Enigmes et inférences (Partie 3)

Enigmes et inférences (Partie 3):

1- Miaou est un adorable petit chat tigré. Mais, à un an et demi, il fait le désespoir de son maître, M. Pintard : en effet, celui-ci le trouve trop petit. Il était très orgueilleux, et voulait un chat à sa mesure. Ne le voyant pas se développer, il décida un jour de le mettre dans un panier et d’aller voir le vétérinaire. Ce dernier lui proposa de donner à Miaou des fortifiants. Mais, gourmand, le chat s’empressa d’avaler toute la boîte. Le lendemain, Miaou se réveilla complètement transformé. Quel effet ont eu les médicaments ?

2- Maman mit le poulet dans le four électrique. Après avoir réglé le thermostat, elle sortit, et prit la voiture pour aller chercher du pain. En repartant de la boulangerie, elle tomba en panne. Le garage Martin étant fermé, la boulangère permit à maman d’appeler le garagiste de la ville voisine. Quelle conséquence son retard aura-t-il ?

3- Il pleuvait très fort à la sortie de l’école. Pour arriver plus vite et ne pas rater le début de son émission, Yanis décida de couper à travers le pré. Il dérapait sur la terre détrempée, éclaboussant le bas de son pantalon. En arrivant à la maison, il prit à peine le temps de se débarrasser de son imperméable et de son cartable, alluma la télévision et sauta sur le canapé. Quelle sera la réaction de sa maman ?

4- L’aurore s’emplit soudain d’un vacarme épouvantable. Dorian tressaillit, mit quelques secondes à réaliser que c’était contre la porte d’entrée que l’on tambourinait. Des bruits, des éclats de voix : en bas, son père et sa mère couraient ouvrir. L’enfant dé- vala les marches de l’escalier, reconnut Hamid, un jeune homme un peu simple qui aidait le berger de son père à garder les bêtes. Hamid avait la mine effarée de celui qui a vu le diable. Il expliquait d’un ton haché : « un ours a attaqué… dans la montagne… c’est la panique ! » Quels sont les dégâts ?

5- Le plus impressionnant a été cette détonation sèche au plein milieu de la nuit. Ni le vent violent qui a précédé pendant de longues minutes, ni la pluie continue ou le noir persistant qui ont suivi ne m’ont fait aussi peur. Ce rugissement inquiétant sorti des entrailles de la terre ou peut-être du fin fond de l’espace m’a fait craindre le pire. Heureusement, seul le quartier de l’église a été touché. La foudre s’est abattue sur le vieux coq du clocher et sur le transformateur situé à côté de l’église. Quel a été l’effet de cette détonation ?

6- Entre Élisabeth la vieille dame et Albert l’alligator, l’entente est parfaite. Mais leur entourage a du mal à accepter la présence de l’animal. Albert s’en retourne donc vivre en Floride, parmi les siens. Élisabeth est inconsolable. Ce qu’il lui faut, c’est Albert. Quelle va être la réaction de la vieille dame ?

7- Aujourd’hui, la maîtresse a choisi de raconter l’histoire intitulée Mes monstres à
moi. Les jeunes élèves suivent avec attention les aventures d’un jeune garçon, Léo, confronté à toutes sortes de monstres dans chacune des pièces de la maison. Ils sont cachés partout, plus effrayants les uns que les autres : dans le gros tuyau de la salle de bains, dans la cuvette des cabinets, dans le four de la cuisinière, dans le placard à balais et dans le grenier. Mais c’est dans la chambre de Léo que se cachent les plus horribles et les plus méchants. À la fin de l’histoire, les élèves sont tous tétanisés par la peur. Que risque-t-il d’arriver aux élèves cette nuit ?

8- Dès le début du match, au coup de sifflet de l’arbitre, Ginola reçoit le ballon. Une feinte, une deuxième, et voilà son adversaire direct dépassé. Il s’enfonce dans la dé- fense adverse, droit vers le but. À une dizaine de mètres seulement, il heurte le gardien avancé à sa rencontre et s’écroule dans le gazon pendant que le ballon sort lentement du terrain. Les spectateurs hurlent, sifflent… Que va-t-il se passer ?

9- La chaleur était difficilement supportable. Malgré tout Jérôme avait entamé une interminable partie de volley avec ses amis. Puis une longue baignade lui avait procuré un plaisir immense, mais quand il revint s’allonger sur sa serviette, il ne ressentit plus qu’un énorme engourdissement. La fatigue l’emportait, et il se laissa aller, appréciant la douceur du sable sous lui et la chaleur du soleil qu’aucun nuage ne venait perturber. Il ferma les yeux et s’endormit… Quelle mauvaise surprise aura-t-il à son ré- veil ?

 

10- On s’est longtemps interrogé sur la nature de la foudre qui terrifiait les populations. En juin 1752, Benjamin Franklin étudie l’électricité atmosphérique à l’aide de cerfsvolants munis de pointes et de câbles métalliques. Il travaille bien sûr surtout les jours d’orage. Quelle invention résultera de ses travaux ?

 

11-

 

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Une histoire dont je suis le héros : une après-midi à la mer

Une histoire dont je suis le héros : une après-midi à la mer

1- Ce matin, je pars à la mer avec mon papy. Il fait très beau en ce début du mois de juin.

Malgré l’arrivée des fraîcheurs de la saison sèche, il fait encore assez chaud à midi.

Mon papy me demande si je préfère aller nager ou bien pêcher.

