Publié dans L'expo noire, Mes créations artistiques

Le journal de Laura

03/06

Moi c’est Laura, j’ai 9 ans et aujourd’hui c’est mon anniversaire :j ‘ai enfin eu le cadeau de mes rêves … une chienne, Ma chienne ou plutôt ma Magichienne . Oui je suis sûre que ma chienne a des pouvoirs, même qu’elle fait de la magie noire

05/06

Hier soir, j’ai organisé une soirée pyjama. On a choisi un film d’horreur, mais je l’avais déjà vu. J’ai donc parlé tout le temps et ai raconté la fin du film : mes copines me lançaient des regards noirs à faire peur…

Margaux

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Maïe Politzer

Je m’appelle Marie Politzer de mon vrai nom mais je suis aussi surnommée Maïe ou Maï . Je suis née le 15 aout 1905 dans une famille très catholique, en 1929 , j’obtiens mon diplôme de sage femme, mes parents me donnent leurs économies pour que j’achète une clinique. Le 5 mai 1931 j’épouse Georges Politzer qui devient donc mon mari. Pendant la guerre, il écrivait les journaux pour la résistance je pris donc en charge le transport des journaux vers les imprimeries clandestines. Pour ne pas être reconnue, je me teins les cheveux en châtain alors que j’étais blonde. Le 14 février 1942 je me fais arrêter avec Georges par les brigades spéciales. J’arrive à voir une dernière fois mon mari avant qu’il soit fusillé le 23 mai 1942. J’ai été transporté dans plusieurs prisons : au fort de Romainville et à Auschwitz où je meure finalement le 6 mars 1943 à l’âge de 37 ans .
Mais 1 an avant ma mort je réussi sà faire parvenir cette lettre à mes parents: « J’ai pour mon compte été particulièrement ennuyée par les sauvages. J’ai été gardée seule en cellule à la Santé, sans livre, sans colis, sans promenade, pendant cinq mois. Après la mort de Georges on m’a mise un mois avec une femme de droit commun puis on m’a remise seule. Pour des riens on me punissait. J’ai été privée de soupe trois fois, pour cinq jours chaque fois. J’ai été en même temps privée de lit chaque fois pendant cinq jours. Puis envoyée deux fois au cachot; le cachot est une toute petite pièce absolument noire, sans fenêtre aucune et totalement nue, sans paillasse sans couverture et avec des souris. J’ai très bien supporté tout cela, mais le manque d’air faisait qu’on me trouvait presque chaque matin évanouie. Le docteur m’a enfin examinée et m’a dit que j’ai quelque chose au poumon, mais ce doit être pour me faire parler qu’il m’a dit cela, car il a ajouté, si vous parliez je pourrai faire quelque chose pour vous. À la Santé j’ai eu une crise de foie et une autre ici. Ici cela m’a valu qu’on me donne un régime, au lieu de l’horrible soupe aux choux, on me fait des légumes. Le soir nous n’avons qu’un sixième ou un cinquième de boule de pain suivant les jours, et une cuillerée de confiture. On crève de faim, mais n’envoyez rien pour le moment car le secret n’étant pas levé, nous ne recevons absolument rien des familles. »
Margaux

Publié dans Le médecin malgré lui

Les masques : une idée ingénieuse !

J’ai trouvé cette pièce assez bien jouée. Au début les masques m’ont un peut troublée, mais quand j’ai compris à quoi ils servaient j’ai trouvé l’idée ingénieuse. Pour les costumes il y en a qui avaient l’air de venir de l’époque de Molière quant à d’autres, ils ont l’air de venir de notre époque. Pour le décor à part une chaise il n’y en avait pas, car comme ils nous l’ont expliqué c’est une pièce qui se joue en extérieur donc sans décor. Dans le jeu, il n’y avait pas vraiment d’improvisation. Si je devais donner une note à la pièce, je donnerais quatre étoiles sur cinq.
Margaux

Publié dans Lectures personnelles

DAD

C’est une bd que j’adore car elle est très comique entre les quiproquos et les blagues.Elle raconte l’histoire de Dad un père célibataire qui essaye de gérer sa vie entre ses 4 filles (Pandora, Ondine, Roxanne et Bérénice) et l’appartement q’il doit entretenir et payer sans travail on voit grandir les personnages tout au long des tomes. Je recommande vraiment cette BD.

Margaux