Agent « Littér’Andaines » : votre mission…

Dernière mise à jour : le 22/09/2011

Les rôles sont distribués. A présent il s’agit de les incarner.

Voici ce qui attend nos groupes :

1/ Descartes et la souveraineté du sujet / Paul et Titouan

 

Selon Descartes, le sujet peut être défini intégralement en terme de conscience. Nous serions maîtres de chacunes de nos pensées ; pour Descartes l’inconscient n’existe pas. Paul et Titouan devront ici développer ce que Descartes entend lorsqu’il écrit « Je pense donc je suis », citation souvent exprimée par un seul mot : le fameux « cogito ». Pour commencer, les élèves sont invités à parcourir un petit livre de Pimbé dont le titre est tout simplement Descartes. Et puis il faudra parcourir le début du fameux Discours de la méthode.

 

2/ Leibniz et les « petites perceptions » / Audrey et Lydie

 

Selon Leibniz il existe des « intermittences de la conscience », autrement dit des seuils au sein desquels nous ne nous apercevrions pas de ce que notre esprit perçoit. Si Leibniz ne parle pas encore d’ « inconscient » il utilise ici l’expression de « petites perceptions ». La lecture de ce petit texte pourra servir d’introduction à l’étude de la théorie de Leibniz :

« Il y a mille marques qui nous font juger qu’il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous, mais sans aperception et réflexion, c’est-à-dire des changements dans l’âme même dont nous ne nous apercevons pas, parce que ces impressions sont ou trop petites et en trop grand nombre, ou trop unies, en sorte qu’elles n’ont rien d’assez distinguant à part, mais, jointes à d’autres, elles ne laissent pas de faire leur effet et de se faire sentir au moins confusément dans l’assemblage.

C’est ainsi que la coutume fait que nous ne prenons pas garde au mouvement d’un moulin ou à une chute d’eau, quand nous avons habité tout auprès depuis quelque temps. Ce n’est pas que ce mouvement ne frappe toujours nos organes, et qu’il ne se passe encore quelque chose dans l’âme qui y réponde, à cause de l’harmonie de l’âme et du corps; mais les impressions qui sont dans l’âme et le corps, destituées des attraits de la nouveauté, ne sont pas assez fortes pour s’attirer notre attention et notre mémoire, qui ne s’attache qu’à des objets plus occupants. Toute attention demande de la mémoire, et quand nous ne sommes point avertis pour ainsi dire de prendre garde à quelques-unes de nos perceptions présentes, nous les laissons passer sans réflexion et même sans les remarquer. Mais si quelqu’un nous en avertit (…) et nous fait remarquer par exemple quelque bruit qu’on vient d’entendre, nous nous en souvenons et nous nous apercevons d’en avoir eu tantôt quelque sentiment. Ainsi, c’étaient des perceptions dont nous ne nous étions pas aperçus incontinent, l’aperception ne venant dans ce cas d’avertissement qu’après quelque intervalle, pour petit qu’il soit.

Leibniz, Nouveaux-Essais

 

3/ Freud et la psychanalyse : la théorie / Alexandre et Océane

 

A la fin du XIX Freud est un investigateur de notre appareil psychique d’un genre nouveau : il y découvre l’inconscient, entendu comme force, comme énergie, comme une fonction désirante et refoulée. Plus rien à voir avec les « petites perceptions de Leibniz »… Avec Freud l’inconscient est devenu cette pulsion, qui échappe à la vigilance de la conscience, et qui tend sans relâche à satisfaire un « principe de plaisir ». Pour clarifier ce qu’il en est de la structure de notre appareil psychique, Freud a élaboré une théorie psychanalytique qu’Alexandre et Océane devront développer au moyen de diverses définitions : les topiques freudiennes ( celle qui organise l’esprit en ça, moi et surmoi notamment ), les principes de réalité et de plaisir, le refoulement, la catharsis, etc…

 

 

 

4/ Freud et la psychanalyse : la pratique / Abygaël et Julie

La psychanalyse c’est aussi et surtout une pratique : car il s’agit toujours de libérer des patients de troubles psychiques. Freud a rendu célèbre la psychanalyse avec un divan, et les cures qu’il préconise pivotent autour de cérémonies rigoureuses qu’Abygaël et Julie devront décortiquer. Pour ce faire, le développement d’un exemple pourrait s’avérer fructueux ; on pensera sans doute au cas de Anna O. Quelles sont donc les méthodes thérapeutiques envisagées par Freud ?