– Je choisis d’aller nager ==>18

– Je choisis d’aller pêcher==>9

2- Je cherche des Bernards-l’hermite sur le sable et au pied des cocotiers. J’en trouve quelques uns autour d’un tamanu, ce magnifique arbre du bord de mer.

Mais ce n’est pas suffisant; je pense en trouver d’autres dans l’eau alors je longe la plage, les pieds dans l’eau. Soudain, je suis pris d’une vive douleur au pied.

– Je crie en appelant papy. ==> 11

3-Avant de s’élancer vers le large pour pêcher à la ligne, il faut se décider si on attire le poisson avec des appâts comme des Bernards-l’hermite, ou bien des leurres en plastique brillant appelés rapalas.

– On part vers la plage chercher des Bernards-l’hermite. ==> 2

– On file vers le large après avoir installé les rapalas sur les lignes. ==> 12

4- je m’élance sur la canne à pêche de gauche. On effectue un premier passage au milieu du banc et malheureusement, on obtient aucune touche. Au second passage, en revanche, la ligne se tend brusquement ! La tension est vraiment forte et je dois fermement tenir ma canne, tout en gardant l’équilibre sur le bateau. Au loin, on aperçoit soudain le rostre pointu et l’aileron allongé d’un énorme animal. Papy s’écrie de toutes ses forces : Aiu!! E Ha’ura tera !! C’est un bel espadon qui a jaillit au loin!

– Je décide de tirer le plus vite possible, et très fort, sur ma ligne. ==> 15

– Je prends mon temps pour remonter lentement et calmement ma ligne sans forcer. ==> 17

5- Restons prudents ! Il y a une petite houle peu dangereuse aujourd’hui, mais restons concentrés et veillons l’un sur l’autre. Papy plonge en premier et descend dans une faille profonde du tombant. Oh! Il remonte une langouste ! C’est à mon tour de m’élancer vers les profondeurs.

Je descends à environ dix mètres de fond, et savoure le silence et la pression de l’immensié liquide sur tout mon corps. Je remarque au loin une silhouette bien connue, avançant lentement et paisiblement. Je m’approche : c’est bien une tortue! Elle me regarde droit dans les yeux, en remuant doucement ses machoires.

– Je choisis tout de suite de tirer sur la tortue ==> 21

– J’admire immobile la nage de la tortue ==> 26

6- Je reste comme pétrifié devant cet animal puissant à la machoire effrayante ! Mon coeur bat très fort pendant ces quelques secondes qui me paraîssent une éternité ! En vérité, elle n’a même pas fait attention à moi, et continue maintenant son chemin en ondulant puis disparaît derrière une patate.

Encore un peu tremblotant, je me rapproche de mon papy. Il me fait un grand signe, lentement, et m’indique quelque chose, là devant. J’ai compris! Un magnifique ume, un nason brun, s’éloigne tranquillement, semblant zigzaguer de corail en corail. Nous décidons de le suivre le plus silencieusement possible. Papy me fait confiance alors je ne veux pas le décevoir. Je me concentre et me maîtrise au maximum. Je plonge vers le fond et m’approche en palmant très doucement. Je vise et décoche ma flêche sans trembler cette fois.

Gagné ! Le poisson tant convoité se secoue quelques instant avant de s’immobiliser. Je remonte à la surface en tenant la fleche à bout de bras, montrant fièrement ma prise sur la pointe.

Papy me dit combien il est fier de moi. Il a surtout hâte de rentrer cuisiner ce délicieux poisson, le préféré de mamie. Je suis devenu un vrai pêcheur au pupuhi. C’est un grand jour pour moi !

Papy me serre dans ses bras. Je suis le plus heureux du monde! FIN

7- Je cours vers la pirogue ! Papy me demande si je suis prêt. Bien sûr, c’est une super surprise !

On s’éloigne du bord et j’admire le paysage, les maisons avec leurs différentes formes jusqu’au loin dans la montagne, les silhouettes des baigneurs qui deviennent de plus en plus petites. Papy me prête la rame et je fais de mon mieux pour faire avancer la pirogue bien droit. Ce n’est vraiment pas facile, mais c’est amusant.

Papy me propose d’aller regarder les poissons. Super, j’en ai très envie !

Et mince, j’ai oublié le masque ! J’aurais dû vérifier mes affaires !

Ce n’est pas grave, c’est déja très sympa de sauter de la pirogue et d’essayer de remonter.

Papy me dit quand même de faire attention : “A ha’apa’o maita’i ! A tahuri !” Il a raison, il ne faut quand même pas faire chavirer la pirogue !

C’est vraiment un après midi de rêve avec mon papy! Je m’en souviendrai longtemps ! FIN

8- Je n’ai pas l’habitude de nager alors je ne suis pas tranquille. Il y a un peu de monde autour de moi, donc je mets la tête dans l’eau et admire le fond avec le masque prêté par papy.

Près du bord, il y a beaucoup d’algues, et l’eau est un peu trouble. C’est sans doute à cause de la pollution, avec toutes les maisons en bord de mer, sur la plaine et en montagne. Je m’arrête un instant pour observer l’île depuis la mer. Il n’y a bien que vers les hauteurs qu’il n’y a pas de maison, ici, à Pirae!

– Je continue de nager au bord tranquillement ==> 19

– Je dis à mon papy que je n’ai pas peur de nager loin ==> 23

9- Aujourd’hui, papy a sorti son poti marara, le bateau élancé qu’il affectionne particulièrement pour ses sorties de fin de semaine. Avec le moteur de quatre-vingt chevaux et le grand réservoir, on peut aller vite et loin sur la mer.

