Archives mensuelles : janvier 2015

Si j’étais…

…une pierre : Le saphir

… une couleur : Le bleu

… une boisson : Le thé

… une recette de cuisine : Le poulet au curry

… un dessert : La mousse au chocolat

… un bonbon : Les bonbons Kréma

…une plante: Un arbre

…un animal : Le chat

… un paysage : La montagne

… un pays à vivre : L’Islande

… un geste : Une main posée pour réconforter

… un tissu : Le lin

… un personnage célèbre : Léonard de Vinci

… un homme ou une femme de lettre : Colette

… un instrument de musique : Le piano

… un jour de l’année : Le premier jour de l’été

… un film : « L’été meurtrier »

… une musique : Une ballade de Chopin

… un tableau : Un tableau de Dali :un enfant qui soulève l’eau pour voir un chien

… un livre à emporter sur une île déserte : Un livre de poésie

… un monument : La tour Eiffel

… un mot fétiche : Volonté

Interview de Mme Claudet

Interview de métier : technicien méthode

Afin de vous aider à choisir votre nouveau métier, nous allons vous présenter celui de technicien de méthode.

Q :Quel bac avez-vous fait ?
J’ai fait un bac STI génie mécanique .

Q : Quelles études avez-vous faites ?
J’ai fait un BTS pendant deux ans de conception, industrialisation et micro-technique.

Q: En quoi consiste votre métier ?
On fait tous les processus de réalisation des pièces mécaniques (par matière première pour aller à la réalisation).

Q :Quels sont les intérêts et inconvénients de votre travail ?
Les intérêts : c’est un marché où il y a du travail, l’aéronautique est un secteur porteur.
Les inconvénients : tout le côté normatif.

Natacha

Leçon à tirer du 22 décembre 2014

Même si ce n’est plus d’actualité, j’aimerais revenir sur le carnage qu’il y a eu le 22 décembre 2014 au marché de Noël de Nantes. Je pense que même s’il s’agissait d’un évènement isolé, on peut lui trouver une certaine importance.

 Tout d’abord, petit rappel des faits : le lundi 22 décembre, un homme de 34 ans, Sébastien S…., au volant d’une camionnette, aurait volontairement heurté plusieurs personnes sur la place Royale du marché de Noël à Nantes, faisant dix blessés (dont plusieurs graves) et un mort. Après avoir commis cet acte, il se serait infligé plusieurs coups de couteaux dans le fourgon, ne laissant pour expliquer son geste qu’un carnet où il parle de sa haine de sa famille et de la société, de sa peur des services secrets et de sa volonté des faire des victimes innocentes afin de régler ses comptes avec l’Etat, s’excusant par avance aux familles. Sébastien S….. a cependant survécu et a été mis en examen le vendredi 9 janvier 2015 pour assassinat et tentative d’assassinats. Sous la demande du préfet de Loire-Atlantique, il a été placé dans la section psychiatrie d’un hôpital depuis le 31 décembre 2014. Pour les médecins, ses troubles psychiatriques sont assez importants pour mettre en danger d’autres personnes et il pourrait récidiver. Il ne serait pas non plus en état d’être interrogé par la police.

 Maintenant, parlons de la victime décédée. Il s’agissait d’un jeune homme de 25 ans, Virgile P…… D’après les personnes qui le connaissaient en disent, il s’agissait de quelqu’un possédant des qualités exceptionnelles qui commencent (malheureusement) à se faire rare de nos jours, telles que la bonté, la gentillesse, l’altruisme et la générosité. Il débordait de vie, apportant la joie à tout son entourage, y compris des personnes qu’il connaissait à peine et était quelqu’un de très apprécier, que ce soit dans son club de country, dans son village ou encore dans les environs.

