Archives mensuelles : octobre 2014

Action des 1ères L / ES pour les Enfants de Birmanie

Durant la semaine du 03 novembre, la classe de Mme Berthod a organisé une collecte de jeux éducatifs ainsi qu’en vente de gâteaux en faveur des enfants de Birmanie.

Le 19 mai 2014, Mme Fievet-Bocquet et sa fille ont donné une conférence sur la Birmanie, et plus particulièrement l’école privée Myitta Yaung Che High School, (« Light of Love Private High School ») dont Mme Fievet-Bocquet (ancien professeur d’Anglais au collège JASA) en est la directrice.

www.enfants-de-birmanie.org

 

Les jeux éducatifs seront transportés par Mme Guettier (professeure retraitée de Sciences Economiques et Sociales à JASA) qui se rendra en Birmanie courant novembre.

 

Soyez nombreux à soutenir ce beau projet. Renseignements auprès des élèves de 1ES / L, de Mmes Berthod et Damon.

La Grotte des Pins visitée par les élèves

  Sortie au château de Fontainebleau avec les élèves de Mme Carrette dans le cadre des cours d’Enseignement d’exploration :

Art Visuel et Patrimoine

Les élèves de seconde se sont rendus au château de Fontainebleau pour voir La Grotte des Pins de Le Primatice les 13 et le 16 Octobre 2014. Ils ont réalisé des croquis in situ.

 

Piers Deseilligny, 2de4
Piers Deseilligny, 2de4
Sadou Diallo, 2de2
Sadou Diallo, 2de2

 

 

 

Jade Violet, 2de2
Jade Violet, 2de2
Adam Tavares, 2de4
Adam Tavares, 2de4
Margot Terranova, 2de5
Margot Terranova, 2de5

Cérémonie celtique : Halloween

Halloween halloween

Cette fête serait inspirée de la Samhain ou Samain. Il s’agissait d’une cérémonie celtique au cours de laquelle ils fêtaient la fin des moissons et leurs morts. Cela se présentait sous la forme d’un grand banquet et durait sept jours. A l’époque, ils croyaient que lors de cette journée uniquement, la limite entre notre monde et le monde des morts s’effaçait et que leurs défunts pouvaient encore passer une journée auprès deux. Les druides allumaient des feux afin d’éloigner les mauvais esprits. Ils allaient ensuite le distribuer aux foyers en échange d’offrandes pour leurs divinités afin d’apaiser les morts. Si on ne leur donnait pas d’offrandes, les druides proféraient une malédiction. Comme les Celtes avaient peur des fantômes, ils se mirent à se déguiser afin que ces derniers ne les reconnaissent pas et donc ne puissent pas apporter le malheur sur leur maison.

 

L’origine de notre Halloween est donc essentiellement celtique. Il faut savoir que cette fête s’est diffusée aux Etats-Unis grâce aux migrations des Irlandais (poussés par la famine). Actuellement, Halloween (qui vient de «All Hallows Even» «la soirée de tout ce qui est saint») est devenu l’une des fêtes nationale les plus appréciées aux Etats-Unis d’Amérique.

 

Actuellement, Halloween, c’est l’occasion de se faire peur, de faire des blagues, de passer du temps avec des amis en regardant un vieux film d’horreur… Mais pourquoi ce ne serait pas plus que ça ? Si on y réfléchit bien, Halloween a lieu à la veille de la Toussaint, fête où l’on rend hommage à nos disparus. Cette fête pourrait aussi, inconsciemment, être un moyen de s’amuser une dernière fois avant de repenser à ceux qui nous ont quittés. Ce pourrait être une sorte de «défouloir» avant de passer une journée dans le recueillement et la sagesse.

 

Encore une autre réflexion que l’on peut faire : Halloween pourrait aussi être un moyen de faire accepter la différence. En ce jour, tout le monde peut s’habiller comme il le désire : on peut se déguiser (comme la plupart) en monstres, mais aussi en une personne ou profession qu’on admire (et donc en parler, partager des connaissances), ou encore s’habiller avec des vêtements qui nous ressemblent plus que ceux que l’on porte traditionnellement. Cette fête peut permettre, en l’espace d’une soirée, d’apprendre à mieux se connaître et à se dévoiler un peu.

 

Malheureusement, il ne s’agit pas d’une fête très populaire en France. Très peu de gens se prêtent au jeu. D’un autre côté, la France n’a joué aucun rôle dans l’histoire d’Halloween. Ce dernier est d’ailleurs apparu dans notre pays à la fin des années 1990, c’est donc une grande nouveauté. Malgré tout, des activités sont organisées dans les grandes villes et certaines personnes, que ce soit les enfants déguisés qui quémandent des friandises ou des passionnés qui décorent leur maison, continuent de faire vivre cette nuit.