 

5/ Freud et les stades de l’enfance / Ashley et Lise

 

Le déterminisme psychique inconscient est particulièrement évident dans la petite enfance. L’enfant se croit libre, mais selon Freud il obéirait à un destin inconscient dont il n’a pas clairement conscience. Surtout ce seraient des pulsions « sexuelles » qui structureraient une grande partie de son quotidien. Freud, en observateur attentif, pense avoir pu dégager trois grandes étapes dans le parcours de notre vie d’enfant… des étapes cruciales qui devraient organiser toute notre identité à venir. Les stades oral, anal, de castration et d’Œdipe se présentent à notre psychanalyste comme nécessaires et universelles. Ashley et Lise ont pour tâches de les définir, et de montrer en quoi leur résolution peut parfois engendrer des troubles psychiques.

6/ Freud et la religion comme pathologie / Camille et Dominick

 

La religion, une névrose obsessionnelle issue de complexe d’Œdipe ? C’est en tout cas ce que pensait Freud… Mais comment notre psychanalyste est-il parvenu à relier la croyance religieuse à un simple complexe de notre enfance ? Et comment prétendre que ce malaise inconscient – et donc individuel – puisse être étendu à l’humanité toute entière ? Camille et Dominick pourront ici lire avec profit deux  ouvrages de Freud : Totem et Tabou et L’homme Moïse et la religion monothéiste.

 

7/ Freud : une révolution scientifique  / Clothilde et Sindy

 

Lorsque Freud affirme que « le moi n’est pas maître dans sa propre maison » il réalise une révolution scientifique sans précédent. Le cartésianisme qui avait régné en maître se dissout inexorablement et le sujet cesse d’être transparent à lui-même. Avec Freud c’est aussi l’unité qui se brise. Voilà une nouvelle blessure pour l’orgueil humain : l’homme est obscur à lui-même. Une lecture minutieuse de deux petits textes de Freud soutiendra les travaux de Clothilde et de Sindy :

 

a/ On nous conteste de tous côtés le droit d’admettre un psychisme inconscient et de travailler scientifiquement sur cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et que nous possédons de multiples preuves de l’existence de l’inconscient. Elle est nécessaire, parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires; aussi bien chez l’homme sain que chez le malade, il se produit fréquemment des actes psychiques qui, pour être expliqués, présupposent d’autres actes qui, eux, ne bénéficient pas du témoignage de la conscience. Ces actes ne sont pas seulement les actes manqués et les rêves, chez l’homme sain, et tout ce qu’on appelle symptômes psychiques et phénomènes compulsionnels chez le malade; notre expérience quotidienne la plus personnelle nous met en présence d’idées qui nous viennent sans que nous en connaissions l’origine, et de résultats de pensée dont l’élaboration nous est demeurée cachée. Tous ces actes conscients demeurent incohérents et incompréhensibles si nous nous obstinons à prétendre qu’il faut bien percevoir par la conscience tout ce qui se passe en nous en fait d’actes psychiques; mais ils s’ordonnent dans un ensemble dont on peut montrer la cohérence, si nous interpolons les actes inconscients inférés. Or, nous trouvons dans ce gain de sens et de cohérence une raison, pleinement justifiée, d’aller au-delà de l’expérience immédiate. Et s’il s’avère de plus que nous pouvons fonder sur l’hypothèse de l’inconscient une pratique couronnée de succès, par laquelle nous influençons, conformément à un but donné, le cours des processus conscients, nous aurons acquis, avec ce succès, une preuve incontestable de l’existence de ce dont nous avons fait l’hypothèse.

Freud, Métapsychologie

 

 

b/ Dans le cours des siècles, la science a infligé à l’égoïsme naïf de l’huma­nité deux graves démentis. La première fois, ce fut lorsqu’elle a montré que la Terre, loin d’être le centre de l’univers, ne forme qu’une parcelle insignifiante du système cosmique dont nous pouvons à peine nous représenter la grandeur. Cette première démonstration se rattache pour nous au nom de Copernic, bien que la science alexandrine ait déjà annoncé quelque chose de semblable.

Le second démenti fut infligé à l’humanité par la recherche biologique, lorsqu’elle a réduit à rien les prétentions de l’homme à une place privilégiée dans l’ordre de la création, en établissant sa descendance du règne animal et en mon­trant l’indestructibilité de sa nature animale. Cette dernière révolution s’est accomplie de nos jours, à la suite des travaux de Ch. Darwin, de Wallace et de leurs prédécesseurs, travaux qui ont provoqué la résis­tance la plus acharnée des contemporains.

