Nos expressions salvadoriennes

“¡Ah chis!” : Expression qui dénote la surprise ou n’accepte pas ce qui est dit. En français on pourrait dire « Zut! »

“A la púchica”:  Désaccord ou protestation. Son équivalent en francais est « Punaise » ou « Mince alors! »

“No es lo mismo verla venir que platicar con ella”: Cette expression est dite quand vous parlez trop et agissez peu.

“Hacerse el maje”: C’est jouez l’ignorant dans une situation. Faire semblant de ne pas comprendre.

“Qué galán”: Expression pour dire qu’on est content. En français, on pourrait dire « C’est cool! », « C’est chouette » ou « J’aimerais bien! »

“Andar chaineado”: Se faire beau.

“Buscar oficio”: Trouvez quelque chose à faire.

“Agarrar zumba”: C’est boire de l’alcool plusieurs jours de suite.

“Se lo bajaron”: Ils l’ont trompé.

“Ya te llevó la que no te trajo”: Faire quelque chose de mal et devoir en payer les conséquences.

 

Fait par Alessandra Ramirez  :)

Qui sommes-nous?

Les élèves du pôle média du semestre 2

Nous sommes les élèves de 4ème pôle média et nous participons à un projet qui rassemble les 4 classes de 4ème soit 90 élèves au total. Le projet se divise en trois domaines : Le pôle média, le pôle histoire et le pôle Museo Forma. Nous travaillons tous en même temps sur ce projet 1h30 par semaine tous les lundis après-midi.

Nous, nous faisons partie du pôle média. Ce pôle est aussi divisé en trois groupes : Deux groupes font des productions/créations radiophoniques (podcasts ) et un groupe fait de la presse écrite.

Le pôle d’éducation aux médias est mené en trinôme par Mme Alvarez, Mme Blancard et M. Zelaya.
Ce blog est le journal de bord de ce pôle, il permet de voir régulièrement l’avancée de notre travail.

 

 

 

 

 

El día de los muertos

El día de los difuntos, más conocido como “día de los muertos”, es una tradición salvadoreña que se celebra el 2 de Noviembre en El Salvador. Esta tradición busca recordar a los seres queridos que ya no se encuentran con nosotros.

 

En este día en especial,  la gente aprovecha para comprar flores, pintura, cal, brochas y pinceles, y en familia se dirigen hacia el cementerio en donde están enterrados los parientes más cercanos.

 

En realidad el 2 de noviembre es un Día internacional en el cual se recuerda a los difuntos. 

 

Puede que haya nacido como una tradición pagana en tiempos inmemoriales y luego fue adoptado por la iglesia católica y por otras iglesias ortodoxas. Aunque la iglesia siempre ha orado por los difuntos, fue a partir del 2 de noviembre del año 998 cuando se creó un día especial para ellos. Esto fue instituido por el monje benedictino San Odilón, Francia. Su idea fue adoptada por Roma en el siglo XVI y de ahí se difundió al mundo entero.La gente hacia una especie de presentación donde aparece la  Dama de la muerte (que hoy en día es “la catrina”) que eran especialmente dedicadas a los niños.

 

En El Salvador este día parece haber sido inculcado desde el siglo XVI en la época de la llegada de los españoles a nuestras tierras y fueron ellos quienes impusieron esta tradición religiosa que busca conmemorar y recordar la vida de las personas que ya no se encuentran en este mundo.

 

Las tumbas de cemento se “chelean” con cal y se pintan las cruces de blanco o de otros colores, las letras de las lápidas se vuelven a pintar con colores dorados, plateados y oscuros con ayuda de pinceles, se adornan con flores de papel y bañadas en cera derretida de abeja para que obtengan una complexión dura y resistan mejor las inclemencias, o con coronas de ciprés llenas de flores artificiales o naturales.

 

La gente desde muy temprano visita los cementerios para llevar flores a sus seres queridos, a esto se le conoce como “enflorar”. Las flores son naturales o artificiales. Algunas personas también llevan músicos como mariachis para que les canten en la tumba del difunto y de esta manera recordar las canciones que le gustaban. En la mayoría de cementerios también se celebran misas o cultos especiales para recordar a los seres queridos en esta fecha.