Nous arrivons à la marina d’Arue. On attend qu’un pêcheur professionnel remonte son grand poti marara de 24 pieds. C’est notre tour, la descente est libre et papy, au volant du 4×4, fait marche arrière lentement pour positionner la remorque portant le bateau.

C’est parti, on embarque enfin et on file en direction de la passe.

Le bateau ralentit; papy me demande si je préfére aller pêcher au fusil ou bien à la ligne.

– Je préfère pêcher au fusil ==> 25

– Je préfère pêcher à la ligne ==> 3

10- Chacun son tour, nous ramons lentement pour nous approcher du récif. Ce n’est pas facile d’aller droit ! Papy rigole et se moque un peu de moi gentiment.

Enfin arrivé, il me montre un tournevis : “Surprise, nous allons pana pahua !! pêcher des bénitiers !!

As tu vérifié tes affaires ?” Bien sûr, je n’allais pas oublier mon masque quand même !

Papy connaît un coin secret où on peut encore trouver quelques pahua. Attention, qu’il me dit, avec ton tournevis, tu n’enlèves que ceux d’une grande taille. Si il y en a que des petits, on les laisse tranquille! Pas de gaspillage !

On a la chance d’en trouver quelques uns, avec de belles couleurs dans l’eau: verts, mauves, bleus !

C’est bizarre, sortis de l’eau, il n’ont plus de couleur ! Je découvre toujours plein de chose avec mon papi et ma mamie !

Mais alors, papy me tend un morceau de citron! “Pahua e te taporo ! >Eite atu ai ! “ !

Le bénitier avec du citron ! Il n’y a rien de meilleur, me dit-il. Surtout au milieu du lagon!

Papy me serre dans ses bras ! Il est temps de rentrer, l’ouest devient rougissant.

C’était vraiment un après midi de rêve ! FIN

11- Papy arrive vite et me demande si je marchais pieds nus. Il m’explique que j’ai sans doute marché sur l’épine d’un nohu, le redoutable poisson pierre.

La douleur est terrible : je suis obligé de suivre mon papy qui m’amène sans attendre un instant à l’hopital pour enlever le venin. Je réalise tristementqu’à cause de mon imprudence, l’après midi de pêche est terminée ! FIN

12- Papy oriente le poti marara vers le nord-est, au large de Tetiaroa. Le bateau fonce sur l’étendue liquide, sautant de la crête d’une vague à la suivante, laissant derrière lui un fin sillage blanc.

Nous aperçevons bien vite une agitation inhabituelle : une nuée d’oiseaux de mer. Les uns tourbilonnent patiemment, les autres plongent soudain, piquant verticalement à une vitesse folle, et ressortant une seconde après. On imagine très bien les nombreux petits poissons qui attirent tous ces oiseaux …et les gros poissons sans doute en train de roder autour! Pas un instant à perdre ; papy installe les deux robustes cannes à pêches.

– Je choisis la canne de gauche ==>4

– Je choisis la canne de droite ==> 22

13- Papy me lance un grand sourire; ce n’est pas tous les jours que l’on a la chance de remonter un ha’ura ! J’aide papy à entourer notre prise avec une corde solide. Mais il faut faire vite, car papy me crie qu’il a vu un parata, ce terrible et redouté requin du large, un des rares à attaquer en pleine mer sans prévenir.

L’espadon est enfin à l’intérieur du poti marara. Victoire …et soulagement ! Sans un mot, on observe bouche bée le parata faire deux fois le tour du bateau, avant du disparâitre dans les profondeurs, sans doute déçu d’avoir manqué un tel festin!

Papy redémarre le bateau, et m’invite même a prendre les commandes à une vitesse modérée. Je sens la joie transpercer mon coeur et l’admiration dans les yeux de mon papy.

On a pêché un Ha’ura ! C’est incroyable! Sans doute le plus beau jour de ma vie, me dis-je, une larme de bonheur glissant lentement sur ma joue! FIN

14- Papy se débat pour attacher l’espadon, avec les vagues qui secouent le bateau dans tous les sens, mais c’est long, très long, trop long… Un parata, le terrible et cruel requin du large, apparaît, reconnaisable entre tous, avec ses nageoires latérales en forme d’ailes d’avion. Ce requin est spécial ! Le requin est animal pacifique la plupart du temps. Mais celui ci, le parata, est connu des marins du pacifique, de Hawaii jusqu’à Rapa Nui, et très redouté, car il attaque souvent ! Sans surprise, il s’élance et mord sauvagement les flans de notre proie.

Papy décide de relâcher le ha’ura.

On regarde impuissant notre bel espadon disparaitre, entraîné dans les profondeurs par le parata, laissant au dessus de lui une large trainée rougeatre, sanglante! ==>24

15- Je tire de toutes mes forces et le plus rapidement possible ; la bête est toute proche. On la voit très bien se débattre et, de temps en temps, apparaître quelques secondes à la surface de l’océan, dans une explosion d’écume. Mais c’est vraiment épuisant et très difficile

…soudain, la ligne casse!!

Quelle déception !! ==> 24

16- La flêche file en direction de la murène! Mais c’est incroyable : non seulement la flèche ne transperce pas l’animal, mais elle cogne et glisse sur son flanc! Encore plus incroyable, la murène s’entortille, comme si elle faisait une noeud sur elle-même …et tord la flêche !!

Aussi soudainement qu’elle est arrivée, le puhi repart en ondulant derrière une patate.

Après avoir récupéré ma flèche completement tordue, je retourne immédiatement vers papy.

