans les contrées occidentales au XVème siècle. Au fil du temps, les noms – Tsiganes, manouches, gitans, gypsys, etc. -, dont on les désignait changèrent souvent, le regard porté sur eux tout autant, et la fascination qu’ils exercèrent fut tour à tour aimant ou repoussoir. Si aujourd’hui nous serions plutôt dans une période de refus, la situation était tout autre au XVe siècle par exemple… En 1421 « ceux qui venaient d’Egypte » – comme on les appelait – furent souvent les protégés des seigneurs et leur arrivée dans les bourgades entraînait la joie plutôt que l’effroi !

Au fil des siècles, la vie quotidienne, le travail, le voyage, la famille, la musique, les vêtements, la foi tissèrent « le lien réel qui unit ces êtres dispersés à la surface de la terre ». Ce monde à part est marqué par une histoire tourmentée jusqu’au génocide de la seconde guerre mondiale, habité par une langue déclinée selon les géographies, riche d’une diversité culturelle réinventée au fil des errances. Le 5eme Congrès de l’Union Romani Internationale – réuni à Prague en juillet 2000 – précise d’ailleurs que les Roms forment une nation « sans territoire compact et sans prétention à un tel territoire ». Si revendications il y a, elles ne portent donc pas sur l’espace, mais sur le droit et la justice. Et c’est là que les choses se compliquent un peu…

Une proposition de statut-cadre, élaborée par le Ranelpi (Réseau rom des activistes sur les questions juridiques et politiques) pour l’Union européenne, définit le peuple rom comme « un élément constitutif de l’Europe, à laquelle il a apporté une contribution humaine, matérielle, artistique, économique, militaire et morale trop souvent négligée ». Elle souhaite « s’inscrire dans une dynamique progressiste, orientée vers l’intégration sociale, l’égalité des droits, le refus de l’exclusion et le respect mutuel de toutes les identités représentées en Europe ». Effectivement, depuis plus de mille ans, les Roms font partie de la civilisation européenne. Aujourd’hui, avec une population allant de 10 à 12 millions de personnes selon les estimations, les Roms constituent la plus grande minorité ethnique d’Europe, présente dans les 27 Etats Membres.  De fait, les institutions communautaires tentent depuis lors de  remédier aux difficultés d’une population trop souvent stigmatisée à travers tout le continent – le plus souvent repoussés, marginalisés, et parfois même, comme en Slovaquie, stérilisés.

Il faut bien avoir conscience que la plupart des Roms sont citoyens de l’UE, surtout depuis 2007, date à laquelle la Roumanie est devenue membre à part entière de l’Union Européenne. Toutefois, il faut bien avouer que la majorité des Roms connaissent discrimination et exclusion sociale au quotidien. La population Rom est également une population à risque en termes de pauvreté et de chômage, et est souvent victime des stéréotypes et des préjugés…

Martin OLIVERA, ethnologue spécialisé dans la communauté tzigane, explique à ce sujet que l’antitziganisme est « un trait structurant de l’identité nationale roumaine (comme dans d’autres pays européens, à l’Est et à l’Ouest) mais il est essentiellement valable dans les discours globaux sur “la société” et dans le rapport aux institutions. Au quotidien, il y existe une intimité socioculturelle très grande entre Roms et non-Roms, surtout à la campagne.[…] La réalité s’avère ainsi plus compliquée que l’image simpliste d’une “minorité fuyant les discriminations”. »

En Roumanie non plus, il ne fait pas bon être Rom et le pays peine à intégrer cette importante communauté (580 000 selon les chiffres officiels, près de 2 millions selon les estimations). « Tout est plus dur quand tu es tsigane, trouver un toit, un travail…. Les gens partent forcément avec un a priori négatif« , avoue Sorin, 42 ans, chauffeur de taxi à Bucarest.  Mais cette migration se vit comme pendulaire?: on part avec l’idée de réinvestir à la maison le fruit de sa réussite. Petit à petit, pour certaines familles, un choix involontaire s’opère car les enfants sont, malgré tout, allés à l’école en France, se sont habitués à la vie urbaine, etc. Comme pour d’autres mouvements migratoires, pour certains, le “retour?au pays” ne se fait pas. Le mouvement pendulaire n’est donc pas aussi automatique qu’on pourrait le croire.