Un troisième démenti sera infligé à la mégalomanie humaine par la recherche psychologique de nos jours qui se propose de montrer au moi qu’il n’est seulement pas maître dans sa propre maison, qu’il en est réduit à se contenter de ren­seignements rares et fragmentaires sur ce qui se passe, en dehors de sa conscience, dans sa vie psychique.Les psychanalystes ne sont ni les pre­miers ni les seuls qui aient lancé cet appel à la modestie et au recueille­ment, mais c’est à eux que semble échoir la mission d’étendre cette manière de voir avec le plus d’ardeur et de produire à son appui des matériaux empruntés à l’expérience et accessibles à tous. D’où la levée générale de boucliers contre notre science, l’oubli de toutes les règles de politesse académique, le déchaînement d’une opposition qui secoue toutes les entraves d’une logique impartiale.

Freud, Introduction à la psychanalyse, 1916, chap. 18, PB Payot, 1970 p 266

 

 

8/ Jung : un inconscient collectif ? / Fann et Mathieu

 

Le freudisme faisait de l’inconscient une réalité individuelle, c’est-à-dire relative à chacun. Mais n’est-ce pas réducteur ? On doit à Jung une redéfinition du concept d’inconscient : une force plus impersonnelle, transpersonnelle même, disons « collective ».Selon Jung chacun d’entre nous est structuré par sa vie propre, bien entendu, mais aussi par une histoire universelle, qui est celle de l’imaginaire humain. Cette longue histoire nous amènerait à penser que «  nous ne sommes pas d’aujourd’hui ni d’hier ; nous sommes d’un âge immense. » Fann et Mathieu tenteront de comprendre comment une réalité collective qui transcende notre vie propre peut influer sur notre comportement.

Un petit texte pour commencer :

Nous rencontrons une couche psychique commune à tous les humains, faite chez tous de représentations similaires -qui se sont concrétisées au cours des âges dans les mythes- couche que j’ai appelé pour cela l’inconscient collectif. Celui-ci n’est pas le produit d’expériences individuelles; il nous est inné, au même titre que le cerveau différencié avec lequel nous venons au monde. Cela revient simplement à affirmer que notre structure psychique, de même que notre anatomie cérébrale, porte les traces phylogénétiques de sa lente et constante édification, qui s’est étendue sur des millions d’années. Nous naissons en quelque sorte dans un édifice immémorial que nous ressuscitons et qui repose sur des fondations millénaires. Nous avons parcouru toutes les étapes de l’échelle animale; notre corps en porte de nombreuses survivances: l’embryon humain présente, par exemple, encore des branchies; nous avons toute une série d’organes qui ne sont que des souvenirs ancestraux; nous sommes, dans notre plan d’organisation, segmentés comme des vers, dont nous possédons aussi le système nerveux sympathique. Ainsi, nous traînons en nous dans la structure de notre corps et de notre système nerveux toute notre histoire généalogique; cela est vrai aussi pour notre âme qui révèle également les traces de son passé et de son devenir ancestral. Théoriquement, nous pourrions reconstruire l’histoire de l’humanité en partant de notre complexion psychique, car tout ce qui exista une fois est encore présent et vivace en nous. Le sympathique est plus qu’un souvenir sentimental d’une existence paradisiaque; c’est un système existant et vivant en nous, qui continue de vivre, de fonctionner et de travailler, comme il faisait de temps immémorial. Dans la sphère psychique, l’inconscient collectif est fait d’un ensemble de survivances. »

Jung

9/ Le surréalisme : Breton / Océane et Suzon

Et si les découvertes freudiennes s’étendaient bien au-delà de la psychanalyse et touchaient aussi le travail de l’artiste ? Le mouvement surréaliste a voulu exploiter et prolonger les travaux de Freud jusqu’à en faire l’essence même du génie artistique. Pour André Breton l’art doit investiguer le domaine du rêve – donc de l’inconscient – par exemple au moyen de l’écriture automatique. Océane et Suzon liront Les Manifestes du surréalisme de Breton pour y repérer quel est l’hommage rendu à Freud. Et bien sûr elles expliqueront ce qu’est le surréalisme et quelles sont ses différentes branches (dadaïsme ?…) et ses divers enjeux (politiques…). Pour clarifier le tout des œuvres d’art seront présentées.

 

10/ L’inconscient et les neurosciences / Angèle et Marine

Identifier la pensée à des forces neuronales et physico-chimiques semble être l’un des fondements majeurs du XXIème siècle dans le domaine des sciences cognitives. Le spiritualisme cède le pas au matérialisme. Nous ne sommes que conscience, qu’une substance spirituelle, qu’une âme disait Descartes ; nous ne serions que matière répètent désormais des neuroscientifiques comme Jean-Pierre Changeux. Alors, aller jusqu’à considérer que l’inconscient ne serait que matière, est-ce contraire à la théorie freudienne ? Angèle et Marine devront non seulement expliquer ce qu’il faut entendre par « neuroscience » mais aussi voir en quoi le matérialisme pourrait avoir son mot à dire sur ce que nous appelons (à juste titre ?) l’inconscient.