Celui ci éclate de rire dans un premier temps, puis me dit qu’il est content quand même que le puhi se soit éloigné. En vérité, leurs morsures sont très rares.

Papy me montre les I’ihi, les rougets qu’il a attrapé. Nous aurons un délicieux repas ce soir !

Nous retournons au bateau et j’avoue que je suis encore tout ému par cette rencontre effrayante. Je m’en souviendrai longtemps, ça c’est sûr! j’ai hâte de le raconter à mes camarades de classe! FIN

17- Avec calme et détermination, je tire sur la ligne pour épuiser l’espadon. Les minutes passent interminables, épuisantes. Le bateau avance très lentement pendant que je rapproche la bête du bateau.

Enfin, le voilà tout proche! Papy attrape le crochet et bloque le poisson contre la coque du poti marama.

Je suis prudent et je m’éloigne de papy pour ne pas le gêner. ==> 14

Je me précipite avec une corde pour aider à attacher l’animal ==> 13

18- Nous arrivons à la plage. Le vent est calme aujourd’hui. Heureusement, car hier le mara’amu soufflait fort, et l’air venant du sud-est était plutôt frais.

Papy me demande si je préfère nager au bord, ou si je voudrais aller nager près du récif.

– Je reste nager au bord ==> 8

– Je demande à papy d’aller nager au récif ==> 23

19- Je reprends ma promenade marine. J’accompagne quelques secondes une aiguillette. Puis c’est au tour d’un o’iri, ce poisson baliste avec les dents proéminantes, de venir tourner autour de moi.

Alors, je sors la tête de l’eau pour respirer, après avoir gardé longtemps ma respiration sous l’eau.

Attention ! Un jeune home me frôle avec son padlle et suis si surpris que je bois la tasse!

Papy a vu toute la scène depuis le bord et éclate de rire. Moi, ça ne me fait pas rire du tout.

Pour me faire arrêter de bouder, papy me propose des morceaux de mangues avec du bonbon chinois. Miam! C’est chouette quand même la plage avec mon papy, surtout quand il me serre dans ses bras ! FIN

20- Avec nos longues et larges palmes, nous arrivons vite près du récif. Parfois, nous avons même pied et on se met debout pour faire une pause. De l’autre côté de la barrière de corail, juste là, sous nos yeux, se brisent les vagues puissantes qui ont traversé l’océan pacifique, pour venir se fracasser sur le récif dans un vacarme assourdissant.

Nous replongeons la tête dans l’eau et poursuivons notre chasse paisible et silencieuse.

Après avoir tiré quelques maitos, ces petits poissons noirs peu farouches, j’ai hâte de trouver un gros poisson.

Soudain, ce n’est pas un gros poisson qui se présente devant moi …mais une énorme murène de deux mètres de long. Elle est sortie de son trou, et nage en pleine eau ; ce n’est pas bon signe! C’est inhabituel car la plupart du temps, la murène se cache discrètement au fond de son trou, nous menaçant de sa machoire acérée.

– Je décide de tirer immédiatement une flèche sur la murène ==> 16

– Je conserve mon calme et attend que la murène s’éloigne ==> 6

21- Tremblant d’émotion, je décoche ma flêche.

La tortue, ayant sans doute deviné mon intention, s’est détourné un quart de seconde avant l’arrivée de la flêche. Cette dernière la frôle sans la toucher.

La tortue disparaît immédiatement vers les abysses obscurs!

Remonté bredouille, sans poisson, à la surface, je raconte ma rencontre à papy.

Visiblement, il n’est pas content. La tortue est une espèce protégée, m’explique t-il! On retourne au bateau.

Il me raconte qu’autrefois, il mangeait de la tortue, pêchée avec mon arrière grand-père. Mais c’était rare et toute la famille était conviée au tamaraa, ce festin exceptionnel.

Aujourd’hui, me met-il en garde, ce n’est plus possible! La population de tortues diminue d’années en années. C’est bien triste et il me dit qu’il est toujours heureux quand il a la chance d’en croiser une et de l’admirer, lors de ses après midi de pêche au large, ou dans le lagon.

Après cette longue discussion en mangeant du pahua avec du citron, il me serre dans ses bras. Puis nous rentrons vers la terre, le coeur rempli du bonheur de ces heures précieuses passées ensembles. FIN

22- Je saisis la canne à pêche de droite. Le bateau traverse le banc de poisson à vitesse modérée. On est entouré d’éclaboussures et d’écume. La mer semble bouillonner ! On imagine les centaines de poissons sous notre bateau, qui s’agitent près de la surface. Un ballet fantastique se déroule sous nos yeux, les nombreux oiseaux de mer s’élançant en piqué vers la mer.

Soudain, ma ligne se tend : dès le premier passage, ça mord !! je remonte lentement ma ligne , avec l’aide de papy, car ce n’est vraiment pas facile ! Quel est ce poisson qui me donne tant de mal ? On découvre une grosse bonite, un toheveri, accroché à l’hameçon du rapala.

Papy s’élance sur sa canne de son côté et remonte un deuxième toheveri. Quel moment extraordinaire! Après plusieurs passages, on a réussi à remonter sept bonites adultes!

Papy me regarde avec les yeux qui brillent; je partage son émotion. Cet après midi restera à jamais gravé dans ma mémoire! Et papy racontera longtemps nos exploits à toute la famille.

Le bateau redémarre et j’ai même l’autorisation exceptionnelle de piloter le poti marara, à vitesse modérée. Quel bonheur ce retour vers Tahiti avec mon papy qui me serre dans ses bras ! FIN

23– Papy m’a fait une surprise: un copain lui prête une pirogue de pêche pour aller faire une balade sur le lagon. As-tu envie d’aller nager près du récif, me demande t-il ?

