Archives mensuelles : novembre 2014

La légende du Rock and Roll I Première partie : Elvis Presley

Le Rock’n’roll est un grand feu, né d’une simple étincelle, mais cette étincelle restera à jamais dans l’histoire.

Cette étincelle a lieu en 1956, où un certain Elvis Presley sort son premier album chez RCA, la maison de disque la plus puissante du Monde. Par contre, ce presque rien se compose de blues, de gospel. Ce disque intitulé sobrement « Elvis Presley » possède également des chansons enregistrées précédemment, dès 1954 dans le studio Sun Record de Memphis, la ville natale du personnage qui deviendra le King du Rock’n’roll. De plus, le King a tout du stéréotype de rocker : beau, une voix magnifique, une présence, mais surtout, il a un esprit rebelle et provocateur. A l’époque, son déhanché de bassin ravit les plus jeunes mais agace les américains les plus puritains.

Aujourd’hui, cet homme inscrit dans la légende est un modèle de patriotisme pour tous les américains pour avoir fait son service militaire (comme Johnny Halliday en France) et reste dans l’Histoire comme le créateur du Rock and Roll même si son style apparaît comme dépassé. La mort d’Elvis Presley en 1977, serait dûe une arythmie cardiaque causée par un abus de médicaments sur une longue période. Il est également suspecté d’avoir contracté une maladie rare et incurable : le lupus érythémateux.

Quoi qu’il en soit, entre 50 000 et 100 000 personnes sont venues assister aux funérailles de  « La plus grande voix de l’Amérique » selon John Lennon.

Lucas

Enquête sur un métier : interview d’une enseignante de CLIS

 

Comme tout ce qui concerne le handicap, le métier d’enseignant de CLIS (Classes pour l’Inclusion Scolaire) ou d’EPMS (Etablissement Public Médico-Social) est souvent méconnu (certains ignorent même leur existence). Pourtant, beaucoup pensent que l’on aurait bien besoin d’enseignants spécialisés. C’est pour cela que nous vous faisons découvrir ce métier par cette interview…

Quel bac avez-vous fait ?
J’ai fait un bac littéraire avec option mathématiques.

Et ensuite, qu’avez-vous fait ?
J’ai fait une licence  (Bac+3) STAPS (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives). Je savais déjà ce que je voulais faire et j’aurais pu faire une autre licence pour y arriver. C’était à moi de choisir ce qui me plaisait le plus. Ensuite j’ai été à l’IUFM (Institut Universitaire pour la Formation des Maîtres) durant deux ans, plus une spécialisation d’un an : CAPA SH (Certificat d’Aptitude Professionnelle pour les Aides Spécialisées, les Enseignements Adaptés et la Scolarisation des élèves en situation de Handicap). Il faut savoir que pour entrer à l’IUFM il fallait un bac+3 (ou avoir le bac et trois enfants). J’ai pris comme option de ma spécialisation les troubles des fonctions cognitives (TFC). Les autres options concernaient les problèmes auditifs, visuels ou les troubles importants des fonctions cognitives.

Y-avait-il des formations à suivre pour travailler en EPMS ?
Pour les EPMS comme pour les CLIS et ULIS, il n’y avait pas de formations, il fallait (pour être titulaire) avoir le CAPA SH, mais il arrive que des enseignants qui y travaillent ne l’aient pas. Dans ce cas, chaque année, ils courent le risque d’être transférés.

Qu’est-ce que les CLIS et les ULIS ?
Ce sont des classes spécialisées pour les enfants ayant des troubles des fonctions cognitives (mémorisation, langage, raisonnement, logique…). Il y a un enseignant spécialisé par classe qui fait les apprentissages, et essaye de rendre possible l’inclusion des enfants dans des classes de leur âge en fonction de leurs capacités ainsi que de leur projet scolaire. Il bénéficie de l’aide d’un AVS (Assistant de Vie Scolaire) collectif.

