Bonjour, avant de commencer, je souhaite rester anonyme, je suis dans un collège où tous les élèves sans exception sont riches ou possèdent une grande fortune, ce n’est pas mon cas. Malgré ça je me suis fait des amis, je n’ai pas le même centre d’intérêt qu’elles. Des fois, je suis mise à l’écart et dès que leurs farces tournent mal c’est toujours moi qui me fais passer un savon. Certes le mot « mouton noir » ne se rapporte pas à ce que vous pensez, car le sens propre de cette expression n’est pas un vrai mouton avec un pelage noir mais une personne ou un être différent d’autres personnes (ou d’autres êtres).
Bonjour, je m’appelle Ada Lovelace, Lovelace n’est pas mon nom de jeune fille, c’est Byron, Mon père était un célèbre poète, Lord Byron, et ma mère était une mathématicienne surnommée « la princesse des parallélogrammes », son nom est Anne Isabella Milbanke. Je suis née le 10 décembre 1815 et je suis morte le 27 novembre 1852, pendant ma jeunesse, ma mère a essayé de m’écarter de la poésie et mon éducation était basée sur les mathématiques, j’avais de grands tuteurs qui étaient très forts en science. Je suis la première codeuse de tout les temps et oui j’en suis fière, j’ai inventé le 1er programme informatique et avec Charles Babbage (inventeur de la calculatrice mécanique) on a perfectionné « la machine analytique » pendant 20 années, cette machine est l’ancêtre de l’ordinateur il y a 100 ans, Charles Babbage dit de moi: « Cette enchanteuse des nombres a jeté un son sort magique autour de la plus abstraite des sciences et l’a saisie avec une force que peu d’intellects masculins dans notre pays au moins aurait pu exercer ». À la fin je me suis mariée avec le premier comte de Lovelace, Marie William King. Malheureusement je ne suis vraiment pas connue, beaucoup de personnes peuvent penser que ce sont les homme qui ont inventé le 1er programme informatique mais ce n’est pas le cas.
Le 18 janvier ma classe et moi sommes allés à l’amphithéâtre de Léonard Limosin, pour voir la pièce de théâtre »le Médecin malgré lui ». J’ai aimé cette pièce mais j’ai trouvé que le comédien qui jouait Sganarelle avait des façons bizarres par exemple il a beaucoup perverti le personnage de Sganarelle à deux reprises. Il n’y avait pas de décor car la troupe a décidé de rendre hommage à Molière parce que la pièce ‘Le Médecin malgré lui’ se joue dehors dans les rues. Les costumes étaient originaux comme par exemple le costume de Sganarelle car on voyait qu’il était pauvre, il y avait aussi le costume de Géronte qui était déguisé en soldat de l’armée. J’ai aussi trouvé que la fille de la troupe était incroyable car elle jouait quatre rôles : Lucinde, Martine, Jacqueline et le petit garçon. Conclusion j’ai bien aimé cette pièce de théâtre car elle était drôle, pas dure à suivre et animée.
Le tableau « le défrichage du Maroc » peint par G.A Guillaumet représente deux personnes en premier plan, défrichant la terre du Maroc. La femme porte un nouveau né dans ses bras sur son dos tandis que l’homme derrière laboure la terre avec un outil tiré par un dromadaire. Ce tableau est exposé au Musée des Beaux-Arts à Limoges. Il est pour ma part très beau et inspirant. Cassidy
Ce texte libre parle de la BD ou plutôt du manga « Akane-banashi ». Ce manga raconte l’histoire de Akane, une jeune fille très ambitieuse qui veut devenir une rakugoka de rang shin’uchi car en effet il existe plusieurs rangs ; les débutants s’appellent les zenzas, les expérimentés les futatsumes et les professionnels ont le grade de shin’uchi. Akane veut devenir rakugoka pour venger son père (qui lui était rakugoka de grade futatsume) car il a reçu des insultes envers son art par un rakugoka shin’uchi. Elle réussit à convaincre l’ancien maître de son père à lui apprendre les bases du rakugoka, art ressemblant à du théâtre. Va t’elle réussir à accomplir son désir ? Je vous laisse aller le lire. Cassidy