– Je cours vers la pirogue et dis à papy que je veux y aller tout de suite ==> 7

– Je prends le temps de vérifier mes affaires et papy m’attend ==> 10

24- Sans dire un mot, papy range les cannes, reprend les commandes du bateau. Nous rentrons le regard fixé sur le lointain sommet de l’Aorai, tristes d’avoir perdu l’occasion de ramener un ha’ura, mais heureux d’avoir partagé ensemble de fortes émotions.

La prochaine fois, je serai plus patient et courageux, et on aura sûrement plus de chance! FIN

25- J’avais hâte de pêcher au fusil! Papy se prépare à côté de moi. Il est préférable de partir chasser à deux, chacun surveillant l’autre.

Quel poisson vais-je ramener cet après-midi ? Surprise ! Je suis tout excité quand je me laisse tomber en arrière dans l’eau.

– Je décide d’aller pêcher sur le tombant, à l’extérieur du lagon, à la sortie de la passe ==> 5

– Je me dirige vers l’intérieur peu profond du lagon, en longeant le récif. ==> 20

26- L’espace d’une seconde, j’allais presque tirer sur la tortue.

Puis je me suis ravisé. Non, elle est si majestueuse, nageant librement dans cette immensité liquide.

Quel instant magique ! Honu me fixe dans les yeux !

Nous restons face à face, les yeux dans les yeux, à nous dévisager mutuellement, aussi ému l’un que l’autre. Une fraction de seconde me paraît une éternité. Un frisson me traverse le corps ; une larme de joie coulerait presque de mes yeux, s’ils n’étaient pas déja humides dans mon masque.

Je remonte lentement raconter mon histoire à mon papy. Il partage mon émotion, et me raconte ses nombreuses rencontres avec honu, autrefois.

Enfin, nous rentrons au ralenti vers la terre, silencieux, enveloppés par les rayons rougeâtres du coucher du soleil. Papy me serre dans ses bras.

Cet après-midi de bonheur restera à jamais gravé dans ma mémoire! FIN

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ENIGMES ET INFERENCES (PARTIE 2)

Encore des devinettes !! Lisez lentement le texte pour ne laisser s’échapper aucun indice !

1- Hugues est à l’heure au rendez-vous sur le quai de la gare. Ses parents l’aident à porter ses bagages encombrants. Les haut-parleurs annoncent l’arrivée du train. Des paysages inconnus défilent maintenant devant la fenêtre du wagon. Hugues a mal aux yeux ; ses paupières sont gonflées d’avoir pleuré en cachette. Si ses amis le voient, ils se moqueront de lui pendant les trois semaines à venir. Pourquoi pleure-t-il ?

2- Au retour de la classe de neige, tous les enfants avaient une mine splendide. Ils rayonnaient de santé. Le grand air leur avait fait le plus grand bien. Ils étaient superbement bronzés malgré le froid qu’ils avaient connu pendant cette semaine. Seul Patrick faisait triste mine, le teint pâle, boitant de la jambe gauche. Pourquoi n’est-il pas aussi bronzé que les autres ?

3- J’ai tout de suite compris qu’il s’était passé quelque chose de grave. Il a sauté sur mon lit en se léchant les babines d’une manière bizarre. Puis il s’est étiré et a sorti ses griffes comme il fait toujours avant de se rouler en boule pour dormir. Inquiet, je me suis levé et je suis allé voir Arthur dans son aquarium. Pourquoi Sébastien estil inquiet ?

4- Des sirènes retentissent. Des odeurs se mélangent : celle de la barbe à papa, des pommes d’amour… Mehdi et Jordan rient, oublient tout. « En voiture ! … En voiture ! … Attrapez le pompon ! … Frissons garantis ! … » Mehdi conduit l’hélicoptère. Quant à Jordan, il transpire sur le vélo. Les enfants ne lèvent plus les bras, l’objet tant convoité a été attrapé. C’était leur dernier tour, et pourtant, Mehdi ne descend pas. Pourquoi ?

5- Coutcho mettait depuis bien longtemps quelques sandwichs de côté pour sa grandmère. Mais depuis quelque temps, elle lui en demandait davantage, et de jour en jour, il retrouvait le pain dans la poubelle quand il y déposait les emballages. Elle n’avait rien dit, mais elle ne mangeait plus que la garniture et semblait toujours avoir faim… Pourquoi ?

6- La foule m’affolait car je n’y retrouvais pas la silhouette recherchée. J’errais entre les caddies, sans rien remarquer des rayons que je traversais. Je me cognais parfois à des gens qui s’intéressaient plus aux produits qu’à moi… Et puis un gros monsieur s’est approché. Il m’a interrogé, mais je pleurais trop pour lui répondre. Il m’a pris la main et m’a conduit à l’accueil du magasin. On a appelé au haut-parleur… Pourquoi ?

7- Les pompiers sont arrivés vers cinq heures, avec une voiture et un camion qui portait la grande échelle. Les voisins s’étaient tous attroupés dans le verger de Mme Jaouen. Dans la nuit qui tombait déjà, les éclairs des gyrophares illuminaient par instants les visages inquiets qui observaient le travail des hommes du feu. Ils ne sont repartis que plus d’une heure après, et tous les visages s’étaient détendus, souriaient… Surtout celui de Mme Jaouen qui serrait très fort contre son cœur son petit chat gris. Pourquoi Mme Jaouen est-elle si heureuse ?

