Archives mensuelles : avril 2019

Carnaval au lycée !!!

Le carnaval du lycée !!!
Pendant le journée du 19 Mars, vous avez pu croiser de nombreux spécimens rares ! En effet, munis de leurs costumes plus ou moins ridicules et visibles, les élèves du lycée se sont déguisés pour le Carnaval. Cette journée étant aussi la Saint Joseph, elle ouvrait sur la période du carême.
A partir de 10h30, certains se sont changés, et en duo ou en solo, ont suivi leur cours de la journée dans la joie et la bonne humeur !
Sur le temps du déjeuner, un concours du plus beau déguisement a été organisé ; trois groupes ont gagné : les maîtres nageurs, les forestiers et le groupe féminin de ski !!!!! La sélection a été rude avec un jury composé de membres du BDE.
Heureusement les applaudissements ont aidé à départager les participants. De plus, un jeu de pistes avec des énigmes avait été organisé par le BDE.
Voici quelques photos souvenirs, que nous ne sommes pas prêts d’oublier je pense …
Le Carnaval est une journée particulière qui pour moi est symbole de bonne humeur collective et d’échanges ! Alors n’ayez pas peur du regard de l’autre, prenez cette journée comme une invitation à l’autodérision et à la découverte des personnes que vous rencontrez tous les jours au lycée !!!
Margot BERTHOLIER, TS2

Eloquence 2019

Concours d’Eloquence 2019

Une belle aventure qui se poursuit grâce à l’aide de Tous !

Nous avons donc  » Le podium » :
Nos 3 premières : Lauriane Benoist 1ère ex-æquo avec une excellente candidate du Lycée Uruguay, puis Amandine Millet, et Constante Équine. Elles ont assuré ainsi que les garçons.

Cette année nous avons formé 11 candidats méritants ( voir Les prix de fin d’année au mérite) ; 3 sont allées à Paris pour le Lions’ et 3 autres jeunes filles sont d’ores et déjà  » recrutées  » pour le concours de l’an prochain.

Notre Lycée ne cesse de faire des efforts pour préparer bien des concours Et « se préparer  » à l’excellence !
Nos meilleurs iront (Julie Labouze Lauriane Benoist, Camille Dubos…) à La fête des 25 ans de la Treille au château salle des Colonnes pour des prestations sur le goût.

Merci pour votre attention et votre soutien.
Merci surtout à Madame Maitre De Solliers qui a su déceler et encourager les talents.
Merci à Mme Malivoir d’être restée toute la soirée, et d’avoir pu remettre de la part de notre Directeur excusé le bouquet à la présidente du jury.

Geneviève Tabourel

Votre soi-disant cyber, une nouvelle écrite par Shirel

Votre soi-disant cyber

Les personnes que nous fréquentons, parfois, nous cachent de lourdes choses sur elles-mêmes et leur passé et ce même si nous nous connaissons depuis longtemps et que l’on se confie beaucoup de secrets, alors attention.

Jessica en fait partie, et pourtant rien ne portai à croire cela. Nous étions de très proches amies depuis la plus petite enfance puisque nos parents étaient de même. Nous sommes nées le même jour, la même année, nous avions tout en commun, nous étions voisines, mais elle dormait plus chez moi que chez elle car entre elle et ses parents ce n’était pas la joie, ce qui la mettait dans des situations pas très agréables, surtout à l’adolescence. C’était quand même une jeune fille lambda, assez bonne élève, pas de soucis dans la vie quotidienne. Des fois, on se racontait notre vie amoureuse, comme toutes les adolescentes du vingt-et-unième siècle :

«-Tu sais, hier, je me suis disputé avec mon copain, encore…

-Encore ! Dis-je, ça fait combien de fois ce mois-ci déjà ? Je ne compte même plus. Pourquoi     cette fois ?

