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« Fake news » : quel risque pour le citoyen ?

A titre indicatif, cet article se veut être accessible, complet et instructif afin que tout individu appréhende l’ère de la désinformation avec sérénité.

« Fake news » : quel risque pour le citoyen ?

Les « fake news » ont pour grave conséquence de perturber l’individu dans sa vie courante et son rôle de citoyen. Bien que les experts et journalistes pointent du doigt ce danger, les moyens de défense utilisés s’avèrent être moyennement efficaces. En outre, c’est à nous seuls de nous armer pour faire face à la désinformation.

Il suffit de dérouler le fil de l’actualité de n’importe quel réseau social pour trouver des informations fausses. Dans un objectif politique ou lucratif, les « fake news » ne sont pas nouvelles ; à toute époque des personnes diffusent des rumeurs. Ce qui change est l’intensité de la diffusion d’informations, devenue exponentielle avec l’émergence d’Internet et des réseaux sociaux. Une étude à l’université d’Oxford, menée par Madame Bradshaw, met en évidence l’ampleur du partage de fausses informations au Michigan (Etats-Unis). Du 1er au 11 novembre 2016, dans cet état américain, une information sur deux, dans les messages sur Twitter en rapport aux élections, se révèle être issue d’un site suspect et en grande partie fausse. Selon l’Institut Reuters, 51% des Américains s’informent par l’intermédiaire des réseaux sociaux. Ainsi, le risque d’être victime de propagande est considérable.

La diffusion de fausses informations tend surtout à changer l’opinion et représente un danger pour notre liberté de pensée, la vérité étant altérée. Notre réflexion se basant sur les faits, si ceux-ci sont faux comment alors nos décisions pourraient-elles être justes ? Il n’est d’ailleurs pas nouveau de voir la propagande employée pour nous manipuler, mais ce qui est étonnant c’est que les auteurs des « fake news » agissent dans l’ombre à l’échelle mondiale. Les fausses informations s’immiscent notamment dans les élections et dans les arguments des politiciens, comme aux Etats-Unis. Trump a proféré pendant les six premiers mois de sa législature 115 mensonges (selon The New York Times). Mais c’est surtout l’affaire russe, l’impliquant dans le prétendu truquage des élections présidentielles, qui impacte fortement son mandat.

Sur Internet, l’aigle noir de l’obscurantisme plane au-dessus de nos têtes, toujours prêt à nous aveugler. Alors comment lutter pour anéantir la fausse information ?
Premier point : il y aura toujours un certain taux d’informations fausses. Il est en effet absurde de rêver supprimer toutes les mauvaises informations sur Internet, le nombre de bots (robots conversationnels) et d’algorithmes impliqués étant incalculable. Mais on peut abaisser ce taux avec des vérifications sur les réseaux sociaux. Facebook a par exemple renforcé sa politique de sécurité par la surveillance des agissements suspects, comme les messages répétitifs, et la suppression de comptes. Il s’agit de détecter les faux comptes car ils «?n’appliquent pas ce modèle [d’agir convenablement] et sont étroitement liés à la création et à la propagation de spams?» explique Shabnam Shaik, membre de l’équipe de sécurité de Facebook.
Deuxième point : il faut faire la part entre une exagération flagrante et une information fausse. Les médias commettent en effet parfois des erreurs et certains se cachent derrière le droit à la satire.
Troisième point : l’excès d’informations tue l’information. Selon une étude récente, la probabilité pour que nous diffusions des informations fausses s’accroît lorsque nous sommes assaillis par une multitude de nouvelles informations, car « nous sommes incapables de voir l’éventail complet des arguments potentiels ou des aspects d’une information » analyse Brian Uzzi, directeur d’un institut des systèmes complexes (de Northwestern d’Evanston).