Il serait tout aussi ridicule de nier le problème que pose la présence inopinée de certains Roms que de se laisser envahir par une phobie de nature xénophobe. Leur expulsion ne résout rien à long terme. Alors que, pour les citoyens européens « reconnus », les frontières disparaissent, pour les Roms, si souvent discriminés, et dont les droits les plus élémentaires sont sans cesse niés, elles restent un authentique cauchemar. C’est le leur mais aussi le nôtre, celui des citoyens d’une Union qui n’a de cesse de se chercher et qui n’ose pas encore s’affirmer comme telle. Unis ? Un jour, peut-être…

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x9fi2h_russie-les-roms-citoyens-sans-droit_news[/dailymotion]

Références :

– REKACEWICZ Philippe, « Les Roms, un peuple européen » article du Monde Diplomatique , juillet 2010

– COLLECTIF, L’Union européenne et les Roms du site europa.eu (août 2010)

– BURLET Laurent, « Clichés, idées reçues : qui sont vraiment les Roms ? » du site rue89.com (août 2010)

– GUYONVARCH Marion, « Les Roms, mal-aimés dans leur pays » du site lexpress.fr (publié le 21/08/2010)

– BRAIBANT Sylvie, « Les Roms, ces citoyens européens repoussés du vieux continent » du site TV5Monde (août 2010)

– Tableau statistique, source TV5Monde

Pourquoi les acteurs pensent-ils que le vert porte malheur sur scène ?

(Sarah, 3eme – 2009)

Le vert du costume « tuerait » le talent… à moins que ce ne soit le comédien ! Pourtant, cette couleur a vraiment tout pour séduire : c’est aussi bien le symbole de la force régénératrice que de la longévité. Mais rien n’y fait : certains acteurs et metteurs en scène refusent encore et toujours d’utiliser le moindre objet ou costume vert dans un théâtre. Pourquoi ?

Cette méfiance vis-à-vis de cette couleur (qui n’a rien demandé à quiconque) prend en fait racine dans un phénomène technique fort simple… En effet, les premiers éclairages mettaient difficilement cette couleur en valeur. De fait, tout acteur portant cette couleur se mettait moins en valeur que les autres. Moins bien mis en évidence, moins vu, donc moins remarqué et moins applaudi… l’acteur courait ainsi au désastre ! Le vert a donc bel et bien tué son talent.

Une autre explication, plus vraisemblable pour certains… Au XVIIe siècle, on avait besoin d’une faible dose d’arsenic pour obtenir une teinture verte efficace pour les rideaux. Quand on sait qu’à la même époque les acteurs avaient la fâcheuse habitude d’éponge leur visage ruisselant de sueur dans les rideaux, on imagine assez facilement ce qui pouvait arriver à ceux qui avaient pris cette habitude avec des rideaux verts ! Dans le pire des cas, c’était la mort, dans le meilleur, c’était une grave maladie de peau. C’est là que l’aversion pour cette jolie couleur se nicha.

Et pourtant, le vert, c’est la couleur de cette tendre pelouse dans laquelle nous aimons nous rouler lorsque le soleil nous baigne de ces rayons… Ouh là, je m’égare !

Source : LACOTTE Daniel, Le Pourquoi du Comment, Paris – 2005.

A quand remonte la première révolution française ?