Même dans la mort, Virgile P…. a continué de faire le bien : il s’agissait d’un donneur d’organe. Sur le site dondorganes.fr, on peut constater que le nombre de personnes donnant leurs organes à leurs morts augmente peu : il est presque stagnant. Alors que le nombre de demandeurs, lui, est malheureusement en forte augmentation. (Ces deux phrases sont basées sur les chiffres des années 2005 à 2013). Beaucoup de prélèvements d’organes n’ont pas eu lieu car la famille de la personne décédée ne connaissait pas sa volonté, donc préférait répondre qu’elle y était opposée. Virgile P…., lui, avait tout fait correctement afin de pouvoir sauver des vies. «Cette volonté d’aider, ça lui ressemble tellement. Il est mort, mais quelqu’un va vivre grâce à lui» a déclaré sa sœur au Parisien.

 La mort de ce jeune homme peut nous donner à réfléchir. Il avait un grand avenir devant lui, le cœur sur la main et bien plus de qualités morales que n’en possèdent beaucoup de personnes. Autrement dit, il s’agissait de quelqu’un de valeureux qui méritait de vivre. Alors nous qui sommes encore vivants, nous devrions lui rendre en hommage en prenant le temps de chercher la beauté autour de nous, en nous aidant les uns les autres, en réalisant nos rêves, en nous montrant plus altruistes, gentils, compatissants, etc…

 Maintenant, petite mise en lien avec l’actualité récente.
M
ême si ces faits ont eu lieu dans des contextes très différents, je vais quand même les comparer. Le lundi 22 décembre 2014, on a assassiné l’un des symboles de la bonté, le mercredi 7 janvier 2015, on s’en est pris à notre liberté d’expression, le 9, c’était la diversité qui s’est faite attaquer, et je suis sûre qu’en cherchant, on peut trouver d’autres exemples. A mon avis, on ne peut pas accepter que ces morts aient été vaines. On ne peut pas laisser nos valeurs, nos trésors (référence à une déclaration de la sœur de Virgile qui le désignait comme tel), se faire décimer.

Et sans violence, on peut déjà faire énormément de choses : si quelqu’un s’était intéressé à Sébastien S…, il se serait peut-être rendu compte de son état, voire aurait même pu l’aider à se débarrasser de son mal-être par exemple. Alors tous, à vos crayons, à vos paroles, à vos qualités. Ne laissez plus des drames qui auraient pu être empêchés se produire.

Natacha

 

La Guerre du Paradis (extrait traduit)

Tout cela a commencé avec auroch*.

Nous étions en train de prendre le petit déjeuné dans nos chambres de la faculté. Simon présidait la table avec son habituel critique sur le monde avec le témoignage du journal du matin.

« Oh ! Splendide, il soupira, il semblerait que nous ayons été envahis par une meute de photographes étrangers désireux d’exposer leur pellicule (et qui sait quoi d’autre) au plaisir exotique au Dear Old Blighty*. Enferme tes filles, Bognor Regis* ! Les paparazzis européens sont relâchés dans le pays.  » Il divagua pendant un moment quand soudain il annonça,  » Attend ! Regarde ça !  » il tapât le papier brusquement et se redressa ; une posture peut commune pour Simon. »

 » Regarder quoi  ? » demandai-je paresseusement.

Çà c’était lui tout craché ; d’une lecture de journal à voix levée à un commentaire détaillé facilement méprisable, dédaignant et sarcastique, tout cela bien mélangé et poivré avec son unique style de cynisme…

 

*auroch: ancêtre des races actuelles de bovins domestiques, éteint en 1627

*dear old blighty : la vielle Angleterre

* Bognor Regis : station balnéaire dans le district d’Arun, dans le Sussex, Angleterre

Gaël

« Labyrinthe »

« Labyrinthe » est un film de science-fiction.