Par ailleurs, l’information fausse se diffuse à une telle vitesse qu’il est souvent trop tard avant sa suppression. Mark Twain disait « Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures ». L ‘ironie de la situation est que cette phrase n’a pas été écrite par lui. Il est cependant vrai que l’information fausse se propageant aussi vite qu’un virus est difficilement stoppée. En septembre 2017, l’information qu’Erdogan a conclu un accord avec l’Israël, pour déplacer de ce pays vers la Turquie 200 000 Kurdes, est fausse. Elle visait en réalité à attiser l’antisémitisme des musulmans contre les Israéliens. De plus, dénoncer une « fake news » lui donne une importance non voulue, ce qui mène à une impasse. «La vérification des faits est dans l’ADN du journalisme mais il s’agit de publier du faux pour le démentir» nuance Pascal Froissart, un chercheur et maître conférencier à l’université de Paris VIII.

En outre, le développement des hackers et la viralité des informations fausses, malgré le perfectionnement des moyens de défense, rendent incertain et contrasté le devenir des « fake news ».

La libre circulation des fausses informations nous laissent aussi seuls en proie à la désinformation, à l’obscurantisme, à un néant de vérité. Si nos pensées sont trompées, à quoi se résume notre liberté de vote ? Et alors quel avenir pour la démocratie si nous, citoyens, sommes bercés dans de fausses informations ? Il devient donc d’autant plus nécessaire de former le citoyen à la vigilance et à l’esprit critique. Vérifions l’information quand sa source nous est méconnue ou suspecte, et ne diffusons pas l’information sans réfléchir, car nous ne la rendrons que plus crédible aux yeux des autres et en serions complices. Lorsqu’une information est beaucoup partagée, nous lui accordons davantage d’importance, car « être en groupe nous rend moins enclins à vérifier les faits » explique la Harvard Business Review. Par ailleurs, le Web confère à l’individu le pouvoir de rédiger et de diffuser publiquement ses propos. Il est tenu comme responsable de l’information qu’il publie et se doit de vérifier ses sources. Si l’information démontre même faussement une idée en adéquation avec notre opinion, elle a alors de fortes chances de nous plaire. Les fausses informations jouent sur nos émotions. Aux Etats-Unis, le terme « fake news » est un terme à la mode ayant pris peu à peu le sens de « presse à mensonge », ciblant l’information qui nous déplaît. Le citoyen doit choisir s’il préfère un monde d’émotion, où les nouvelles même fausses se doivent de faire sensation en nous plaisant, ou bien de rester dans les faits véritables qui sont la base de notre démocratie actuelle.

Dans son ouvrage Post truth : the New War on Truth and How to fight Back, le journaliste anglais Matthew d’Ancona met en garde contre   « l’infantilisation du citoyen ». Pour lutter il propose d’« apprendre à utiliser le Web de façon intelligente et avertie » car trop de gens utilisent le web « à des fins très éloignées de ce que nous décrivons : pour savoir ce qu’il y a à la télé, pour acheter quelque chose sur Amazon » constate-il. Or plus l’apprentissage se fait tôt et plus il est efficace. Il s’agit en réalité de lutter contre la désinformation accrue des jeunes. Comme le précisait l’ancienne ministre de l’Education Najat Vallaud-Belkacem en 2015 sur RTL « Alors qu’il y a vingt ou trente ans, 90% de ce qu’apprenait un élève provenait de ses parents ou de l’école, aujourd’hui la proportion s’est inversée. Le reste vient d’Internet et de la télévision ».

Même si l’on parvenait à former des citoyens capables de dissocier le vrai du faux, les « fake news » ne disparaîtraient pas pour autant. Elles font partie d’un phénomène social humain et ont toujours existé. Il nous faut apprendre à les détecter et les remettre à leur place en les reconnaissant pour ce qu’elles sont : un outil de manipulation de la pensée et de la société dixit Matthew d’Ancona.

Hugo, terminale

Le sida : cette maladie qui sévit toujours

Depuis sa découverte au début des années 1980 en Amérique du Nord, le sida touche le monde entier et il a causé malheureusement plus de 36 millions de décès

                                                                                                                                                                                   Le sida (Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise) est une maladie infectieuse et contagieuse transmissible par voie sexuelle ou sanguine. Elle provoque la diminution ou la disparition des réactions immunitaires de l’organisme et elle est causée par un virus appelé VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine).