(Camille, 4eme – 2009)

Pas en 1789, en tous les cas… Il nous faut en fait remonter en l’an 1356, en plein coeur de la Guerre de Cent Ans ! Cette année là, le roi Jean II le Bon est battu à Poitiers et est emprisonné à Londres. C’est Etienne MARCEL qui forme alors un gouvernement d’urgence. Il a été élu en 1355 prévôt des marchands, c’est-à-dire porte-parole des commerçants de Paris. Il réunit son premier gouvernement au nom de « la défense du bien commun« . Belle expression pour évoquer le sort de ceux qu’il entendait surtout défendre… Pour preuve, sa volonté de tenir à l’écart l’héritier du trône, le Dauphin Charles, ainsi que l’assemblée des trois ordres (clergé, noblesse, tiers-état).

Il exige tout aussi rapidement des aristocrates une union sacrée face à l’envahisseur, traduisez : « abandonnez vos privilèges fiscaux et partager le commandement militaire avec la bourgeoisie » ! Il n’hésite pas à aller plus loin en faisant assassiner les maréchaux de Champagne et de Normandie, conseillers du roi, sous les yeux du Dauphin… Et comme si cela ne suffisait pas, afin d’impressionner les nobles les plus récalcitrants, il ordonne la destruction de plusieurs de leurs maisons fortes.

Durant les mois de mai-juin 1358, il écrase sans aucune pitié les Jacques – paysans poussés à la révolte par une fiscalité trop lourde. Ce sera sa dernière forfaiture : Etienne MARCEL est assassiné le 31 juillet de la même année. Sa politique pour le moins ambitieuse, autoritaire et quelque peu aventureuse a fini par effrayer les bourgeois. De retour au pouvoir, le Dauphin n’a pas de mots assez durs pour condamner le « règne » d’Etienne MARCEL, ce roturier qui a osé « soulever les genz du plat païs de France contre les nobles dudit royaume« .

Aucun bourgeois ne s’avisera de renouveler pareil affront avant… 1789 !

Référence : Ça m’intéresse HS n°4 – Questions é Réponses, les stars de l’histoire


La Quatrième Guerre mondiale

HISTORICITÉ
La Quatrième Guerre mondiale

La quatrième guerre mondiale ? Quel est donc ce délire ? Tout lecteur attentif d’un bon manuel d’Histoire de collège ou de lycée sait pourtant qu’un fait de « guerres mondiales », il n’y en a eu que deux dont la dernière s’est achevée le 2 septembre 1945 en rade de Tokyo par la capitulation officielle du Japon (et non le 8 mai 1945, comme on s’obstine à le croire en Europe de l’Ouest).

Mais si l’on entend par « guerre mondiale » un affrontement à l’échelle planétaire entre diverses puissances utilisant toutes sortes de moyens, il convient de revoir sérieusement notre comptabilité officielle. Pour certains historiens, la guerre de Sept ans (1755-1762), qui opposa l’alliance franco-austro-russe à celle de l’Angleterre et de la Prusse, les « Grands » de l’époque , fut déjà une guerre mondiale : l’Europe en fut certes le théâtre principal, mais avec de sérieuses retombées sur les possessions outre-mer des belligérants (français et anglais surtout) en Amérique, en Inde et sur tous les océans. Il en fut de même pour les guerres de la Révolution et de l’Empire (1792-1815). De ce point de vue, la Seconde guerre mondiale fut donc…la quatrième !

Mais ne chipotons pas, et tenons-nous en au décompte officiel. Or, là encore, celui-ci semble être resté bloqué à tort en 1945. Selon Eric J. Hobsbawm (l’Age des Extrêmes, histoire du court XXe siècle) ou André Fontaine (la Guerre froide), la « guerre froide » entre les Occidentaux et le bloc communiste (1947-1990) fut une véritable troisième guerre mondiale. Propagande, coups tordus, espionnage, pressions économiques, course aux armements, terreur nucléaire, affrontements périphériques par alliés interposés : en faut-il plus pour qualifier cette période de « guerre » ? Ce n’est pas parce que nous autres, Européens de l’Ouest, avons vécu cette période sans nous étriper, et même dans un confort matériel grandissant, qu’elle n’a pas eu lieu.