Natacha

Le taser, un danger ?

Le taser, un danger ?

Le pistolet à impulsion électrique (ou taser) est une arme non létale (qui n’est pas censée donner la mort) inventée en 1972 par Jack Cover.

Il est surtout utilisé pour éviter que les policiers utilisent des armes à feu ou soient blessés par un suspect violent. Le taser envoi une décharge électrique qui paralyse la victime quelques secondes. La commune peut choisir si elle décide d’en fournir sa gendarmerie ou non. Il faut savoir que le PIE (pistolet à impulsion électrique) n’est accordé qu’aux policiers ayant suivis une formation de 30h (12h de formation juridique et 18h de pratique, compris dans la pratique les techniques d’immobilisation).

L’un des intérêts de ce taser est que le taux de blessures sur les policiers est réduit d’environ 70% et sur les suspects, il est réduit d’environ 40%.

Cependant, il y a eu quelques morts encore inexpliquées après l’utilisation du taser : par exemple, le 5 septembre 2014, la police a été appelée dans un hôtel parisien car un homme de 34 ans menaçait de se jeter par la fenêtre du premier étage. Cet homme était violent, soit en crise de démence, soit drogué, donc la police a été obligée d’utiliser un taser sur lui. Il n’a pas semblé réagir sur le coup mais a fait un malaise quelques minutes plus tard après une tentative de fuite. Il est mort le lendemain matin malgré la rapide prise en charge des secours.

Autre exemple : le 27 janvier 2014, un homme menaçait sa femme avec un couteau et serait mort dans la nuit après un tir de taser. Il y a aussi eu en 2013 un jeune homme de 21 ans qui se serait battu avec son cousin après une soirée au cours de laquelle il aurait beaucoup bu d’alcool et consommé des substances illicites. Une fois la police arrivée sur les lieux, ils auraient utilisé un taser afin de les séparer. Le jeune homme serait mort d’étouffement environ deux heures après le tir. On ne sait toujours pas s’il y a un lien entre la mort et le tir.

Après ces morts non élucidées, on peut se demander si les PIEs en sont responsables, et donc s’ils sont dangereux pour les personnes moins fortes que la normale et celles ayant consommé beaucoup d’alcool ou des stupéfiants.
Et vous, qu’en pensez-vous ?

Natacha

Préparation aux concours des IEP

L’établissement propose cette année 2014-2015 un nouveau parcours à destination des futurs bacheliers : une préparation aux concours des INSTITUTS D’ETUDES POLITIQUES au cours de leur année de terminale.

Il s’agit là d’une proposition exigeante, destinée à des élèves de bon niveau et capables d’assumer un double parcours : un objectif bac déjà engagé et l’intégration dès septembre 2015 d’un IEP en France (10 IEP en France : Paris, Rennes, Lille, Strasbourg, Toulouse, Bordeaux…). Cette préparation payante se met en place en collaboration avec l’association APRES. Elle sera ouverte aux meilleurs élèves de Terminale les cours auront lieu en soirée, entre 17h30 et 19h30 et les samedis, dans nos locaux du collège (1 rue Saint Merry) ou sur le lycée Couperin de Fontainebleau. Les professeurs prenant part à ce projet sont également issus de Jeanne-d’Arc-Saint-Aspais et de plusieurs lycées du secteur.

Le volume horaire proposé est important : près de 320 heures de cours et entraînements aux examens écrits ou oraux, à partir d’octobre. Mais ces éléments sont à placer à hauteur de l’objectif visé : une des meilleures et plus prestigieuses formations supérieures possibles après le bac.

Présentation faite par M. Massa, chef d’établissement adjoint

Bientôt, les premières impressions d’élèves inscrits à cette formation….

esidoc : portail du CDI Lycée

Bienvenue sur le portail du CDI 

du lycée Jeanne d’Arc – St Aspais

e-sidoc

Voici le principal outil du CDI: http://0771232w.esidoc.fr

Vous y trouverez différentes rubriques : Chercher / Apprendre à / Découvrir / S’informer sur / Informations pratiques.

En résumé,  un accès au catalogue du CDI (en effectuant des recherches sur la base du CDI), des sélections thématiques ainsi que des ressources en ligne (dictionnaires, encyclopédies…), des outils d’aide méthodologique, les informations pratiques du CDI et diverses actualités…