Conséquences :                                                                                                                                                                                                    Le VIH entraîne une multiplication de « cellules intrus », ce qui va créer une incapacité du corps au niveau immunitaire, il ne va donc plus être capable de combattre les infections (exemple : le cancer).

Les symptômes (qui apparaissent entre 2 et 12 semaines après la contamination) :                                                                                    – diarrhée                                                                                                                                         – fatigue (maux de tête)                                                                                                                – fièvre                                                                                                                                               – douleurs articulaires                                                                                                                   – éruption cutanée                                                                                                                         – augmentation du volume des ganglions (en dessous de la gorge)                                     – perte de poids.

Il est nécessaire de réaliser un test de séropositivité au VIH, et c’est celui-ci qui révélera ou pas la présence du virus dans le sang (c’est une démarche volontaire et si la personne le souhaite, anonyme. Les résultats resteront confidentiels). Parfois la maladie n’évolue pas, ne se développe pas avant des années.

Si une personne est atteinte, il faut prendre des médicaments (comme des antibiotiques, antiviraux et antifongiques ) et surtout prévenir les partenaires sexuels (passés, actuels et futurs) pour leur éviter de contracter le VIH.

Aujourd’hui de nombreux chercheurs essayent de trouver un « remède » à cette maladie qui touche tant de personnes et l’association Sidaction lutte contre le VIH/sida et finance une partie des programmes de recherche.  

            Espérons que les générations actuelles ou celles à venir trouveront la solution à ce problème mondial.

Margot

 

 

 

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Qu’est-ce-que l’accord réserve à la Grèce ?

Voici l’émission du 15 juillet dernier, au sommaire :

  • Un premier journal

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2ytjf9_emission-de-webradio-du-15-juillet-2015-le-journal-de-12h30_news[/dailymotion]

  • Le billet de Natacha à propos de l’intégration des homosexuels dans la société
  • Les carnets de la politique de Raphaël dans lesquels on revient sur l’interview présidentielle

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2ytjgs_emission-de-webradio-du-15-juillet-2015-le-billet-de-natacha-et-les-carnets-de-la-politique-de-rapha_news[/dailymotion]

  • Un second journal

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2ytjiw_emission-de-webradio-du-15-juillet-2015-le-journal-de-13h_news[/dailymotion]

  • Le Grand Bazar de  l’été

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2ytjku_emission-de-webradio-du-15-juillet-2015-le-grand-bazar-de-l-ete_fun[/dailymotion]

Six mois après les attentats de « Charlie », que reste-t-il de la liberté d’expression ?

Les émissions de l’été continuent avec celle du 8 juillet dans laquelle vous retrouverez :

  • Un premier journal
  • Le billet satirique, humoristique et agacé d’Arnaud autour de la question de l’écologie

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2xffxq_emission-de-webradio-du-8-juillet-2015-le-journal-de-14h-et-le-billet-d-arnaud_news[/dailymotion]

  • Les Grands Débats de Jas’Actu à propos de la question de la liberté d’expression 6 mois après les attentats de Charlie Hebdo

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2xgg9y_emission-de-webradio-du-8-juillet-2015-les-grands-debats-de-jas-actu_news[/dailymotion]

  • Un second journal

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2xgobf_emission-de-webradio-du-8-juillet-2015-le-journal-de-15h_news[/dailymotion]

  • Et enfin : le « grand bazar de l’été »

[youtube]https://youtu.be/ne6nOA8XfEA[/youtube]

La dernière de 2014 : on prépare 2015

Aujourd’hui, c’est la dernière de l’année 2014, donc, nous préparons en douceur 2015 avec ce qui vous attend pour la fin de l’année et celle à venir.

N’oublions pas le Grand journal pour vous rappeler ce qu’il nous est arrivé depuis notre précédente émission. Également au programme : les Carnets de la politique à propos de Nicolas Sarkozy, et un billet sur un youtuber bien connu ayant retiré les commentaires de ses vidéos, donc, la question de la liberté sur Internet.