-Pour rien, comme d’habitude, il sort avec sa soi-disant meilleure amie sans moi et il sait que je n’aime pas ça. Mais bon, bref, toi, tu racontes quoi avec les gars, Leïla ?

-Oh moi, comme d’habitude, rien du tout, tu sais, personne à l’horizon. »

On continuait notre vie, les réseaux sociaux, le lycée, les devoirs et tout le reste. Ce qui m’étonnait et qui m’étonnera toujours, c’est lorsqu’elle venait chez moi je lui donnais plein de vêtements que je ne portais plus, je lui prêtais du maquillage qu’elle ne me rendait jamais d’ailleurs mais bon j’ignorais un peu, je me disais : « c’est rien, elle en a besoin, prête lui, fais pas ton égoïste ». En plus de cela, je lui achetais des cadeaux souvent qui coûtaient cher puisque j’avais les moyens, je disais que ce n’était « qu’un petit quelque chose ». A côté de ces choses, les abonnés commençaient à monter en masse, les likes aussi et donc son influence en général et je pense qu’à partir de ce moment, elle a changé du tout au tout. Toutes ses fréquentations ont elles aussi changé, des personnes qu’elle côtoyait ne sont devenues que d’illustres inconnues et inversement. Elle commençait à ne plus travailler en cours, répondre au professeur et avoir des mauvaises notes Elle sortait tard le soir avec des garçons de deux fois son âge. Elle fumait, buvait jusqu’à ne plus pouvoir tenir debout, elle se dégradait de jour en jour. Mais ce n’est le pire dans tout cela. Un jour, on ne sait pas comment, ni d’où, ni pourquoi sont sorties des vidéos. Des vidéos d’elle. On la voyait avec des garçons faisant des choses que l’on n’aurait jamais cru qu’elle avait faites.

Ces vidéos tournaient de plus en plus, dans toute la ville et celles des alentours, en même temps que son influence sur les réseaux grandissait toujours. Au début seuls les gens du lycée le savaient, quand on lui demandait si c’était elle sur les vidéos, elle niait les faits jusqu’à l’os. Même lorsque moi je le lui demandais, elle me répondait d’un « Non ! » catégorique, elle me mentait à moi, sa meilleure amie, les yeux dans les yeux, de peur que je porte un jugement sur ses actes. Par la suite, les marques la contactaient plus souvent pour faire des partenariats car les abonnés montaient ainsi que les likes et donc son influence aussi et de plus en plus. Elle commençait à se sentir supérieure aux autres, à avoir les chevilles qui gonflent, à prendre la grosse tête, quoi. Je pense qu’elle commençait un peu trop à oublier qui l’a lancé dans ces choses qui sont malsaines mais qui révèlent le vrai visage des gens quand l’argent commence à rentrer. Elle oubliait un peu trop souvent, que je lui donnais des habits quand je les portais plus, aussi elle oubliait que je lui servais d’entrepôt pour les produits de partenariat, en plus et je crois que c’est la chose qu’elle a le plus oublié, c’est quand je suis allé lui acheter son Iphone avec mon propre argent et après ça, elle ose me laisser sur le pas de sa porte. Après cela, on ne se parlait plus jusqu’à ce que l’on se croise à la fête foraine de la ville. C’est à cet endroit que j’ai appris la vérité, elle ne pouvait plus la nier puisque l’on voyait précisément sa tête sur ces vidéos. Je lui demandais pour la énième fois si c’était elle, puis un grand silence, et d’un coup Jessica commence à crier :

«-Si c’est moi maintenant, tu vas faire quoi ?! Sale…, hein tu vas faire quoi ?

-D’abord calme toi et me crie pas dessus, ok. Je ne suis pas ton chien ou un moins que rien sinon j’vais t’frapper tellement mal que tu vas regretter d’agir comme ça ! Dis-je en élevant la voix.

-Bah viens m’frapper t’attends quoi, hein ? Que je t’arrache tes mèches, hein, sale… ?