 

La comida típica también es degustada en este día. Pupusas de chipilín, tamales, yuca frita o las hojuelas con miel de panelas sobresalen en estos lugares. También se acostumbra a hacer ayote en miel.

 

(Por Antonella Torres y Alessandra Ramírez).

Le compte-rendu de la visite guidée au MUNA

Dans cet article, nous allons vous présenter le compte-rendu de notre sortie pédagogique au MUNA le mercredi 24 novembre.

Fondé en 1883, le musée présente cinq salles, plus une autre dédiée aux expositions. Chaque salle montre trois époques culturelles différentes : époque précolombienne, époque coloniale et époque contemporaine.

Nous sommes partis du lycée à 13h50 direction le MUNA qui se situe à côté de l’hôpital national. Nous arrivons sur place à 14h30 et nous sommes reçus par la guide Adelina Quintanilla. Elle nous amène dans la première salle du rez-de-chaussée qui contenait une exposition temporaire sur l’histoire de la gastronomie salvadorienne avec une partie pré-colombienne.

Le guide Alexander Martinez Gutierrez

Ensuite nous passons vers la salle numéro 2 où nous sommes reçus par Alexander Martinez Gutierrez. C’est la salle des peuplements humains. Cette salle contient les premiers peuplements humains au Salvador (sédentarisation, développement, organisation sociale des cultures précolombiennes). L’arrivée des conquérants espagnols est aussi présentée avec ses bouleversements (changements sociaux, culturels et économiques) et enfin les migrations actuelles.

La 3ème salle était sur l’agriculture et l’artisanat salvadorien. Nous sommes reçus par Damaris Guadalupe Gonzalez Gomez. Dans cette salle, on observe les différentes techniques et instruments agricoles qui existent sur tout le territoire national à travers le temps, les principales productions agricoles et les différents régimes alimentaires. Les principaux produits exploités durant l’époque coloniale sont présentés : le cacao, l’añil (indigo) et le bálsamo (pommade appelée aussi baume du Pérou). De l’époque contemporaine (post-coloniale), sont présentées les techniques nouvelles et surtout l’importance du maïs et des autres cultures comme le café, le coton.

La 4ème salle est celle des Religions. Elle montre la vision cosmique que les indigènes avaient concernant leurs dieux et le mysticisme lié aux sacrifices humains et à la mort. A l’époque coloniale, c’est l’arrivée du catholicisme et de ses nombreuses manifestations. Pour la période contemporaine, c’est l’importance de la diversité religieuse qui est mise en avant, la liberté de culte et la tolérance religieuse qui existent au Salvador.

Enfin la dernière salle sur l’Amérique précolombienne était malheureusement fermée.

C’était une bonne sortie pédagogique, nous avons appris beaucoup de choses sur nos ancêtres, l’histoire de notre pays et comment nous sommes passés d’avant à aujourd’hui et ainsi mesurer l’avancée de notre société.

Julio Cativo et Sebastian Chacon.

Carte postale sonore au Muna

Dans le podcast suivant vous allez découvrir l’ambiance lors de notre visite au MUNA le mercredi 24 novembre 2021. Ce court reportage va évoquer les détails et l’ambiance de ce déplacement en bus ainsi que la visite du musée depuis l’entrée jusqu’aux 5 salles que l’on a visitées.

Dans le bus, nous étions très heureux d’aller au MUNA car c’était notre première sortie scolaire depuis la pandémie. À l’entrée  du musée, l’ambiance était très tranquille car il n’y avait presque aucun visiteur ce jour-là mis à part nous.

Ensuite, la visite a commencé par la première salle qui était une exposition temporaire autour de l’alimentation maya. Dans cette salle, très jolie et il y avait beaucoup d’histoire car la guide nous a expliqué toutes les informations de l’époque Maya et les conquêtes de cette époque.

Nous écoutions la guide qui nous expliquait l’alimentation des Mayas à l’époque précolombienne. Dans toute la salle , l’ambiance était toujours tranquille. On pouvait écouter les oiseaux chanter dehors dans le musée  ou dans le jardin du Muna.