Nous commençons par le journal :

L’édito et le billet :

Un peu de culture :

La suite avec Star Wars VII :

 

Nous attendons vos commentaires sur les sujets développés.

Raphaël

Changement d’heure : impact économique et société

Nuit du 25 au 26 octobre : changement d’heure !

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Nous sommes passés à l’heure d’hiver. L’heure d’hiver signifie un retour à la « normale » du fuseau horaire utilisé qui est le GMT+1 pour la France.

Un impact économique

Le changement d’heure est également utilisé pour économiser de l’énergie en été et en allongeant les journées qui deviennent ainsi plus longues l’été. Une étude en 2009 de l’agence de l’environnement a ainsi démontré que pendant l’été, la consommation d’électricité était en hausse le matin entre 5 et 6 heures tandis que le soir la consommation était beaucoup moins importante, principalement entre 20 et 21 heures du soir.
Ce qui implique une économie le soir pour les foyers qui payent le matin mais finissent par économiser le soir.

Un impact sur la santé

Fin 2008, une étude suédoise démontrait une augmentation de crise cardiaque dans la semaine du changement d’heure en s’appuyant sur des résultats entre 1987 et 2006. Le monde médical reste très sceptique concernant cette étude bien que 19% des médecins signalèrent une augmentation de consommation de tranquillisant dans la semaine du changement d’heure.
Un impact sur la circulation a aussi été décelé, durant l’année 1976, une étude a montré une augmentation d’accident de circulation après le changement d’heure en été. Ainsi 661 morts ont été décelés lors de cet été. Mais cette étude se montre peu convaincante.

La Russie, qui elle avait décidé d’arrêter le changement d’heure et de continuer sur l’heure d’hiver tout le long de l’année, a décelé une hausse d’accident de la route, et d’après des rapports médicaux, créerait des problème de stress et de santé chez les populations vivant au nord, là où les journées peuvent rester noires pendant l’hiver.
Actuellement, 70 pays changent d’heure 2 fois par an (été et hiver). En Europe, le changement d’heure est global et harmonisé pour ne pas troubler le transport routier.

Source : Lemonde.fr

François

Quelle intégration pour les handicapés mentaux ?

La mauvaise intégration des handicapés mentaux



Il existe plusieurs handicaps mentaux tels que la trisomie, l’autisme ou encore le syndrome d’Angelman.

On parle de plus en plus des deux premiers, pourtant, ils sont souvent méconnus. Combien de fois un autiste ou un trisomique aperçu dans la rue s’est fait traiter de débile ? Leurs parents de «mauvais parents» ? Le problème principal de ces personnes (les handicapés mentaux) est que leur cerveau fonctionne différemment du nôtre, ils sont donc la plupart du temps incompris, isolés et même rabaissés. Comme si leur différence n’était pas assez lourde à porter, il faut en plus que les gens les rejettent ! Ce qui est dur pour les parents, ce n’est pas vraiment le handicap : leur enfant est juste différent des autres et ils l’aiment comme il est.

Non, ce qui est difficile pour les familles, c’est le manque de progrès dans le domaine du handicap (par exemple, la France est (avec l’Argentine) le pays ayant fait le moins d’avancées concernant l’autisme) ainsi que les administrations ; sans compter les jugements extérieurs. Beaucoup d’enseignants «spécialisés» présents dans les IME sont en fait des enseignants pour enfants dits «normaux» qui n’ont pas réussi à trouver de travail dans les établissements scolaires et qui se rabattent sur cette filière.

Il y a tout de même des choses positives, comme certains IMEs (Instituts Médicaux Educatif spécialisés dans l’éducatif) ou encore les CLIS et ULIS (Classe Localisée Inclusion Scolaire et Unité Localisée Inclusion Scolaire qui permettent l’intégration d’enfants handicapés dans des établissements normaux). Il est important de savoir que ces enfants suivent le même programme scolaire que nous, même s’il est adapté en fonction de leurs difficultés. Car oui, ces gens trop souvent pris pour des inférieurs sont tout à fait capable d’étudier, et la plupart du temps, sont bien plus intelligents que la normale.