8- Le paysage n’est que désolation. Certaines routes sont coupées par de larges crevasses profondes de plusieurs mètres. Rien ne laissait prévoir une telle catastrophe. La radio n’avait pas annoncé de dangers imminents. Le ciel était d’un bleu limpide. En voyant le village complètement détruit, on a du mal à imaginer que tout n’a duré que trente secondes. Les maisons les plus touchées sont celles dont les fondations étaient les moins solides. C’est la première fois qu’un phénomène d’une telle ampleur se produit en France depuis au moins cinquante ans. Mais cette région était tout de même classée à risques. Que s’est-il passé ?

9- Tous les enfants étaient heureux d’être à la fête foraine. Ils montaient sur les manèges, admiraient les superbes ballons achetés ou gagnés sur un stand, mangeaient de la barbe à papa… Il n’y avait qu’Alice qui pleurait. Rien n’arrêtait ses larmes. On lui proposait pourtant de monter sur l’immense girafe du manège, on lui avait acheté des nougats (elle adorait ça !). Elle ne regardait même pas ses amies qui essayaient d’attraper un canard en plastique jaune. Elle pleurait dans les bras de sa mère, et regardait un petit point rouge dans le ciel qui allait bientôt disparaître, loin là-bas, derriè- re les grands immeubles de la cité. Pourquoi pleure-t-elle ?

10- Un froid vif s’était installé depuis une semaine. À la veille des départs en vacances de Noël, chacun s’en réjouissait : les trajets jusqu’aux stations de ski seraient agréables, la neige serait belle et douce. Mais ce matin le froid a faibli et une pluie fine s’est mise à tomber. Quels seront les effets de ces conditions météorologiques ?

 

 

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Une petite histoire dont vous êtes le héros : en sécurité à vélo !

Histoire dont tu es le héros

Serais-tu devenu un expert en sécurité vélo ?
Un petit bilan…

1. Tu te prépares pour une balade à vélo avec tes copains
>>Tu prépares et vérifies ton équipement (vélo et vêtements); passe au 3.
>>Tu préfères une autre solution; passe au 5.
>>Ton vélo n’a pas quitté le garage depuis l’été passé, mais cela va le faire;
alors tu passes au 2.

2. A cause de cette négligence, ton frein arrière lâche au premier virage et tu es obligé de remettre ta
 balade avec tes copains.
>> Poursuis au 4.

3. Tu réunis tes copains chez toi et ensemble vous décidez d’un itinéraire
>>Vous prenez le chemin le plus rigolo sans tenir compte des panneaux du code de la route, ni des
risques. Tu passes au 6.
>>Vous choisissez le chemin le plus adapté pour les cyclistes et en même temps vous décidez de
visiter quelques sites particuliers; passe au 7.

4. Tu as vérifié ton équipement et tu décides de rejoindre tes copains
>>Tu vas au plus court sans faire attention aux autres usagers de la route; passe au 6.
>>Tu as été très prudent, mais tu ne les trouves pas, tu décides de refaire la
balade un autre jour; retourne au 1 .
>>Tu ne sais pas où ils sont et tu te perds; passe au 8.

5.C’est un ami ou un parent qui remet ton vélo en ordre et prépare tes vêtements, bonjour
 l’autonomie!!!
>> Rejoins le 3.

6. Tu évites de justesse l’accident, tu as eu très peur et tes copains aussi
>>Tu retournes chez toi et tu décides d’abandonner ton vélo pour bien longtemps, passe au 10.
>>Tu décides de revoir quelques règles de priorité et du code de la route avec tes copains;
rejoins le 7.

7. La balade est magnifique, tu te trouves nez à nez avec des panneaux inconnus et tu voudrais les
 comprendre
>> Tu cherches dans ton code; passe au 11.
>> Tu demandes à tes copains; passe au 9.
>> Tu inventes une signification car tu trouves cela très amusant; passe au 10.

8. Heureusement, tu rencontres un voisin qui te reconduit chez toi.

>>Passe au 10.

9. Tes copains ne savent pas
>>Tu cherches dans ton code; passe au 11.
>>Tu laisses tomber et poursuis ta route sans faire attention; passe au 10.

10. Dommage, cela aurait pu être une magnifique balade.

Allez, ne perds pas courage et reprends
confiance en toi. Un petit conseil : n’hésite pas à mieux préparer ta sortie la prochaine fois ou
demande d’être accompagné par un adulte pour reprendre confiance en toi. Dis-toi que cela sera
plus chouette une autre fois !

11. Très belle balade sans incident, tu as découvert plein de choses et en plus, des voisins vous ont
vus et vous trouvent très prudents…
Alors, poursuis tes balades et à toi la liberté…

 

 

 

 

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Le 14 juillet et la Révolution Française !

Pourquoi  le 14 juillet est-il la fête nationale ?

Qu’est ce qu’une révolution, et en particulier la Révolution Française ?

Lisez tout le texte d’abord, pour vous entraîner à lire ; ensuite, regardez les vidéos pour mieux comprendre!

En 1789, le royaume est en crise : l’ Etat dépense trop et l’argent manque.

Devant le mécontentement du peuple, Louis XVI décide de convoquer les Etats généraux et demande aux français de rédiger des cahiers de doléances.

Lors des Etats généraux la noblesse et le clergé ne veulent pas accepter de changement et le roi refuse toute discussion. Les représentants du Tiers Etat décident alors de former une Assemblée nationale et rédigent une constitution.

