Publié dans L'expo noire, Mes créations artistiques

Être le mouton noir de quelqu’un

Il était une fois, une famille noble de duc, qui avait deux filles l’une blonde Sophie et l’autre brune Manon. Elle était le genre de fille qui fait des colères noires dès que l’on les contrarie ou qui s’enfuit pendant la nuit et qui reste seule parce qu’elle se fait rejeter par ses camarades ou par sa famille qui ayant honte d’avoir une fille si… Comment dire… originale, pour une petite duchesse. Elle était en quelques sorte le mouton noir des gens qui l’entouraient . Sa sœur disait à tout le monde qu’ elle était ignoble avec elle et le pire est que tout le monde la croyait ! Quand elle sentait tous les regards noirs que les gens lui lançait derrière son dos, elle se réfugiait dans sa cabane dans un grand chêne. Seule, à l’abri des moqueries des autres, elle dessinait (car c’était sa passion). Cela calmait sa colère contre les gens nobles qui la regardaient bizarrement dès qu’ elle passait près d’eux. Puis, un beau soir d’automne, elle prit sa décision et partit. Elle avait décidé de devenir une personne du peuple normal, là bas, elle n’y serait pas jugée en permanence !

Eléonore

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Lucie Aubrac

Je suis Lucie Aubrac, je suis née le 29 juin 1912 à Paris. J’ étais une résistante française et une communiste à l’occupation des Nazis. Je suis en quelques sorte l’incarnation féminine de la résistance. Avec pour nom de jeune fille Lucie Bernard, j’ai vue mon enfance marquée par la Grande Guerre. Je souhaitais rentrer dans l’école normale d’institutrice mais je renonce à y entrer par refus de la stricte discipline qui y règne. Puis, je m’ installe à Paris et vis chichement de petits boulots. Je suis nommée à Strasbourg où j’y rencontre Raymond Samuel qui se fait arrêté en juin 1940, détenu à Sarrebourg. Il s’ évade grâce à mon aide fin août et nous gagnons Lyon. Puis, je crée avec Emmanuel d’ Astier, Jean Cavaillès et George Zérapha un noyau résistant  » La dernière colonne « .
Désormais, je ne m’appelle plus Lucie Samuel, mais Lucie Aubrac. Raymond est à nouveau arrêté le 21 juin à Caluire avec Jean Moulin. J’organise donc une opération militaire qui le libère des griffes de la Gestapo 4 mois plus tard. Puis je reprends mon métier d’institutrice en expliquant ce qu’était la résistance (ou la Grande Guerre ) de mon époque (ou de mon point de vue) aux jeunes des générations après la mienne. Je suis morte à Issy-les-Moulineaux en 2007.
Éléonore

Publié dans Le médecin malgré lui

Le médecin malgré lui (joué)

J’ai trouvé cette version du médecin malgré lui très originale. Les acteurs avaient décidé de ne pas mettre les mêmes costumes que ceux que décrit « Molière » dans le livre que nous avons lu en classe. Il n’y avait pas de décor car comme Molière jouait ses spectacles à l’extérieur et se déplaçait en roulotte, il ne pouvait pas se permettre de transporter le décor de chaque spectacle qu’il faisait. Et ils ne pouvaient pas mettre de décor aussi car il y avait des spectateurs des deux côtés de la scène donc une raison de plus pour ne pas mettre de décor.
Par contre il n’y avait pas beaucoup d’acteurs (ils étaient 5), donc ils faisaient chacun plusieurs rôles sauf l’ acteur qui faisait Sganarelle (qui n’ a fait que ce rôle). Le premier faisait Géronte et M. Robert, le deuxième, faisait Lucas et Thibault, et le troisième faisait Valère et Léandre. La seule femme du groupe, elle, faisait Martine, Jacqueline, Perrin et Lucinde.
Les costumes qu’ils avait choisis, étaient modernes. Sganarelle avait une tenue de boucher car les médecins de cette époque n’ avait pas peur du sang (exemple: saignées), Géronte était habillé en général car ce sont les pères qui dirigent leur familles, Jacqueline était habillée de façon extravagante, Perrin était habillé comme un enfant du temps de Molière (chapeau façon bêret, short et une veste simple), Lucas et Valère étaientt habillés en domestiques, Thibault était en manteau et avait un chapeau (bêret), Martine elle était habillée en pantalon large et en veste en jean, Léandre était habillé assez simplement et quand il était en apothicaire, il avait une perruque blanche et une blouse et enfin Lucinde, elle, avait une robe blanche et à la fin elle est réapparue sur scène avec un manteau de fourrure et des chaussures à talons.
Aussi, tous les personnages (sauf Léandre et Lucinde) avaient des masques. J’ ai trouvé cette représentation très réussie !

Eléonore

Publié dans Prix Funambulles

Mauvais monstre

J’ ai assez aimé cette BD car j’ aime les histoires de fantasy. Par contre, j’ aurais aimé que tous les monstres aient des pouvoirs (gentils ou méchants selon si se sont des bons ou des mauvais monstres) Eléonore

Publié dans Prix Funambulles

Séraphine

Je n’ ai pas vraiment aimé cette BD car il y a trop de personnages et l’ histoire ne me captive pas. Les aller et retour entre le passé et le présent rendent l’ histoire difficilement compréhensible. Eléonore

Publié dans Prix Funambulles

Les chats

J’ ai beaucoup aimé cette BD car elle provoque beaucoup d’ émotions. Elle est triste aussi mais la fin est optimiste. Elle provoque un mélange de peur et d’ intrigue (liée à la multiplication des chats). Eléonore

Publié dans Lectures personnelles

Les soeurs Grémillet

Les soeurs Grémillet est une série de bande dessinée en 4 tomes sur trois soeurs (La plus grande s’appelle Sarah, la deuxième s’ appelle Cassiopée et le dernière se nomme Lucille) les trois soeurs ont chaque une leur caractère : Sarah est très stricte et aime tout diriger, Cassiopée vit des histoires d’ amour et est souvent dans les nuages elle se dispute beaucoup avec Sarah, et en fin, Lucille elle est très discrète et elle aime beaucoup les animaux. Elles vivent beaucoup d’ aventures ensemble. Dans le premier tome, elles apprennent que leur mère a eu un enfant avant elles, mais il est mort à sa naissance. Dans le deuxième tome, Cassiopée se découvre un don pour écrire des lettres pleines de poésies, elles découvrent aussi que leur mamie a eu un autre amoureux avant de rencontrer leur grand-père. Dans le troisième tome, Lucille montre combien elle aime les animaux à ses soeurs. Elles découvrent également qu’elles avaient une ancêtre passionnée par les baleines et leur chemin dans l’océan tout au long de l’année. Et dans le quatrième tome, elles vont voir leur père pendant les vacances car il n’ habite pas avec elles à cause de son travail (il est astrologue) . Comme leur père est très occupé (même pendant les vacances) elles découvrent et suivent les indices d’ une petite comptine qui les emmènent dans une galerie ou leur père les rejoint et leur explique que c’était lui et son père (leur grand-père) qui avaient installé ses énigmes .

EN TOUT CAS, JE VOUS LES CONSEILLE ! (car c’est plein de mystères)

Eléonore