Et la quatrième, alors ? Eh bien, chers lecteurs, nous sommes en plein dedans : la mondialisation sauvage née de l’après-guerre froide a mis en concurrence brutale les entreprises et les salariés du Monde entier, avec d’immenses ravages sociaux et environnementaux. Les « pays émergents » (Chine, Inde, Brésil, Russie) entendent bien marquer leur territoire face à des Etats-Unis essoufflés et une Union européenne ectoplasmique. Les « identités culturelles » s’affirment parfois violemment, tandis que l’Islam radical part en guerre contre un Occident à la fois dominateur et bien peu sûr de lui même. Enfin, Internet a ouvert un nouveau champ de bataille et un nouveau moyen de guerre, aux effets qui dépassent largement le seul domaine du virtuel.

Cette quatrième guerre est donc d’un genre assez différent des précédentes, mais elle est au moins aussi « totale » par ses dimensions, et encore plus « mondiale » par ses répercussions.

Philippe BOUCHÉ
(professeur agrégé d’Histoire – diplômé de Sciences Po Bordeaux)

Louis XIII, le juste

Louis XIII, dit Le Juste est roi de France et de Navarre.

Il est né à Fontainebleau en 1643. Son règne est marqué par la lutte contre la maison de Habsbourg.

Son enfance.
Nous connaissons son enfance grâce au journal qu’à laissé son médecin (Jean Héroard). Dans ce journal tout y est noté. Le jeune roi est passionné de musique et de chasse mais est peu intéressé par le latin et les lettres. Il grandit avec ses frères sœurs dans le château de Saint-Germain-en-Laye.

9 ans et déjà roi.
A la mort de son père, Henri IV, qui fût assassiné, Louis XIII monte sur le trône mais n’a que 9 ans. Il est sacré à Reims le 17 octobre 1610 mais c’est sa mère, Marie de Médicis qui assurera la régence pendant plusieurs années.

Gouverner seul.
C’est par la force, le 24 avril 1617 que Louis XIII accède au pouvoir. Poussé par son favori Luynes il ordonne l’assassinat du favori de sa mère, Concino Concini et fait exécuter sa femme, sœur de lait et dame de compagnie de sa mère.

En 1619, la reine-mère s’échappe du château de Blois et lève une armée contre son fils qui choisit de se réconcilier avec elle, lors du Traité d’Angoulême le30 avril 1619. Il lui cède les villes d’Angers et de Chinon, mais lui interdit de revenir au conseil. Par peur de voir sa mère poursuivre des complots, Louis XIII accepte son retour à la cour de France, et se réconcilie avec elle sous l’influence de Richelieu.

Les affaires extérieures.
La guerre de Trente Ans contre les Habsbourg, les conflits de succession d’Italie, de Lorraine prennent une grande partie dans la vie de Louis XIII, mais sa santé lui fait renoncer à participer activement aux dernières batailles. Ces guerres imposent beaucoup et surtout de lourds sacrifices au royaume, les impôts sont augmentés, le renforcement du rôle des intendants. Des révoltes populaires éclatent dans les campagnes.

La succession…
Louis XIII n’a jamais beaucoup apprécié la compagnie de son épouse, Anne d’Autriche, et l’absence de dauphin lui posait un problème sérieux. Gaston d’Orléans, le frère du roi complotait alors pour la succession. C’est après 23 ans de mariage que naît Louis-Dieudonné, dauphin de France, futur Louis XIV.

C’est le 14 mai 1643 que Louis XIII décède.

Justine LEFEBVRE (4eme C)

La bataille de Roncevaux

La bataille de Roncevaux se déroula le 15 août 778 dans le col de Roncevaux situé dans les Pyrénées occidentales entre la France et l’Espagne.

