La vague à l’âme…

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Elle épouse la dune, s’étire et s’allonge

Doucement se retire en laissant comme empreinte

Une dentelle d’écume, un rêve, un songe

Le délicieux souvenir d’un corps à corps, d’une étreinte.

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Elle vient à bout des plus durs récifs

Sans faillir elle y met tout son coeur

Polissant les galets par assauts successifs

Transformant le pire pour en faire le meilleur. 

Jean-Paul