Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Marianne Cohn

Je suis une jeune fille originaire de l’Allemagne et née le 17 septembre 1922 à Mannheim et morte assassinée le 8 juillet . Je suis une Résistante allemande active en France durant la seconde guerre qui a écrit un célèbre poème je trahirai demain et elle avait aussi un pseudonyme connue de Marie-câlin . Elle est enterrée au cimetière du petit sablon et en plus d’avoir écrit ce poème, elle à aidé des familles juives à se réfugier et aussi elle les a nourries.
Myriam

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Denise Domenach-Lallich

Je m’appelle Denise Domenach-Lallich mais mon nom de naissance est Denise Thèrèse Hedwige Domenach . Je suis née le 10 octobre 1924 dans le 2ème arrondissement de Lyon . Et je suis morte le 19 juillet 2020 ( à 95 ans ) dans le 5ème arrondissement de Lyon . J’étais de nationalité française , j’avais un frère nommé Jean-Marie Domenach . Je suis allée à l’université de Lyon . J’ai été résistante puis je suis devenue enseignante .
Quand j’avais 16 ans mon frère a rejoins la résistance , je décide de l’aider . En 1942-1943 je suis en terminale et je rejoins les Forces unies de la jeunesse . En octobre 1943 j’entre à la Faculté des Lettres de Lyon et à côté de ça je fais partie des Jeunes chrétiens combattants . A vélo j’allais chercher chez l’imprimeur des journaux clandestins comme  » Témoignage chrétien  » que j’emmenais dans un magasin où des diffuseurs les distribuaient . J’ai aussi fait passer de l’argent et des faux papiers .
Pendant l’année 1942 alors que Lyon est actuellement occupée par l’Allemagne je prends des cours de calligraphie pour pouvoir imiter les signatures des commissaires de police sur des faux papiers . Je faisais cela dans le sous-sol de la Faculté des Lettres .Nous avions quelqu’un qui faisait le guet et qui nous donnait l’alerte en cas de danger .
En 1944 je suis nommée responsable des Jeunes des mouvements de la résistance, recherchée par la Gestapo . Puis un peu plus tard je rejoins la clandestinité et je quitte Lyon pour rejoindre ma famille à Hauterives (Drôme)
Après la libération , je suis responsable à Paris du Mouvement de libération nationale .
A la fin de la guerre , je rencontre Bernard Lallich dans une maison de repos de jeunes résistants à Combloux . Je me marie avec lui en décembre 1946. Puis je reprends mes études et obtiens une licence de lettres et deviens enseignante .
Mon mari meurt après avoir été atteint durant 15 années de la maladie d’Alzeihmer le 28 octobre 1991 . A la suite de ça, je participe à la fondation de l’association Rhône-Alzeihmer dont je suis vice présidente pendant 10 années consécutives

Morgane

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Joséphine Baker

Bonjour je suis Joséphine Baker, je vous présente mes exploits et ce que j’ai réalisé pour la Résistance. Je suis afro-américaine et je suis née le 3 juin 1906 aux Etats-Unis et décédée 12 avril 1975. Je suis une étoile de musique iconique des années 1900 . En 1937 je deviens Française et j’organise des concerts pour récolter de l’argent pour l’ armée. Je rentre dans la Résistance comme agent du contre-espionnage en 1939 et je deviens membre de la Croix rouge. Je portais secours aux troupes alliées et j’écrivais des lettres que les soldats blessés me dictaient. A la fin de la guerre, je suis nommée lieutenant de l’armée de la Libération. En 1946 je reçois la médaille de la Résistance Française. Je me suis beaucoup investie dans la lutte pour les droits de la population noire des Etats-Unis. J’ai utilisé ma popularité contre le racisme notamment avec Martin Luther King le 28 Aout 1963, à Washington, en l’ assistant lors de sa Grande Marche et pendant son célèbre discours « I have a dream » qui parlait de l’ égalité de tous les hommes blancs ou noirs. Mon art musical est aussi reconnu pour ses influences de rumba cubaine dans le livre de Alejo Carpentier.

Hamza

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Denise VERNAY, femme résistante

Bonjour, je m’appelle Denise Vernay. Je suis née Denise Jacob le 21 juin 1924 à Paris et morte le 4 mars 2013. En 1944, je me suis faite arrêtée par la Gestapo pendant que je transmettais des messages pour le marquis des Glières . Ils m’ont déportée dans un camp de concentration réservé aux femmes et aux enfants. Je suis torturée par le supplice de la baignoire, je survis ! je suis la sœur de Madeleine Jacob (la plus grande) dite « Milou », elle aussi résistante, elle est rescapée du camps d’Auschwitz, elle deviendra après Madelaine Jamposki, il y a aussi Jean et Simone qui deviendra plus tard Simone Veil. Quand j’ai 6 mois j’ aménage à Nice. En 1942, j’aide à cacher des enfants et des parents juifs. En 1943 alors que je suis en colonie d’éclaireurs avec ma sœur « Milou » , je décide de rentrer en contact avec la Résistance Franc-Tireur. Le 18 mars 1944, je rends visite à ma famille à Nice pour fêter les 21 ans de « Milou ». Ma famille est arrêtée et déportée 10 jours plus tard comme juifs. Cela m’a tellement énervée que j’ai voulu vraiment me joindre à la Résistance et à un maquis. Je quitte Lyon pour Annecy et je deviens un agent de liaison des mouvements unis de la Résistance en Haute-Savoie, avec le nom de Annie.
Samuel