Comment s’organisent ces classes ?
Un planning est fait en fonction des horaires du programme scolaire (par exemple, si il faut faire quatre heures de français par semaine). Si certains élèves sont en inclusion, il peut y avoir un petit déséquilibre car ils manquent quelques cours. Il faut tout de même faire attention car ces élèves ont besoin de repères, donc tout changement doit être prévu à l’avance afin de ne pas les déstabiliser.

Qu’y faites-vous ?
Un enseignant de CLIS (et sûrement ULIS) a deux objectifs principaux :             -permettre aux enfants handicapés de suivre le programme scolaire (ou socle commun) en l’adaptant (en utilisant d’autres outils, une méthodologie différente…)
-et les aider pour les inclusions. Lorsque l’enseignant pense l’un de ses élèves prêt à rejoindre un cour normal, il va voir le professeur des écoles afin d’organiser cette inclusion. Un enfant handicapé aura sûrement besoin d’un support adapté, peut-être quelqu’un devra lui écrire ses cours ou qu’il aura besoin de plus d’explications pour faire un exercice. Lorsqu’il y a une évaluation, cette dernière doit être adaptée pour l’enfant handicapé (quelques questions en moins, refaire supports… Les notes ne comptent pas).
Après un cours, l’élève inclu revient dans sa classe de base et son enseignante vérifie avec lui qu’il a bien tout compris. L’enseignant spécialisé est aussi celui qui définit les objectifs à atteindre pour les enfants (individuellement) et comment leur rendre ces objectifs accessibles.

Comment organisez-vous vos cours ?
Un enseignant spécialisé doit cibler les objectifs à atteindre par rapport au socle commun, c’est-à-dire imaginer comment le rendre accessible (pour certains il faut faire des manipulations, pour d’autres faire des exercices en ne changeant qu’un seul critère à chaque fois…). Il faut essayer de comprendre comment fonctionne l’enfant pour adapter correctement les activités à faire. Les objectifs de chaque élève sont individuels : il peut arriver que plusieurs aient le même support (trois ou quatre) mais un objectif différent ou inversement.

Quel matériel est mis à disposition des CLIS et ULIS ?
Il n’y a pas de budget spécifique pour les CLIS et les ULIS, l’école répartit le budget des municipalités. Il arrive que l’on mette à disposition du matériel adapté s’il y a une notification de la MDPH. Il arrive aussi que certaines personnes fassent des donations.

Est-ce que les enfants handicapés ont les mêmes récréations que les autres ?
Oui. Il peut arriver dans certains établissements où il y a beaucoup de monde ; les récréations se passent en deux cycles et dans ce cas l’enseignant décide si les élèves vont en récréation en même temps que leur cycle ou s’ils y vont tous en même temps.

Comment organisez-vous vos sorties ?
Toutes les sorties sont préparées en classe afin de ne pas déstabiliser les enfants. Il y a différentes sorties possibles :

-celles de la CLIS : elles sont souvent encadrées par l’enseignant et l’AVS ; cependant il arrive qu’il y ait un ou plusieurs accompagnateur(s) (parents).

-celles de la CLIS avec une autre classe : la sortie est préparée entre les enseignants afin que tous puissent en profiter et de faire les aménagements nécessaire.

-celles d’un enfant handicapé avec sa classe d’inclusion : l’enseignant est bien informé sur l’enfant et l’AVS peut venir en cas de besoin.

Que pensez-vous des CLIS et des ULIS ?
C’est très bien que les élèves puissent être dans une école ordinaire car ils sont en contact avec d’autres enfants de leur âge lors des récréations, de la cantine pour les demi-pensionnaires et des inclusions. Cependant, les élèves des CLIS et ULIS ne sont pas pris en compte dans les effectifs de l’établissement, ce qui pose parfois problème lors des inclusions. C’est vraiment dommage.