-Hein, tu me prends pour qui, je suis pas ton chien, j’t’ai dit ! Hurlais-je en lui donnant une énorme gifle. »

Après cela, la baston entre les deux clans commençait, puis à un moment je lui arracha une poignée de cheveux que je laissa tomber par terre avec irrespect que moi-même je n’ai pas habituellement. Ensuite je rentrais chez moi tranquillement comme si de rien n’était. A la suite de cela, lorsque l’on se voyait quelque part,  au lycée par exemple, l’atmosphère devenait comme glacée autour de nous.

Après cet épisode qui était plus ridicule qu’autre chose, j’ai pris la décision d’aller voir Jessica pour lui parler en tant que personne mature, la confronter à ses problèmes et lui faire part de mes sentiments. Je sonnais donc chez elle, elle ouvrait la porte juste assez afin de pouvoir me voir entièrement et me mépriser du regard comme elle le faisait à chaque fois qu’elle était énervée contre quelqu’un. Elle m’a lâché un petit «Tu veux quoi encore ?» avec de la rancœur qui emplissait son corps entier. Je lui ai donc demandé de sortir s’asseoir, que l’on puisse mettre les choses au clair. On a donc parlé pendant un long moment, elle m’expliquait tout ce qu’elle avait sur le cœur, ses ressentis et surtout le quiproquo de toute cette histoire qui nous a mené jusqu’ici. J’essayais tant bien que mal d’entendre, de comprendre ce qui l’avait poussé à faire tout cela mais je n’y arrivais pas, c’était plus fort que moi, au fur et à mesure qu’elle me racontait l’histoire, je devenais de plus en plus colérique et en même temps désolée de ne pas avoir remarqué plus tôt sa détresse. Cette discussion nous a conduites ensuite à se revoir de plus en plus souvent pour trouver une solution à ce problème de vidéos. On était donc de nouveau amies, du moins c’est ce que je pensais, parce que malgré tout elle était comme ma sœur d’autres parents, j’avais beaucoup d’affection pour elle. Plusieurs semaines s’étaient écoulées jusqu’au jour où j’ai reçu  un message disant que les vidéos de Jessica étaient bel et bien effacées d’internet et de tous réseaux sociaux. Je courais donc chez elle pour lui annoncer la bonne nouvelle. Je sonnais une fois : rien ; deux fois : rien. Je retournais chez moi, le lendemain, au lycée je la cherchais partout et quand je la trouvais enfin, je lui annonce la nouvelle, elle me répond d’une petite voix : «Merci, mais je ne préfère pas que l’on reste amies». Voilà comment j’étais remercié de tout ce que j’avais fait pour elle pendant toutes ces années.

par Shirel Koukpaki, seconde 4

 

 

 

 

Le vélo de mon père, nouvelle écrite par Anatole

Le vélo de mon père

Aubvillers, il est sept heures, comme à son habitude, Jean se lève. Il n’a pas besoin de réveil puisque depuis tout petit il se lève à cette heure matinale pour aller à l’école ou pour la messe de huit heure le dimanche. Pendant les vacances aussi, il se levait pour aller traire les vaches avec Paul, son père et Marc, son grand frère. Il a été élevé comme cela à la ferme. Il faut dire que dans la campagne des années quarante, nul n’avait d’autre choix. Il se rendait à l’école à Montdidier, à vélo, une trentaine de kilomètres par jour. Lorsqu’il était encore au primaire, il montait sur le porte bagage de Marc, ensuite pour ses 10 ans il a eu son premier vélo. En réalité il s’agissait d’une vieille bicyclette retrouvée dans un hangar de la ferme et qu’on avait pris soin de nettoyer.