Un adolescent nommé Thomas se réveille amnésique dans une cage qui monte. Lorsqu’elle s’immobilise, il se retrouve au sein d’un grand espace, surnommée « Le Bloc » par ses habitants (lesquels se nomment eux-même « Blocards »), clos par quatre immenses murs et d’une porte qui se ferme la nuit. Le lieu est peuplé par une trentaine de garçons qui vivent grâce à leur organisation (principalement la pratique de l’agriculture et de l’élevage, ainsi que les trois règles qu’ils se sont fixés : ne pas paresser, ne pas s’agresser les un les autres et ne pas aller dans le labyrinthe) et à l’aide de ceux qui les y ont envoyés, qu’ils ont nommé les Créateurs.

Il apprend rapidement que chaque mois, la cage remonte un nouveau membre ainsi que des caisses qui fournissent le Bloc en produits qu’ils sont incapables de produire eux-mêmes, et que la cour se trouve au cœur d’un labyrinthe dont la configuration change chaque nuit, et qui est parcourue également chaque nuit par des monstres, appelés Griffeurs….

Une nuit, Alby et Minho ne rentrent pas à temps du Labyrinthe. Au moment où il vont se faire enfermer alors qu’ils sont tout près de la porte, Thomas s’élance dans le labyrinthe et se retrouve à son tour pris au piège. Ils mettent Alby, qui a été piqué, en sécurité et se retrouvent peu après face-à-face avec un Griffeur…

Acteurs principaux sont : Dylan O’brien, Kaya scodelario, Will poulter et Thomas sangster.  Réalisateur: Wes Ball.

Titre original : « The Maze Runner ».

de Dylan

IPHONE 5 C

L’iphone 5c est l’un des Iphone les plus fin du monde. Il existe  différentes

 

couleurs  il y a aussi des couleurs rares comme l’or et l’argenté.

L’IPhone 5c est l’un des deux modèles de la 7e génération d’IPhone, de la société Apple. Il a été annoncé le 10 septembre 2013 pour un début de commercialisation le 20 septembre 2013.

Il reprend la plupart des caractéristiques techniques de l’IPhone 5, avec toutefois la prise en charge des réseaux 4G LTE des opérateurs français. Il adopte également un nouveau design, intégrant une coque en polycarbonate disponible en 5 couleurs : blanc, bleu, jaune, rose et vert.

Différences avec l’iPhone 5s

L’IPhone 5c remplace dans les boutiques officielles le précédent modèle d’Apple : l’IPhone 5. Il en reprend l’essentiel des caractéristiques, mise à part son nouveau design ainsi que la prise en charge de davantage de bandes de fréquences pour la 4G LTE. L’IPhone 5s, quant à lui, prend la place de nouveau modèle très haut de gamme.                                                                                                                                                                     Dylan

 

Émission spéciale « Je suis Charlie »

Édition spéciale enregistrée le 10 janvier 2015 pour revenir sur L’Évènement de la rentrée et de l’année : les attentats à Charlie Hebdo.

Une émission en compagnie de Guillaume Bouchateau, producteur et lecteur de Charlie, ami de certains dessinateurs. Nous sommes tous Charlie.

 

De 2014 à 2015, comment voir l’avenir et le passé

Nouvelle émission spéciale, la première de 2015, à cette occasion, vous retrouverez les Grands Débats de Jas’Actu.

Un premier consacré à une rétrospective de 2014, et un second pour voir plus loin, c’est-à-dire, en 2015 et au-delà.

Mais avant tout, le journal :

Voici le premier débat rétrospectif :

A présent, le second :

Xbox one… vu par Amarin et Anton

Xbox One est une console de jeux huitième génération développée par Microsoft.

Dévoilée le 21 mai 2013, elle se place en concurrence frontale avec la Playstation de Sony, et plus indirectement avec la Wii u de Nintendo. Elle est disponible depuis le 22 novembre  dans treize pays, et depuis septembre 2014 dans vingt-six autres pays. Microsoft propose la console seule à partir du 9 juin.