ORIGINES DE LA BATAILLE
Charlemagne règne depuis 10 ans, il combat sur tous les fronts (Allemagne, Espagne) à coup d’épée et de hache pour faire progresser la foi chrétienne et consolider ses possessions.
Au printemps 778, Charlemagne se rend en Espagne avec son armée pour aider l’Emir de Saragosse en guerre contre l’émir de Cordoue. Charlemagne s’empare de Pampelune, il fait raser les murailles de la ville. L’émir de Saragosse s’est enfin soumis, c’est Ganelon un des officiers de Charlemagne qui a négocié cette soumission mais comme il est jaloux de la gloire de Roland duc de Bretagne et neveu de Charlemagne, il a en même temps prévu de le faire éliminer.
Charlemagne ayant eu de mauvaises nouvelles de son pays, reprend le chemin de la France.

DEROULEMENT DE LA BATAILLE
Rentrant en France, Charlemagne traverse les Pyrénées suivi par toute son armée. Mais l’armée avance lentement et Charlemagne est pressé de rentrer. Ganelon en qui il a confiance, propose à Charlemagne de confier l’arrière garde à son neveu Roland ce qui pourrait permettre au reste de l’armée d’avancer plus vite. Rassuré de savoir son arrière garde en bonnes mains, Charlemagne se hâte vers la France. Mais Ganelon est un traître, aussitôt Charlemagne éloigné, il permets aux sarrasins et aux basques de tendre une embuscade en attaquant l’arrière garde des Francs dans le col de Roncevaux. Installés au sommet de la montagne, les ennemis font tomber de lourds rochers sur les Francs et en tuèrent beaucoup .C’est une hécatombe. Voyant le désastre, Olivier le bras droit de Roland lui conseille d’alerter Charlemagne. Roland refuse, il veut combattre seul les sarrasins. La bataille est violente, les ennemis descendent de la montagne et font basculer les survivants dans le ravin qui borde le chemin. Une seconde fois Olivier supplie Roland d’alerter Charlemagne mais une seconde fois Roland refuse. Roland se retrouve maintenant seul face aux ennemis car Olivier et tous les autres soldats sont morts. Comprenant son erreur, Roland souffle de toute ses forces dans son cor pour appeler Charlemagne à la rescousse. Quand Charlemagne arrive enfin dans le ravin de Roncevaux, il est trop tard .Son armée est décimée et Roland est mort…

LA LEGENDE DE ROLAND
Selon la légende, le comte Roland blessé dans la bataille de Roncevaux, avant de mourir, tenta de briser son épée « Durandal » contre la roche pour qu’elle ne tombe pas aux mains de ses ennemis, mais l’épée brisa le rocher comme un vulgaire caillou créant ainsi « la brèche de Roland », l’épée quand à elle demeura ferme et solide, alors Roland lança de toute ses forces l’épée vers la vallée, l’épée traversa les airs sur des kilomètres et se planta dans un rocher à Rocamadour. Elle y est toujours visible de nos jours.

LA CHANSON DE ROLAND
C’est un poème et une chanson de geste de la fin du XI siècle crée par un poète anonyme. Cette chanson comporte environ 4 000 vers écrit en ancien français, elle relate le combat fatal du chevalier Roland. En voici un extrait :

« Le noble Charles, Roi des Francs,
Avait passé monts et torrents,
Restait l’arrière-garde
Ayant pour chef Roland le Preux
Voilà qu’ils se hasardent
Au fond d’un val bien ténébreux.

Hélas ! Le traître Ganelon
Avait gardé ce noir vallon
Car une armée immense
Soudain descend des pics voisins,
La lutte à mort commence
Aux cris stridents des Sarrasins. […]
« e.

Rosalie PARENT (5eme C)

Le noble Charles, Roi des Francs,
Avait passé monts et torrents,
Restait l’arrière-garde
Ayant pour chef Roland le Preux
Voilà qu’ils se hasardent
Au fond d’un val bien ténébreux.

Hélas ! Le traître Ganelon
Avait gardé ce noir vallon
Car une armée immense
Soudain descend des pics voisins,
La lutte à mort commence
Aux cris stridents des Sarrasins.

buy windows 11 pro test ediyorum