Louis XVI tente de rétablir son pouvoir en rassemblant l’armée.  Aussitôt le peuple de Paris se révolte et, le 14 juillet 1789 il s’empare de la prison de la Bastille.

Le 4 août, l’Assemblée vote l’abolition des privilèges et adopte la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen le 26 août 1789

Le roi accepte une Constitution : c’est la fin de l’Ancien Régime et de la monarchie absolue.  La France devient une monarchie constitutionnelle.

Des mots pour comprendre :

Etats généraux :réunion des députés des trois ordres convoqués par le roi

député : personne élue pour faire partie d’une assemblée

cahiers de doléances :cahiers rédigés par la population pour y exprimer leurs désaccords et formuler des demandes

Constitution : loi qui organise le pouvoir, adoptée par un pays

monarchie constitutionnelle : pays gouverné par un roi qui doit respecter les lois établies dans la constitution

 

 

 

 

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ENIGMES ET INFERENCE !

1- « Contrôle bien tes coups, Jimmy ! » prévint le moniteur. Dès que ce dernier donna le signal, Jimmy bondit en hurlant. Il sauta en l’air et envoya
un coup de pied à Mathieu qui s’écroula par terre, le nez en sang. « Nom
d’un chien, mais à quoi joues-tu, Jimmy ? Ce n’est pas comme ça que tu
vas marquer des points ! Une ceinture bleue le sait parfaitement. » Quel
sport Jimmy pratique-t-il ?

2- L’atelier doit être bien éclairé. C’est pourquoi il y a ici une grande fenê-
tre qui laisse pénétrer largement la lumière. Au fond, j’ai prévu une
grande porte pour entrer et sortir mes œuvres. C’est là que je travaille.
J’y passe plusieurs heures par jour et je m’y sens bien, debout devant la
toile sur laquelle j’étale mes huiles au couteau. Que suis-je en train de
faire ?

3- M. Chevalier fréquente assidûment les bibliothèques. Il fouille dans les
livres anciens à la recherche d’indices nécessaires à son travail. Les archives lui sont indispensables pour parfaire les détails véridiques de certains personnages. Quelle est son activité professionnelle ?

4- Mélima ouvre la petite porte. Elle prend une poignée de foin, l’éparpille
de façon égale dans le compartiment. Elle dépose ensuite une brindille où
« Petite Boule Poilue » pourra se faire les dents. Puis, elle introduit une
écuelle, quelques pissenlits et une carotte. Tout est prêt. Elle n’a plus
qu’à faire entrer cette petite chose toute chaude qui couine de peur.
Que fait Mélima ?

5- À peine le bouton enfoncé, l’appareil se mit à rugir bruyamment. Tout,
sur son passage, fut avalé : les miettes de gâteaux, de pain, les toiles
d’araignées le long des poutres, les poils de Mistigri. Les petits graviers
cliquetaient dans les tuyaux lorsqu’ils étaient happés par le tourbillon. «
Cette machine rugissante est la reine du ménage » se dit Philomène la
sorcière. Que fait Philomène ?

6- Kévin adore observer la position et les mouvements des corps célestes.
Il est ravi, cette nuit, le ciel est dégagé : il va pouvoir se consacrer à sa
passion. Il scrute le ciel et « vise » la lune. Enfin, il tourne les molettes
pour affiner ses réglages et faire le point. Quel objet utilise-t-il ?

7- Depuis le nouvel an, je n’ai pas revu Mamie. J’ai volontairement délaissé
le téléphone, le stylo. Cependant j’ai régulièrement de ses nouvelles. J’ai
préféré utiliser le moniteur, les touches, les icônes… Qu’ai-je utilisé
pour communiquer avec elle ?

8- Le bruit empêchait Christopher de suivre son émission préférée. Sa mère passait et repassait autour de lui. C’était agaçant. Le long tube en aluminium qu’elle tenait attirait son regard. Le reste de la machine suivait
le mouvement, avec des soubresauts, et cognait de temps en temps la table basse ou le canapé. Impossible de fixer son attention sur la télévision tant que maman n’aurait pas emmené sa machine dans une chambre,
pour continuer son travail. Quelle est cette « machine » ?

9-Maman est en train de préparer le repas. Après avoir épluché tous les légumes et les avoir coupés en morceaux, elle les plonge dans l’eau de ce gros récipient. Elle ferme bien le couvercle et veille à ne pas oublier la soupape. Dans quelques minutes la maison sera bercée par son habituel chuchotement. Dans quel ustensile cuisent les légumes ?

10- Sophie le faisait glisser sur son chemisier, en avant, en arrière… De temps en temps, le long fil électrique la dérangeait et elle le repoussait calmement en dehors de la table. C’était agréable de regarder des mouvements aussi doux, aussi réguliers, mais ce que je préférais, c’était le léger chuintement de la vapeur qui s’élevait parfois de son instrument, comme s’il se plaignait d’avoir trop chaud. Quel instrument utilise Sophie ?

11- Dans la mercerie de Mme Paris, on propose une promotion spéciale cette semaine. Il n’y a plus que cela dans sa vitrine. Une chance ! Grand-mère adore coudre et tricoter, mais elle est moins habile avec l’âge, et elle doit en trouver de plus grosses pour mon pull. Par la même occasion, je lui en achèterai d’autres, avec de gros chas, pour repriser mes chaussettes ! De quoi parle-t-on ?

