Publié dans Femmes dans la Résistance, Femmes remarquables

Eugénie Éboué-Tell

Bonjour je m’appelle Eugénie Éboué-Tell.
Je suis née le 23 novembre 1889 à Cayenne et morte le 20 novembre 1972 (82 ans) à Pontoise. Je suis la fille d’Hippolyte Herménégilde Tell directeur du bagne de Cayenne. J’ai aussi fait une partie de mes études au Lycée de jeune fille de Montauban. J’ai épousé Félix Éboué le 14 juin 1922 et part en 1923 vivre avec lui en Oubangui-Chari, l’actuelle Centrafrique, où nous restons jusqu’en 1931. Après avoir entendu l’appel du 18 Juin, mon mari se rallie au général de Gaulle dès le 26 août 1940, contre la décision de son supérieur (Pierre Boisson, gouverneur général de l’Afrique-Équatoriale française). La France libre l’a alors désigné pour remplacer ce dernier, à compter du 12 novembre 1940. De mon côté, je m’engage dans les Forces françaises libres féminines et devient infirmière à l’hôpital militaire de Brazzaville ; pour cela, j’obtiens en 1944 la et la Médaille de la Résistance française. Mais !!! En 1940, mon engagement dans la Résistance me vaut une condamnation à mort, prononcée par le gouvernement de VICHY!!!

Théodora

Publié dans Le médecin malgré lui

Lucinde a des talons dorés

Le jeudi 25 janvier 2024, a eu lieu une représentation du « Médecin malgré lui » à l’amphithéâtre de la cité scolaire Léonard Limosin. J’ai aimé la pièce, les déguisements étaient drôles : Sganarelle avait un costume de boucher quand il était en « Médecin malgré lui » et un de menuisier le reste du temps et Léandre une blouse blanche avec écrit « con II ».
En ce qui concerne les accessoires, j’ai remarqué que Lucinde avait des talons dorés qui faisaient du bruit et il y avait un sac de billets qu’elle a jetés à son père, pour lui prouver que Léandre était devenu riche. Ce n’était pas dans la pièce à l’origine.
Il n’y avait pas de décor car la troupe jouait normalement à l’extérieur donc le décor c’est la scène.
Le jeu n’était pas mauvais, mais les comédiens étaient moins talentueux que ceux que j’ai vus à Noël qui jouaient « Les fourberies de Scapin ».

Théodora

Publié dans Mes créations artistiques

Cher journal

Aujourd’hui, nous sommes le vendredi 6 octobre.

Je me réveille dans mon palais de bois écoresponsable – bon, mon lit superposé avec un bureau en dessous…- Ensuite, je vais dans ma royale salle de bain faite d’or et d’argent – non, ce n’est pas vrai. Là je remarque une fille dans le miroir. Elle me fixe, je la fixe, elle me fixe… Et là, révélation, je me rends compte que je la vois tout le temps assise en face de moi chez le coiffeur !

Maman vient me faire un petit poutou :-) Elle est mignonne mais parfois je trouve ça un petit peu lourd. Mais je l’aime, ma mamounette. Elle va enseigner à Poudlard, en tant qu’assistante de Mrs MacGonagal, je crois. Ou que prof de langues étrangères mortes ? Mais assez parlé d’elle, parlons de moi.

Je descends l’allée de mon jardin à la française pour aller prendre la calèche qui emmène aussi tous les autres gueux de la basse-ville au collège.

Une fois arrivée à la cité scolaire, je me dirige vers la salle du cours de lutte contre le mal. Mme Duhtérian nous a enseigné un sort très puissant nommé « haiku ». Rentrée à la maison, je l’ai utilisé contre ma mère pour ne pas faire la vaisselle. Ça ne marche pas, ! Elle a hurlé : « oh, j’adore les haikus !!! » Je hais mon niveau pathétique en sortilège…

Bon eh bien maintenant, je vais aller manger mes chipolatas avec une délicieuse purée de pommes de terre.

Théodora