Jean s’installe dans le canapé écoutant le doux chant de BFM TV. Puis il prend son petit-déjeuner et s’habille. Il descend ensuite au garage, prend son vélo, et s’en va à Montdidier chercher son pain. Il va aussi voir Marie-Claude, la boulangère, c’est une vieille amie d’école sur qu’il a toujours pu compter. Cette route, il la connaît par cœur. Deux fois par semaine, il l’emprunte pour aller chercher un peu de bonne humeur ainsi que le dimanche. À la sortie du village, la route est dangereuse : une descente avec plusieurs virages consécutifs ainsi qu’une chaussée très souvent recouverte de terre à cause des nouvelles machines bourré d’électronique de monsieur Derli qui se moque de dégrader la chaussée pourvu qu’il rentre se prélasser devant sa télévision. Monsieur Derli habite lui aussi à Aubvillers. Il est le propriétaire d’une grande ferme et d’une immense exploitation. Jean le déteste tout comme son père détestait le père de Monsieur Derli. Entre agriculteurs, cette situation est courante. Cependant Jean a une raison supplémentaire pour nourrir sa haine qui malgré tout s’estompe de jours en jours : Élisabeth. Elle l’a quitté le jour où il a vendu la ferme, faute de moyens financiers pour courir dans les bras de ce « charmant monsieur, riche et aimant ». Jean à soixante-quatorze ans. Il vit seul depuis trente-six ans dans une ennuyante routine bien que Marie-Claude soit fort sympathique. Il perd de jour en jour l’envie de sortir.

Il est 7h, le réveil de Jean sonne. Comme à son habitude, il se lève. Ce matin de 24 juillet est ensoleillé. Il est de bonne humeur, prend son petit déjeuner sur la terrasse du jardin, vue sur les champs. En rentrant, il allume la télévision et aperçoit à la « Une », l’agression d’une boulangère de la Somme. Tout à coup, il est saisi d’une grande stupéfaction. On aperçoit une devanture de boulangerie éventrés par un poids lourd. Jean n’en revient pas et se demande où cela a-t-il bien pu se produire jusqu’au moment où il reconnaît la boulangerie de Marie-Claude. Seulement le son est coupé car la veille il l’avait baissé au minimum pour faire sa sieste et la télécommande est introuvable. Il cherche pendant quelques minutes et l’on change de sujet à la télévision. Jean s’agace devant la grève SNCF. Il se résout, plein d’effroi à prendre son vélo pour avoir le cœur net à propos de cette boulangerie accidenté. Il se rend tout naturellement chez sa voisine mais celle-ci doit encore dormir sans ses appareils auditifs, pas de réponse. Il poursuit vers le jeune couple au bout de la rue. Jean se rappelle que ce sont les seuls non retraités d’Aubvillers quand personne ne lui répond.

Il arrive enfin, épuisé, au bistrot du village, descends précipitamment de son vélo et trébuche sur la bordure avant de tomber en avant, la tête droit vers les rails de rangement à vélo. Marcel sort du bistrot, il a entendu le bruit d’un vélo tomber. Il découvre Jean gisant au sol, la tête ensanglantée. On prévient les urgences aussitôt et vingt minutes après les voilà enfin. On embarque Jean devant la foule rassemblée dans le bistrot et on l’emmène à Moreuil. C’est le seul hôpital du secteur. Il y reste six jours dans un profond sommeil puis enfin il se réveille, Marcel à son chevet avec une bouteille de rouge à la main.