12- Après une longue marche dans les bois, Laurent arriva près de la mare. Malgré l’obscurité, il examina le sous-bois, puis releva les empreintes toutes fraîches laissées autour de l’eau. Il se posta non loin de là, bien caché, et attendit… Tout à coup, un mouvement attira son attention. Il prit l’appareil photo, et deux heures plus tard il rentra, la pellicule pleine du plaisir de tous ces museaux venus se désaltérer et se réjouir de cette eau fraîche. Que photographiait Laurent dans les bois ?

13- On les utilise dans le monde entier, même s’ils n’ont pas tous la même valeur partout. En Europe, on en utilise désormais de nouveaux. Les collectionneurs aiment se les échanger. Ils sont imprimés avec un papier spécial pour éviter que certains en fabriquent des faux. De quoi s’agit-il ?

14- Je les préfère légers et très vivement colorés, même si ce n’est pas la mode pour l’hiver. Mais malgré mes recherches, je n’en trouve que de trop épais et aux couleurs sombres, empilés sur les rayons, ou pendus sur les cintres. De quoi parle-t-on ?

15- Celles que je préfère, je ne les trouve pas à l’école. Il faut que je les emprunte à la bibliothèque. Il y a pourtant des héros qui sont sympathiques, et c’est plus agréable à lire quand on peut voir les personnages et ce qu’ils font sans être obligé de les imaginer… De quoi parle-t-on ?

16- « Ce chien est à vous ? Les Merlieux échangèrent un regard. — Oui, pourquoi ? s’informa M. Merlieux. Nous avons retenu une chambre à deux lits : M. et Mme Merlieux de Lyon. — Je regrette, répondit le réceptionniste, mais je ne peux pas vous donner de chambre. » Pourquoi le réceptionniste refuse-t-il de donner une chambre à M. et Mme Merlieux ?

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EPS : Jeu de l’oie pour bouger !!

Attention! je vous propose 3 niveaux différents :

– Jeu de l’oie DE LA FORME : Niveau facile/moyen, pour ceux qui veulent retrouver la forme doucement,

– Jeu de l’oie CARDIO : Niveau moyen/fort, pour les sportifs.

– Jeu de l’oie du CORONA : Niveau super sportif ! jeunes sportifs de haut niveau!

Imprimez le jeu selon le niveau que vous souhaitez, ou affichez le sur une tablette. Ensuite, vous aurez besoin d’un dé et parfois de la corde à sauter

Voilà! envoyez moi des vidéos de votre session d’E.P.S!

A VOS MARQUE, PRETS? LANCEZ LES DES!

Catégories: 2-5 VIVRE ENSEMBLE Débats Philosophie EPS | Laisser un commentaire

Documents sur les besoins des végétaux

Questions pour vos recherches:

– Que mange la plante pour pousser ?

– Qu’est ce qui sort en premier, la racine ou la tige ?

– Comment savoir si la plante a trop ou pas assez d’eau d’arrosage ?

– Comment savoir si la plante a trop ou pas assez de soleil ?

 

Le cycle de vie de la pomme de terre !

Les Racines Et Les Poils Absorbantes: 7 Steps - 2020 - How ToDo Well

Les outils du jardinier :

https://lewebpedagogique.com/monsieurmathieundlronchin/files/2012/04/outils-pour-jardiner.jpg

Les besoins nutritifs et vitaux des végétaux :

Et une vidéo plus longue : Vous connaissez tous « C’est pas sorcier »

Que se passe t-il sous terre ?

Catégories: 2-6 Sciences et Technologies | Laisser un commentaire

GUIDE DE CORRECTION DES ECRITS NUMERIQUES

Comme vous le savez, je ne peux corriger vos phrases avec mon stylo vert sur l’écran de mon ordi ou de mon vini

( sinon ça risque de rayer l’écran ! Pas cool !? ) , alors je vous propose le code de correction suivant:

(A) erreur d’accord ;
genre (féminin, masculin), nombre(singulier pluriel)…
exemple : les rose(A) Il manque le « s » à la fin !
exemple : la mangue écrasé(A) il manque le « e » à la fin !

(C) conjugaison ;
La terminaison ne correspond pas à la personne, au sujet, ou bien au temps utilisé.
exemple : vous mangé(C) ; ça doit être « ez » à la fin !
exemple : ils écrive(C) ; ça doit être « ent » à la fin !
exemple : elles écriverons(C) ; ça doit être « ont » à la fin

(O) orthographe :
Vérifie l’orthographe du mot dans le dictionnaire!
exemple : la voa(O)turr(O)e ==> la voiture

(P) ponctuation:
Il manque une majuscule ou un signe de ponctuation.
exemple : j(P)e fais mes devoirs (P) ; il manque la majuscule et un point !
exemple : Ce soir(P) je dormirai tôt. ; ilmanque une virgule pour faciliter la lecture

(?) oubli : il manque un mot, un groupe de mot,
(??) développe : tu pourrais rajouter une phrase, une explication…

Voilà, voilà ! Vous pouvez aussi aider vos camarades si vous voyez des erreurs ; commentez en réécrivant la phrase en enlevant l’erreur, sans critiquer ni se moquer bien sûr !

Catégories: 1-2 Productions écrites ou artistiques, 2-1 FRANCAIS | Laisser un commentaire

Sciences : les besoins des plantes et les cultures pour se nourrir !

Défi sciences : faire pousser au moins un légume que l’on cueillera en live devant tout le monde!!

Nous allons étudier :

– les besoins des plantes
– les étapes de développement des végétaux de la graine, à la fleur puis au fruit, ou à la racine.
– les gestes, techniques, tactiques, stratégies pour réussir vos cultures
Allez, allez, partagez vos astuces du potager !!
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