Vous avez travaillé en EPMS auparavant. Quelles sont les différences avec les CLIS et les ULIS ?
Les EPMS (ou IME : Institut Médicaux Educatifs) sont des établissements spécialisés avec école intégrée, mais ils sont plus spécialisés sur l’éducatif. Il n’y a aucun contact avec le milieu ordinaire. Les enseignants sont exclusivement dans l’établissement (ils ne sont pas engagés ailleurs en même temps comme certains professeurs). Le travail des IME est plutôt collectif (tout le monde fait la même chose). Les CLIS et ULIS sont plutôt scolaires et basées sur l’intégration des handicapés dans le milieu ordinaire. Le programme est adapté pour chacun et ils travaillent généralement seuls.

Pourquoi avoir choisi la CLIS plutôt que de rester en IME ?
Afin de voir de nouveaux horizons. Le travail en IME et la collaboration avec les éducateurs ainsi que les orthophonistes étaient très appréciés. Ce qui est plaisant dans les CLIS, c’est le fait d’être dans une école, le travail pédagogique, le travail avec les autres enseignants et surtout le contact avec les parents qui sont des collaborateurs.

En quoi le travail avec les enfants handicapés est plus agréable que celui avec des enfants sans difficultés ?
On se remet tout le temps en cause pour essayer de comprendre comment faire pour leur apprendre. Il faut être inventif et on reçoit de la reconnaissance : les enfants sont contents d’aller en cours, et leur contact est très riche. ça fait très plaisir de voir des enfants suivis depuis longtemps progresser, même si c’est un combat de tous les jours. Un enseignant spécialisé doit s’intéresser aux matières scolaires, aux enfants et à leur handicap.

Natacha

L’actualité estivale (et de la rentrée) dans tous ses états

Voici la première émission de la web-radio de Jas’Actu.

Au sommaire,

  • un grand journal qui vous rappelle ce qui s’est passé cet été,
  • ensuite, les Carnets de la politique consacrés à Najat Vallaud-Belkacem,
  • puis un billet insolite sur les sentiments des chimpanzés,
  • et enfin, l’actualité culturelle comme nous la voyons.

 

Nous commençons par ce qu’il s’est passé en France

La suite du journal, avec les sujets internationaux

Enfin, les sports

Maintenant, nous allons approfondir et parler culture

 

Raphaël

Retour sur l’affaire du virus Ebola

Depuis plusieurs mois, le virus Ebola fait des ravages dans le monde entier, au point où certains pays ont fermé leur frontière, ou établissent des plans d’urgence en cas d’infection générale. Ce virus venant d’Afrique de l’Ouest, plus particulièrement des pays de la Guinée, le Liberia et le Serra-Leone.
C’est le virus le plus meurtrier d’Afrique avec plus de 13 500 cas et plus de 5 000 mort recensés par l’ONU fin octobre 2014.

 

Qu’est ce qu’est Ebola?
Ebola est un virus appartenant à la famille des Filovirus (ce sont des virus se développant à l’intérieur de l’organisme des animaux tels que le primate). Le virus a été découvert en 1976 grâce à une première épidémie tuant 280 personnes. Actuellement il n’existe aucun vaccin contre Ebola.

Épidémie 2013/2014
Selon l’OMS, cette épidémie a commencé en Afrique de l’Ouest décembre 2013, dont le patient zéro serait un jeune garçon guinéen décédé qui aurait consommé de la viande infectée. Le virus fut identifié le 28 mars 2014 en Afrique.
Le 5 septembre, 2000 décès ont été officialisés, tous en lien avec le virus.
La 1ère contamination hors Afrique, un Libérien âgé de 42 ans, se présente dans un hôpital de Dallas ; il fut mis en quarantaine le 28 septembre, l’homme infecta à son tour 2 infirmières avant de mourir une semaine plus tard le 8 octobre.