Même si les mentalités évoluent peu à peu, encore beaucoup de personnes handicapées sont discriminées et leur manque de méchanceté les empêche de se défendre. Il appartient donc aux citoyens de réagir lorsqu’une telle chose se produit.

Natacha, élève de seconde

Le bien-être français…

L’OCDE publie son nouvel index du «vivre mieux», bâti sur onze critères. L’Hexagone enregistre les meilleures performances sur le patrimoine, la qualité du logement et l’environnement.

Article lu dans le Figaro :

 http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/05/06/20002-20140506ARTFIG00213-le-bien-etre-des-francais-resiste-a-la-crise.php

« Les raisons de broyer du noir dans l’Hexagone ne manquent pas. Une crise qui s’éternise, un chômage qui ne s’inverse pas, une météo chaotique… Pourtant, à en croire l’OCDE, les Français ne sont pas si mécontents de leur sort. «Comparé aux autres pays, la France obtient de bons résultats dans plusieurs des dimensions retenues pour mesurer le bien-être des populations», souligne l’Organisation internationale, qui publie la nouvelle édition de son Better Life Index.

Ce classement interactif combine onze critères qui s’appuient pour les uns sur des résultats statistiques, par exemple l’emploi ou les revenus, pour les autres sur des appréciations subjectives, notamment les liens sociaux, l’état de santé et le degré de satisfaction.

Vie professionnelle et vie privée

La France affiche les meilleures performances sur le revenu et le patrimoine, la qualité du logement et de l’environnement, où elle arrive en 11e position sur 36 pays. Malgré les pics de pollution de plus en plus fréquents, la qualité de l’air de l’Hexagone reste parmi les meilleures, au 4e rang derrière l’Estonie, la Suède et la Nouvelle-Zélande.

Autre bon point, les Français réussissent plutôt bien à combiner vie professionnelle et vie privée. La France se situe à la 12e place. Mieux, elle se hisse à la 7e place pour ce qui est de la gestion du temps libre, une de moins toutefois que l’an dernier. Les Français comme leurs voisins allemands consacrent en moyenne 15,3 heures par jour aux loisirs et aux occupations personnelles.

Mauvaise note sur l’éducation et la sécurité

Là où le bât blesse, c’est sur l’éducation et la sécurité, deux thèmes chers aux Français. L’OCDE combine les années de scolarité, les compétences des élèves et le niveau d’instruction pour, au final, une 27e place peu glorieuse. Le résultat n’est guère plus brillant sur la sécurité – 26e -, qui tient compte du nombre d’homicides et d’agressions.

Enfin, à la question subjective du degré de satisfaction sur son existence, les Français l’évaluent à 6,7 sur une échelle de 0 à 10 contre 6,6 pour la moyenne de l’OCDE. L’Europe du Nord fait figure avec la Suisse de véritable eldorado. Les Helvètes, les Norvégiens et les Danois se disent les plus heureux, à l’inverse des Hongrois, des Turcs et des Grecs, qui s’avèrent les plus «malheureux» du classement. Le résultat n’est pas surprenant pour la Grèce, qui a subi une cure d’austérité historique. Au final, tous indices confondus, la France termine au 18e rang, une position stable par rapport à 2013. En consultant le site, l’internaute peut établir son propre classement en donnant plus ou moins de poids à tel ou tel critère. »

Hollande un an après… mais

Nous n’allons pas nous livrer à l’exercice du bilan d’une année de présidence Hollande, c’est inutile. Hollande a fait des choses pendant un an, pas seulement le « mariage pour tous », hé oui il a fait bien plus de choses ; mais, comment être François Hollande président normal lorsqu’avant vous il y avait Nicolas Sarkozy.

Hollande un an après… mais

Raphaël