Nous sommes le 11 août. Lors de sa chute, il s’est fait plusieurs fractures dont une à la hanche qui l’oblige à rester dans son lit sous peine d’une très lente guérison. Depuis ce matin, Jean a retrouvé ses esprits. Il apprend que cela faisait plusieurs jours qu’il était dans le coma. Il est tout bouleversé, le médecin le laisse seul dans sa chambre au premier étage. Il ne voit qu’un ciel gris et quelques oiseaux, mais n’aperçois aucuns arbres. Tout à coup il se demande ce qu’il fait là, dans cette petite chambre blanche et se rappelle soudain tout, de l’accident, du bistrot et… de Marie Claude. Aussitôt, il appuie sur le bouton afin d’appeler une infirmière. Elle arrive peu de temps après. Il lui demande de parler à une certaine Marie Claude. Elle lui répond qu’elle retourne se renseigner et qu’il doit rester dans son lit. Jean se résigne à attendre. Le soir venu, il n’a toujours pas de nouvelles et saisi de fatigue, s’endort. Le lendemain matin, dès qu’on vient chercher son plateau de petit déjeuner, inspire un grand coup et se hisse sur le fauteuil roulant disposé à côté de son lit. Il pousse un cri de douleur mais se rassure car personne ne l’entendit. Il ouvre discrètement la porte, regarde à droite, à gauche…personne. Il avance dans le couloir et soudain : « eh, vous là bas ! Que faîtes vous ? ». Un médecin se rapproche. Jean fond en larmes et explique qu’il cherchait une amie, Marie Claude. Le médecin lui répond : « Ah ! Mais elle n’est plus ici, elle est sortie il y a quelques jours, sa boulangerie est en travaux, elle réouvre demain. Jean n’en revient pas, il se met à sangloter si fort que le médecin le prend dans ses bras. Jean lui explique qu’il la cherchait et que c’était une très ancienne amie à lui. Le médecin réfléchit et lui répond avec un grand sourire : « Demain, si vous le désirez nous irons la voir pour la réouverture de sa boulangerie ! ». À ces mots, Jean ne dormit pas de la nuit et le lendemain enfila ses plus beaux habits que la voisine lui avait apporté. Après quelques minutes de voiture on arriva devant la boulangerie. Une petite foule était rassemblée, il descendit se faufila entre les habitants. Il parvint tout devant et tomba nez à nez devant Marie-Claude, en pleine forme joyeuse et ignorante de toute l’histoire qui avait vécu Jean.                                                              Comme Jean ne pouvait plus faire de vélo, Marie-Claude lui amena son pain chaque matin autour d’un café avant de poursuivre sa tournée dans Aubvillers. Jean vécu encore plusieurs années avant de s’endormir un matin d’été comme il en rêvait, sans souffrir et la conscience tranquille.

par Anatole Rigaux, sde 4

JASA’MAG n°2

Le comité de rédaction de Jasa’Mag avec ses 8 collégiens vous présentent
leur 2ème numéro de JASA’MAG !!!

           Grace-Aurielle, Hortense, Clara, Louis F., Lucas, Louis C., Aaron, il manque Elias

Jasa’Mag_numéro 2

Cet atelier animé par Mme Damon, professeur documentaliste au CDI du lycée, a lieu environ deux fois par mois en salle informatique.

Suivez-nous de près, 3 autres numéros sont prévus d’ici fin juin :)

Partez en Grèce cette semaine

Partez en Grèce lors la SEMAINE grecque au Théâtre de Fontainebleau !
De nombreux événements Affiche Semaine Grèce
dont  trois évènements en particulier :
-la soirée du mardi 2 avril à 18h  pour aller découvrir les expositions et également assister à des propositions chorégraphiques, chantées et jouées d’élèves de la ville ;
-la soirée du mercredi 3 avril à 20h30, spectacle discussion/philo pour tous par Dominique Paquet qui anime la soirée  ;
-la soirée du jeudi 4 avril qui démarre à 19h avec une dégustation de vins Grecs ! Et qui s’enchaine avec un concert à 20h30 donné par Katerina Vlahou et ses musiciens, artistes généreux !
Quatre artistes photographes, peintres et aquarellistes qui exposeront salle du Hall Tavernier.
Les élèves de seconde Arts Visuels de JASA exposent lors de cette semaine  au théâtre de Fontainebleau !!!
Travail en collaboration avec les professeurs d’arts plastiques, d’histoire, de mathématiques, de français et le professeur-documentaliste.
Transmis par AK, sde