Qu’est-ce que cet exercice sur les stéréotypes m’a appris ?

En tant qu’étudiant étranger, on rencontre beaucoup de gens de pays et de cultures différents. On est forcé de  faire face à ses propres stéréotypes. Souvent on remarque que trop de stéréotypes sont des clichés et donc, ils ne décrivent pas du tout les autres. Quand on s’immerge dans une nouvelle culture, on peut remarquer quelques différences entre la culture étrangère et la sienne. En conséquence, on se fait des stéréotypes qui ne sont pas complètement faux. Mais apparemment, il y a toujours des gens qui ne sont pas comme le stéréotype le pense. Le meilleur exemple pour moi est la consommation du fromage en France. J’ai remarqué qu’on mange pas mal de fromage en France. Mais il y a aussi des Français qui ne mangent jamais de fromage. C’est la raison pour laquelle j’essaie de connaître les autres sans préjugés. Cet exercice m’a conforté dans mon opinion.

Même si j’étais un peu critique avant cet exercice j’ai trouvé très intéressant qu’on entende les clichés de son propre pays. Quelques clichés sont très connus, les autres sont nouveaux. En m’observant j’ai remarqué que je me comporte davantage comme le stéréotype suisse quand je suis à l’étranger. Par exemple, je donne plus de pourboire puisque je sais qu’on a le stéréotype des suisses riches.

Par contre, les stéréotypes peuvent être utilisés comme pont entre les cultures différentes. Ça l’air ironique de dire que les stéréotypes – déclarés comme obstacle entre les gens – aident à se connaître. Discuter les stéréotypes peut faciliter le premier contact. Comme l’exercice l’a montré, une discussion des stéréotypes peut être très amusante et détendre l’atmosphère.

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