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Le Ponte Vecchio

Le ponte Vecchio est  le plus ancien pont de Florence, construit en 1333 il est l’un des dix seuls pont à traverser l’Arno. À son ouverture il servait aux bouchers et aux poissonniers qui l’habitait à ce débarrasser de leurs déchets. Ils furent alors remplacés par des bijoutiers et des orfèvres. En 1917 il fut reconstruit car il tombait en ruines. Situé juste à côté du Musée des Offices, les couloirs qui le formait servaient à Côme Ier de se déplacer jusqu’au Palazzo Vecchio.

Luane Metura

 

Nous avons visité le musée Galileo de Florence , ce musée est destiné au   scientifique Galilée . Dans ce musée il y a tout les création de Galilée qui a révolutionner le domaine de l’astronomie en parti . Pour ma part j’ai beaucoup aimer se musée car ces inventions ont tous une histoire particulière et que une seule personne a beaucoup fait pour l’humanité . J’ai beaucoup aimé l’organisation du musée car chaque pièce a sa spécialité et cela nous permet de apprendre plus au fur et mesure de chaque pièce . L’astronomie est l’un des domaines principale mais il y a aussi des objets de tout les jours qui ont révolutionner le monde et cela touche tout type de passions en liens avec la conception .

 

 

 

 

 

Le théâtre de la Pergola porte ce nom car dans la rue éponyme se trouvait une pergola. Ce théâtre fut construit en 1656 par l’architecte Tacca totalement en bois ce qui a donné lieu a l’installation un dispositifs anti-incendie qui utilisait des grandes jarres remplies d’eau disséminé sur toute la salle qui en se retournant permet d’arroser les brasier. Le théâtre fut construit sur un ancien atelier de travailleur de laine car pour travaillé la laine il faut de l’eau et donc le système incendie pouvait être irrigué par les canaux souterrain. Dans ce théâtre le plafond, où se situ les techniciens responsable des décors, est très haut donc pour communiquer ils utilisaient un système de tuyau dans les pilier du théâtre afin de chuchoter pour ne pas déranger la pièce de théâtre en cours tout en se faisant entendre jusque au sommet du théâtre.

 : Entrée du théâtre 

 

 Voyage en Toscane

Article du voyage en Toscane : Sujet : Le musée Puccini à Lucques

Après quelques jours de visites sur différents lieux toscans, notre groupe est allé visiter le musée Puccini dans le charmant village de Lucques, le village originaire de ce grand compositeur. Et j’aimerais aujourd’hui intervenir à froid sur la visite de ce musée, qui fût une de mes visites préférées durant ce voyage hors de nos frontières et de notre cadre de vie habituel et à la découvertes de celui de Puccini en autres. Je garde un très bon souvenir de cette visite guidée, en effet l’ambiance assez confinée et intime relative à la vie de Puccini dans son entièreté m’a permis une immersion incomparable dans sa vie.

En ces lieux, j’ai appris les grandes lignes et de petits détails de la vie de Puccini, de sa naissance, en passant par ses premiers succès jusqu’à sa mort. En effet, j’ai pu découvrir son premier piano, sa première machine à succès, son premier outil à merveilles. Et c’est maintenant que j’aimerais revenir sur l’immersion totale constatée dans ce musée, ici le premier instrument de Puccini n’était pas incomplet, derrière une vitre, ni surprotéger, on avait l’objet en face de nous, en vraie grandeur, on pouvait si facilement s’imaginer Puccini jouer, inventer, innover, composer sur cet instrument qui à traversé presque trois siècle sans sourciller et sans prendre une moindre ride. Sûrement grâce à sa conservation brillamment effectuée.

 

Après avoir été si intrigué par ce piano pas comme les autres, je suis tombé sur des lettres rédigées de la main de Puccini, qui je citerais comme hors du commun. De « grandes lettres », en effet certaines étaient destinées à Wagner, une autre figure emblématique musicalement parlant à cette époque. J’ai trouvé très intéressant d’analyser l’écriture de Puccini d’un point de vue graphologique. Ce dernier aura eu un coup de stylo très affûté, et je n’ose pas imaginer la réaction du bien heureux destinataire de ces lettres. Des lettres portant la plupart du temps des messages assez simples, assez basiques, assez typiques mais écrits de la main de Giacomo Puccini en personne !

Un dernier groupe d’objets hors du commun, je veux parler d’objets portés par des Soprani, par des femmes de spectacle, je veux bien sûr parler des robes portées lors des opéras les plus impériaux et majestueux de Puccini. Des objets qui je pense que nous pouvons qualifier d’oeuvre d’art, des pièces de hautes couture impressionnantes, des vêtements de scène devenus célèbres et admirés par le public de Puccini. Ces robes sont également imposantes au niveau de leur taille, une robe de mariée passerait inaperçue à côté de ces chefs d’oeuvre.

Dans ce musée, j’ai de plus beaucoup apprécié la chambre de jeunesse de Puccini, bien plus petite que ce que j’aurais imaginé avant la visite. Les partitions de musiques « brouillons » de l’artiste ont également été sources de questions pour moi. Heureusement que Mr Jacquot est venu nous secourir avec ses explications, la guide elle même redécouvrait ses papiers qui sortent de ce qu’on voit habituellement. Beaucoup d’autres points des lieux m’ont intéressés, mais il va bien falloir que je m’arrête à un moment donné…

 

Victor Py 3°2

Se que j’ai aimer visiter le plus pendant le voyage en Toscane, c’est d’aller visiter la maison natale de Puccini, et Pise. Tout d’abord pourquoi Puccini pour la simple et bonne raison que d’aller voire ces partitions de mes propre yeux, de voir son piano, ces meubles… C’est juste extraordinaire d’avoir été dans son cocon où il a vécu pendant son existence. Ensuite pourquoi Pise car c’était un rêve d’aller visiter cette fameuse tours penchée et de l’avoir vue en vrai c’est juste magique. De connaître l’histoire de cette fameuse tours penchée étais vraiment intéressant.
Voilà mes deux endroits préférés pendant ce voyage.

Galilée est né à Pise en 1564.  Scientifique, mathématicien, physicien et astronome, il meurt le 8 janvier 1642.

Doté d’une grande vivacité d’esprit, il cherche sans relâche à améliorer ses techniques d’observation. La ville de Florence lui a d’ailleurs consacré un musée dans lequel nous pouvons retrouver ses instruments d’observation, comme la lunette astronomique qui servit à Galilée à observer le ciel.  Grâce à cet instrument, il fait des découvertes comme aucun homme n’avait vu avant cela, comme les montagnes de la Lune, les phases de Vénus et la voie lactée formée de millions d’étoiles.

Galilée s’intéresse notamment à la physique, comme les lois de la chute des corps ou encore la résistance des matériaux.

A partir de 1623, il publie des ouvrages où il soutient les théories de Copernic. En affirmant que la Terre tourne autour du soleil, il fut condamné par l’église de son temps.

La visite du musée de Galilée était agréable car nous avions le temps de découvrir chaque pièce et chaque instrument exposé. La difficulté que nous avons rencontré est celle de la langue. En effet, chaque descriptif était écrit en italien. De plus, on se  sentait un peu perdu, car il y avait beaucoup d’objets dans une même salle, ce qui fait que nous ne savions plus où donner de la tête. Ce fut malgré tout très enrichissant.

 

Ce site est créé pour les classes de 3° du collège Pierre et Marie CURIE d’Héricourt qui travaillent sur le projet « le mouvement ».

L’aboutissement du travail annuel interdisciplinaire est un Voyage en Toscane en avril 2019

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