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Berty Albrecht

Bonjour, je m’appelle Berty Albrecht . Je suis née le 15 février en 1893 à Marseille . Je suis morte le 31 mai 1943 (à 50 ans) à Frênes (la Seine ) parce que j’ai échappé à la surveillance réservée aux politiques . Ma profession est infirmière . Comme origine je suis Marseillaise . J’ai obtenu un diplôme d’infirmière. A la Première Guerre Mondiale, je retourne à Marseille et je travaillais pour la Croix-Rouge dans plusieurs hôpitaux militaires Je suis marié à Rotterdam le banquier néerlandais . On a ensemble deux enfants qui s’appellent Frédéric et Mireille . On vit aux Pays-Bas. En 1931, je suis séparée du banquier et je me suis liée d’amitié avec Victor Bracht et on s’installe à Paris . Victor Bracht est un professeur à la Sorbonne et Président de la Ligue des droits de l’homme dans un pays où les femmes n’ont pas le droit de voter . Et je suis une résistance française . Et je suis une des six femmes Compagnon de la Libération et aussi l’une des femmes inhumées dans la crypte du mémorial de la France combattante au Mont Valérien .

Ramona

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Jeanne Bohec

Bonjour, je suis Jeanne Bohec , je suis née le 16 février 1919 à  Plestin-les-Grèves et morte le 11 janvier 2010 à Paris à 90 ans . J’ai été connue parce que j’étais professeure de mathématiques et  maire-adjointe  du 18e arrondissement de Paris . Parachutée en février 1944 , je sillonne le Bretagne à bicyclette, d’où mon surnom « la plastiqueuse à bicyclette ». Je forme des équipes de saboteurs, organise plusieurs opérations et participe à la Libération. Parlons un peu de mes parents… Mon père est marin, originaire de Lanmeur, ma mère est de  Plestin-les-Grèves. En 1929,il avait servi 8 ans dans les premiers sous-marins, de 1906 à 1913 prend sa retraite de la marine et part occuper un emploi réservé à Angers où je passe toute mon adolescence. Je veux combattre en France, et j’obtiens difficilement d’y être parachutée. Je suis une des cinq femmes parachutées en France.
Fatouma

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Marie-Louise Dissard

Marie-Louise Dissard - Si/si, les femmes existent

Bonjour je m’appelle Marie-Louise Dissard. Je suis née en l’an 1881 et née à Cahors. Je me suis engagée activement dans la Résistance . J’ai d’abord agi dans un réseau sous le pseudonyme de Victoire . Je rejoins ensuite en 1942, sous le pseudonyme de Françoise , le réseau d’évasion Pat O’Leary du docteur Albert Guérisse, qui récupère les aviateurs britanniques et américains tombés sur le sol français occupé, les héberge et les fait passer en Angleterre en passant par l’Espagne. En septembre, je deviens, sous le no 40.068, chef du secteur de Toulouse et de ma région, pour la ligne d’évasion. Mon réseau est démantelé en mars 1943 : mon chef Albert Guérisse et a été emprisonné à Marseille pour recevoir les fonds nécessaires au fonctionnement du réseau, je poursuis les activités du réseau qui prend le nom de Réseau Françoise.

Mokthar

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Andrée Viollis

En tant que résistante, je vais vous raconter mon histoire. Je suis née le 9 décembre 1870 à Mées et morte le 10 août 1950 à Paris. Je suis une grande écrivaine et journaliste. Je suis militante antifascisme et féministe, j ai été plusieurs fois primée et décorée de la légion d honneur. Je passe la guerre à Lyon et Dieulefit. Je publie alors Le Racisme hitlérien, machine de guerre contre la France. Je publie alors Le racisme hitlérien, machine de guerre contre la France et participe au comité national des écrivains, organisation de la résistance littéraire . Je suis une des toutes premières femmes grands-reporters. J’ai mené ainsi de nombreux combats et j’ai défendu d’innombrables causes. Je me marie avec Gustave Terry, et divorce en 1901.

Aloïse

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Virginia Hall

Je m’appelle Virginia Hall. Je suis née le 5 avril 1906 à Baltimore, où mon père possède un cinéma. J’ai fréquenté les meilleures écoles d’Amérique du Nord. Je parle couramment français, allemand et italien. J’ai beaucoup aidé lors de la seconde guerre mondiale . J’ai été missionnée par par les services secrets britanniques et américains. J’ai été amputée de la jambe gauche. J’ai rejoint la CIA en 1946. Je suis décédée le 8 juillet 1982.

Améthyste

 

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Marie-Madeleine Fourcade

Bonjour je suis Marie-Madeleine FOURCADE, née le 8 novembre 1909 à Marseille. Mariée avant ma majorité, au Colonel Edouard MERIC, j’étais déjà une femme indépendante et j’ai pu devenir journaliste. J’ai eu la chance de travailler auprès de l’écrivaine « Colette » pour une radio parisienne. Je suis la seule femme à avoir dirigé le plus grand réseau de résistance en France pendant la seconde guerre mondiale en collaboration avec les britanniques. Arrêtée puis relâchée et évadée plusieurs fois durant la guerre, je suis restée malgré tout cheffe du réseau de résistance Alliance, échappant aux allemands contrairement à beaucoup d’autres résistants dénoncés, faits prisonniers, fusillés ou déportés dans des camps. Les allemands nous ont surnommés « Arche de Noé » car nous portions tous des noms d’animaux. Après la guerre en 1947, je suis devenue membre du partie politique du Général de Gaulle et je me suis remariée avec Hubert FOURCADE. J’aurai eu en tout 5 enfants, 2 de mon 1er mariage et 3 du second. Je suis morte à 79 ans à Paris 5e le 20 juillet 1989. Une place, une rue et un lycée portent mon nom en mon hommage.

Antonin-Sasha