Luis et Marco 4A, projet 4ème média avec Mme Blancard

 

L’interview des guides du MUNA

L’interview de la guide Adelina Quintanilla par Valeria Amaya 4ème A

 

L’interview de la guide Adelina Quintanilla par Mario Alberto 4ème A

El perrito con ruedas, la cual es una joya arqueológica de El Salvador.

 

L’interview de la guide Damaris Guadalupe Gonzales Gomez par Valeria Amaya 4ème A

Visite guidée du MUNA

Le mercredi 24 novembre 2021 nous avons visité le Museo Nacional de Antropología (MUNA) pour réaliser différents reportages radiophoniques sur le thème de la mémoire salvadorienne précolombienne dans le cadre du projet 4ème.

Mes camarades et moi-même devions tous réaliser des reportages de style différents seul ou en binôme.

Voici ci-dessous la présentation des différents types de reportages que nous avons réalisés ce jour-là :

– La carte postale sonore faite par Marco M. et Luis A. qui ont enregistré l’ambiance de notre visite au MUNA depuis le départ en bus du lycée français et à travers toutes les salles du musée.

– Le compte-rendu par Julio C. et Sebastian C.

– Le micro-musée par Ana I. et Monica A. dont le principe était de tendre le micro aux visiteur du MUNA et de leur poser 3 questions : sont-ils salvadoriens ? Êtes-vous fier de votre culture ? Et que pensez-vous de l’arrivée des Espagnols ?

– L’interview des guides du musée par Mario A. et Valeria A.

– Le reportage photo par Guillermo A.

 

Article de Guillermo A.

Buzz culture: Salvador Salazar Arrué.

                                                                         

Salvador Salazar Arrué

 

Salvador Salazar Arrué, mieux connu sous le pseudonyme de Salarrué, (Sonsonate, 22 octobre 1899 – 27 novembre 1975) était un écrivain, peintre et diplomate originaire du Salvador. Depuis 1946, il a servi comme attaché culturel d’El Salvador aux États-Unis.

 Nationalité                  Salvadorien

 Formation                   Corcoran College of Art and Design (Washington D.C, EEUU).

 

 Oeuvres connues      Cuentos de cipotes (1961), Cuentos de barro (1933),        

                                        Cuentos (1933), Trasmallo (1954).

 

 Épouse                         Zélie Larde

 

 Genres littéraires      Cuento, Novela, Pintura, Escultura

 

 Travails            

  ´´Un pintor llamado Salarrué” 

  “La extraña poesía de Ishabelia Larydhia”

  “Maya Salarrué”ubicada en el MARTE museo de Arte de El Salvador                 

  “La Monja Blanca”

  “Monstruo Marino”                                       

  “La mujer cuscatleca”

 

 

“La laguneta se iba durmiendo en la anochecida caliente. Rodeada de bosques negros iba perdiendo sus sonrojos de mango sazón y se ponía color de campanilla, color de ojo de ciego. El camalote anegado en los aguazales le hacía pestaña. El cielo brumeaba como quemazón de potrero, donde eran brasas los últimos apagos del poniente. Abajo había, en balsa de ramalada, dos garzas blancas; la una, mirando atenta la gusanera del viento en el vidrio verde de las ondas; la otra, mirando como asustada el cielo en donde apuntaba una estrella con inquietudes de escama cobarde.”

 

Salvador Salazar Arrué 

Bajo la luna (fragmento), de Cuentos de barro

Códice Coatepeque. Un abrazo a la memoria histórica.

En este artículo, les presentaremos una obra de Gustavo pineda, quien escribió el libro « Códice Coatepeque ». Con esta publicación, el autor y los ilustradores pretenden abrazar la memoria histórica.

Creaturas extrañas y personajes híbridos ilustran las páginas de este libro, todas obras de Renacho Melgar y Pedro Portillo.

Renacho Melgar afirma que la memoria y su trabajo son parte de su vida. En sus dibujos, vemos a Xipe totec a quien le ofrecían los cuerpos despellejados; a Tláloc, dios de la lluvia,ranas, sapos y culebras; a Dante y Virgilio, cruzando los infiernos, entre otros. Cada obra con un toque actual e único.

 

Con este trabajo, tanto su autor como los ilustradores han rescatado nuestro pasado, nuestra identidad.

 

(Fait par Alexandra Marín).