Le 6 octobre, une infirmière espagnole ayant soigné un patient rapatrié fut à son tour infectée.
Le 23 octobre, un nouvel infecté fut déclaré infecté à New York ; il s’agit d’un médecin américain ayant travaillé en Afrique.

Symptôme et contamination du virus Ebola

Le virus Ebola est caractérisé par une montée de la fièvre rapide souvent accompagnée par des douleurs physique et musculaires. Après, vient, à cela, se rajouter une diarrhée ; vomissements ainsi que des hémorragies internes et externes, puis décès pouvant aller de 6 à 16 jours.
L’apparition des symptômes peut aller de 4 à 9 jours dans la plupart des cas.

La transmission se fait directement entre humains avec les liquides organiques (sang, sperme, sueur, salive, excrément…). La contamination se fait directement après le contact des liquides organiques du malade (mort ou vivant).

François

Enquête sur un métier : interview d’un constructeur immobilier

Afin de vous présenter le métier de constructeur immobilier, nous avons interrogé une personne qui exerce ce métier.

En quoi consiste votre métier ?
On vend des maisons neuves. En premier lieu,  on fait les plans avec les clients (selon leurs désirs et ce qui est possible), ensuite on doit trouver les financements et les terrains pour la construction. On est donc amené à travailler avec pas divers corps de métiers (terrassiers, maçons, etc…), y compris des collègues.

Quel bac et quelles études avez-vous fait ?
J’ai fait un bac de mécanique générale et ensuite un BTS commercial, mais maintenant il doit y avoir des BTS et des licences spécifiques. Le plus important, à mon avis, c’est d’avoir des notions de commerce. Quand le patron est gentil, en général, il forme lui-même ses employés (et quand c’est une petite « boîte »).

Quels sont les intérêts et inconvénients de votre métier ?
En ce qui concerne les intérêts : c’est qu’on a beaucoup d’autonomie, que cela touche beaucoup de domaine (urbanisme, construction, finance…) et qu’on travail avec beaucoup de personnes différentes.
Les inconvénients : on doit voir les gens pendant qu’ils ne travaillent pas, donc on travaille les samedis (jusque très tard) et les soirs en général. On n’a pas vraiment d’horaires fixes.

Pourquoi avoir choisi ce métier ?
Au départ, c’est complètement par hasard que j’ai trouvé ce travail, mais j’ai beaucoup aimé. C’est intéressant de voir ce que les gens recherchent et d’essayer de faire quelque chose qui s’en rapproche au maximum. Il faut savoir faire des compromis (ils ne peuvent pas toujours avoir exactement ce qu’ils demandent à cause de plein de facteurs tels que le terrain, la mairie…). Et j’aime beaucoup négocier. C’est pour cela que je suis resté et continue ce métier.

Natacha

Nouvelle rubrique…

Nous vous proposerons tout au long de l’année des enquêtes sur divers métiers. Ces interviews peuvent peut être vous aider à cerner un métier / des métiers… dans le cadre de votre projet personnel d’orientation, c’est une petite pierre à votre édifice !

Changement d’heure : impact économique et société

Nuit du 25 au 26 octobre : changement d’heure !

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Nous sommes passés à l’heure d’hiver. L’heure d’hiver signifie un retour à la « normale » du fuseau horaire utilisé qui est le GMT+1 pour la France.

Un impact économique

Le changement d’heure est également utilisé pour économiser de l’énergie en été et en allongeant les journées qui deviennent ainsi plus longues l’été. Une étude en 2009 de l’agence de l’environnement a ainsi démontré que pendant l’été, la consommation d’électricité était en hausse le matin entre 5 et 6 heures tandis que le soir la consommation était beaucoup moins importante, principalement entre 20 et 21 heures du soir.
Ce qui implique une économie le soir pour les foyers qui payent le matin mais finissent par économiser le soir.