Dotée d’un processeur, la machine est équipée d’un lecteur blu ray et d’un disque dur inamovible de 500 Go visant à en faire un système de divertissement intégré. L’intégration du périphérique kinect permet à la console de répondre aux commandes vocales ou aux mouvements dictés par l’utilisateur et d’être associé à une fonctionnalité de Visioconférence.

Amarin et Anton (collégiens)

Une histoire à suivre… Partie II

L’hôpital a subi une attaque mystérieuse et sanglante la nuit dernière. Je fais partie des bénévoles pour tout remettre en ordre. Léo, s’inquiète encore pour moi, et me conseille de prendre d’abord soin de moi avant d’aller m’occuper des autres.

– « Je sais, mais si je ne fais rien, je me sens inutile… Et tu sais à quel point j’ai horreur de ça » !

– « ça te rappelle tes frères »… soupira-t-il.

Léo était mon meilleur ami depuis que nous avions six ans. Il savait tout de moi, et je savais tout de lui. Ce grand gaillard d’un mètre quatre-vingt sept était aussi le seul à être au courant pour mes frères et le reste de l’histoire. Je préférais ne pas étaler ma vie et mes problèmes… J’étais ce genre de fille souriante, drôle, toujours prête à aider les autres autant que possible, mais qui se renferme dès qu’il est question de moi… En quelque sorte, je souffrais en silence.

La journée passa lentement, puis à 17h00, d’autres bénévoles  et moi partîmes pour l’hôpital.

Les rumeurs étaient vraies : c’était une véritable boucherie. Mais nous ne pûmes voir que très peu de la scène de carnage. Notre mission consistait à installer des lits dans les couloirs, à faire du tri dans les dossiers, et apporter des couvertures et du café aux enquêteurs et infirmières.

A 20h00, je pus rentrer chez moi. L’hôpital était situé à 10 minutes de ma maison, je pûs donc rentrer à pied. Il faisait nuit, le ciel était dégagé et la lune était pleine. J’empruntais un petit chemin à travers les arbres, un peu éloigné de la route. Je respirais l’air frais de cette nuit d’automne. Puis je porta ma main à mon cou, où pendait depuis toujours, mon médaillon : il comportait une photo de moi, âgée d’environ trois ans, avec mes frères. Nous avions l’air heureux… tous deux m’enlaçaient par les épaules. Je me rappelais, parfois, de nos éclats de rires, des flashs de mon passé…
Je referma brutalement le bijou. Il fallait vraiment que je passe à autre chose…
Soudain, je m’arrêta. Un bruissement de feuilles mortes m’avait tirée de mes réflexions. Il n’y avait pourtant pas de vent, et personne aux alentours. Je me remis en marche, plus vite. Puis un frisson me parcourut la nuque : j’étais observée !
L’impression ne passa pas. Alors je pris une grande bouffée d’air, et fis volte-face : personne. Je regardais à droite, puis à gauche, la nuit était calme. Mais mon coeur continuait à battre la chamade.

« -Il faut vraiment que tu arrêtes les séries policières Lise », me dis-je à moi même.

Je fermais les yeux pour me calmer, puis décida de continuer ma route. Mais en me retournant vers le chemin de la maison, un homme se tenait devant moi, un sourire carnassier aux lèvres. J’écarquillais les yeux : C’était Yohann ! Mais… c’était impossible ! Il avait 17 ans de plus que moi ! Il devait avoir 32 ans et pourtant il avait l’air d’en avoir à peine 20 !

– « Salut Lise ! » dit-il en souriant.

Cette voix… Mais… c’est…

– « Yo…Yohann ?! Mais… c’est… » bafouillais-je.

– « ça faisait longtemps » me répondit t-il d’un ton énigmatique.

Je ne savais pas quoi dire… j’avais des tonnes de questions, mais, en un battement de cils, il avait disparu, telle une illusion… J’étais seule, dans la rue.

 

La suite prochainement…

Ilana