Publié dans Poil de Carotte

La brute

Il était une fois un enfant qui s’appellait Eliot mais tout le monde l’appelait « Poil De Carotte » car il était roux. Il n’avait pas confiance en lui car il était roux. Un jour, il devait aller chercher du lait pour sa maman. Sur le chemin pour aller à l’épicerie, il rencontre une brute de son école avec un bâton qui lui dit « bah, alors, Poil de Carotte on va faire le course pour sa petite maman ? » d’un air malicieux. Eliot apeuré, reste confus devant son agresseur et devient tout rouge.
La brute s’approche d’Eliot et lève le bâton vers lui pour le frapper, c’est là que le parrain de Poil de Carotte débarque et fait fuir la brute. Poil de Carotte se calma et remercia son parrain puis partit faire ses courses. Arrivé chez lui, sa maman le gronde car il est rentré tard, il voulut s’expliquer mais elle ne voulait rien entendre. Il partit dans sa chambre en pleurant et commença à se remettre en question, se demanda pourquoi sa mère ne le traitait pas comme la mère de ses camarades les traitait, puis il s’endormit paisiblement les joues pleines de larmes…

Naila

Publié dans Prix Passerelle

La forêt de Yara

Ce livre écrit par Aurore Gomez parle d’une fille nommée Yara qui est mise à l’écart par ses camarades et intimidée par une fille, Yara est une fille âgée de 12 ans, aux longs cheveux bouclés qui vit dans la montagne. Je résumerai cette histoire en disant avec ces quelques phrases : un jour Yara partit dans la forêt et elle rencontra un père et sa fille (Ren et Névée) qui l’intriguaient beaucoup. C’est une histoire qui est très intéressante, c’est pour cela pour cela que j’ai choisi de parler de ce livre.
Naïla

Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Gilberte Brossolette

Bonjour, je suis Gilberte Brossolette, née le 27 décembre 1905 à Bruel et décédée le 18 février 2004 . A partir de 1953, j’ai été conseillère municipale de Montrouge puis le 26 novembre 1951- 21 avril 1959 j’ai été suppléante de l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe France. J’ai fait des études secondaires à l’institut Sainte-Clotilde, où j’ai obtenu le baccalauréat puis à la Sorbonne. J’ai épousé en 1926 Pierre Brossolette normalien et agrégé d’histoire. Grâce à mon diplôme j’ai pu commencer ma carrière de journaliste. Lorsque que le guerre a éclaté, j’ai organisé de nombreuse réunions secrètes avec mon mari Pierre Brossolette pour mettre en place la Résistance à Paris. J’ai aussi participé à l’envoi de nombreux courriers clandestins. Peu après j’ai ouvert une librairie-papeterie russe dans le 16e arrondissement de Paris, qui sert de lieu de rencontre et de « boite au lettres » pour la Résistance dans laquelle ils s’engagent pendant la Seconde Guerre mondiale. Les exploits que j’ai pu accomplir m’ont valu une médaille de la Résistance.

Naïla

Publié dans Le médecin malgré lui

L’arrogance de Sganarelle

Nous sommes allées voir la pièce de théâtre « le médecin malgré lui » à l’amphithéâtre du collège, il y avait plusieurs personnages : Martine, Sganarelle, Lucas, Valère, etc… Le personnage qui m’a le plus captivé est celui de Sganarelle, je l’ai trouvé à la fois drôle et intriguant. Sganarelle n’était pas du tout vêtu comme je le pensais, dans ma tête il avait plus des vêtements qui représentaient à la fois son arrogance et en même temps qui pouvaient montrer mieux son importance dans la pièce comme une chemise de bûcheron ou encore un pantalon de travail bien propre et neuve mais Sganarelle, lui, n’était pas du tout vêtu ainsi, il avait une sorte de combinaison de travail trouée dans tout les sens, recousue de partout. Mais je trouve quand même que le costume est bien choisi car il le représente très bien que ce soit en rapport avec son caractère ou avec son rôle, le costume est très bien approprié au personnage selon moi.

Naïla