Un impact sur la santé

Fin 2008, une étude suédoise démontrait une augmentation de crise cardiaque dans la semaine du changement d’heure en s’appuyant sur des résultats entre 1987 et 2006. Le monde médical reste très sceptique concernant cette étude bien que 19% des médecins signalèrent une augmentation de consommation de tranquillisant dans la semaine du changement d’heure.
Un impact sur la circulation a aussi été décelé, durant l’année 1976, une étude a montré une augmentation d’accident de circulation après le changement d’heure en été. Ainsi 661 morts ont été décelés lors de cet été. Mais cette étude se montre peu convaincante.

La Russie, qui elle avait décidé d’arrêter le changement d’heure et de continuer sur l’heure d’hiver tout le long de l’année, a décelé une hausse d’accident de la route, et d’après des rapports médicaux, créerait des problème de stress et de santé chez les populations vivant au nord, là où les journées peuvent rester noires pendant l’hiver.
Actuellement, 70 pays changent d’heure 2 fois par an (été et hiver). En Europe, le changement d’heure est global et harmonisé pour ne pas troubler le transport routier.

Source : Lemonde.fr

François

Un exemple de rejet… dû à la différence (sur une célébrité)

Le 16 novembre 2009, le magazine voici.fr a écrit un article sur le mariage du chanteur de Slipknot, Corey Taylor. Cependant, à mon avis, cet article n’était pas vraiment objectif.

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Déjà, l’auteur de cet article fait preuve de beaucoup d’ironie (ce qui aiguille le lecteur sur les / ses opinions).

Ce seul fait n’a pas vraiment d’importance, cependant, le journaliste traite le groupe Slipknot de fous furieux (émettant ainsi un jugement de valeur) et, dans ces deux derniers paragraphes, sous-entend grandement que le groupe -ainsi que son entourage- ont des tendances sataniques. Cela encourage les clichés, ainsi que les discriminations envers les groupes de Métal, ainsi que les gens qui les écoutent. L’auteur, de cette manière, semble essayer d’influencer ses lecteurs ou de les conforter dans leurs fausses opinions (voire pour certains leur haine).

De plus, si on regarde les mots clefs de cet article, on trouve: «mariage», «Rockstar» et «Superméchant». Pourtant, aux dernières nouvelles, Corey Taylor n’a jamais fait ou chercher à faire du mal à son prochain (au contraire, étant jeune, c’était plutôt lui qui prenait les coups).

Certes, cet homme ainsi que son groupe peuvent se montrer effrayants avec leurs masques, leurs paroles qui dérangent certaines personnes, leur style de musique, etc. Mais est-ce une raison pour les juger sans les connaître ? Et même si c’était le cas, est-ce aux environs du mariage du chanteur (un jour qui est censé être le plus beau de toute sa vie), qu’il faut le faire ?

De plus, quand on juge quelqu’un, généralement, on se pense supérieur à la ou les personnes visées, donc les fautes d’orthographes impardonnables telles que : «à été» (se référer au troisième paragraphe) sont à éviter dans les articles.

Natacha

Participation des élèves aux festivités des Amis de la Treille du Roy

Journée inaugurale de l’année des 20 ans des Amis de la Treille du Roy de Fontainebleau.

En effet, l’émission de France 3 « météo à la carte » du vendredi 17 octobre de 12h55 à 13h44 était consacrée au chasselas du château de Fontainebleau et aux festivités des Amis de la Treille du Roy (musique, danse, conférence, cueillette …).

Voici le lien pour visualiser le « replay » de l’émission sur La Treille du Roy :

http://pluzz.francetv.fr/videos/meteo_a_la_carte_,110995316.html

et aussi sur le site de l’Office de Tourisme de Fontainebleau, rubrique Emissions de TV :

http://www.fontainebleau-tourisme.com/index.php/fr/decouvrir/le-pays-de-fontainebleau-en-videos.html

 

Treille2

 

Treille1

avec la belle participation des élèves du collège et du lycée Jeanne d’Arc St Aspais  !!!!

la présidente Mme Tabourel