 

11/ Les limites de la psychanalyse : Généralité / Florine et Laura

De nos jours la psychanalyse n’est plus considérée comme une science et comme une pratique indépassable. D’autres pratiques médicales prétendre pouvoir faire mieux que le psychanalyste, et au niveau théorique la psychanalyse rencontre des résistances qui en font une discipline molle, fragile, instable. On doit notamment à Karl Popper une critique percutante à toute la science psychanalytique. Florine et Laura devront comprendre ce que Popper veut dire quand il reproche à la psychanalyse de ne pouvoir accéder sereinement au statut de science du fait qu’elle ne présente pas comme un savoir irréfutable. Une théorie qui n’est pas critiquable ne saurait être une science à part entière selon notre épistémologue. Freud, un imposteur ? Jusqu’où nous mène la critique de Popper ? Jusqu’à un abandon sans réserve de la psychanalyse ? Et peut-on encore trouver au-delà des travaux de Popper d’autres reproches adressés à Freud ?

 

Un petit texte de Popper pour commencer :

J’avais remarqué que ceux de mes amis qui s’étaient faits les adeptes de Marx, Freud et Adler1 étaient sensibles à un certain nombre de traits communs aux trois théories, et tout particulièrement à leur pouvoir explicatif apparent. Celles-ci semblaient aptes à rendre compte de la quasi-totalité des phénomènes qui se produisaient dans leurs domaines d’attribution respectifs. L’étude de l’une quelconque de ces théories paraissait agir à la manière d’une conversion, d’une révélation intellectuelle, exposant aux regards une vérité neuve qui demeurait cachée pour ceux qui n’étaient pas encore initiés. Dès lors qu’on avait les yeux dessillés2, partout l’on apercevait des confirmations : l’univers abondait en vérifications de la théorie […] Les analystes freudiens insistaient sur le fait que leurs théories se trouvaient continuellement vérifiées par leurs « observations cliniques ». Quant à Adler, une expérience qu’il m’a été donné de faire m’a vivement marqué. Je lui rapportai, en 1919, un cas qui ne me semblait
pas particulièrement adlérien, mais qu’il n’eut aucune difficulté à analyser à l’aide de sa théorie des sentiments d’infériorité, sans même avoir vu l’enfant. Quelque peu choqué, je lui demandai comment il pouvait être si affirmatif. Il me répondit : « grâce aux mille facettes de mon expérience » ; alors je ne pus m’empêcher de rétorquer : « avec ce nouveau cas, je présume que votre expérience en comporte désormais mille et une… » Ce qui me préoccupait, c’était que ses observations antérieures risquaient de n’être pas plus fondées que cette nouvelle observation, que chacune d’elles avait été interprétée à la lumière de l’« expérience antérieure », mais comptait en même temps comme une confirmation supplémentaire. Que confirmait en réalité l’observation ? Rien de plus que le fait qu’un cas peut être interprété à la lumière de la théorie. Or je remarquai que cela n’avait pas grand sens, étant donné que tous les cas imaginables pouvaient recevoir une interprétation dans le cadre de la théorie adlérienne ou, tout aussi bien, dans le cadre freudien. J’illustrerai ceci à l’aide de deux exemples, très différents, de comportement : celui de quelqu’un qui pousse à l’eau un enfant dans l’intention de le noyer, et celui d’un individu qui ferait le sacrifice de sa vie pour tenter de sauver l’enfant. On peut rendre compte de ces deux cas, avec une égale facilité, en faisant appel à une explication de type freudien ou de type adlérien. Pour Freud, le premier individu souffre d’un refoulement (affectant, par exemple, l’une des composantes de son complexe d’Œdipe), tandis que, chez le second, la sublimation est réussie. Selon Adler, le premier souffre de sentiments d’infériorité (qui font peut-être naître en lui le besoin de se prouver à lui-même qu’il peut oser commettre un crime), tout comme le second (qui éprouve le besoin de se prouver qu’il ose sauver l’enfant). Je ne suis pas parvenu à trouver de comportement humain qui ne se laisse interpréter selon l’une et l’autre de ces théories. Or c’est précisément cette propriété – la théorie opérait dans tous les cas et se trouvait toujours confirmée – qui constituait, aux yeux des admirateurs de Freud et d’Adler, l’argument le plus convaincant en faveur de leurs théories. Et je commençais à soupçonner que cette force apparente représentait en réalité leur point faible.

Karl R. Popper (1902-1994), La Science : conjectures et réfutations, in Conjectures
et Réfutations
(1953).

 

12/ Actualité : Le crépuscule d’une idole, M. Onfray / Benjamin et Kévin

Le livre a fait le tour de tous les médias : Le  Crépuscule d’une idôle, De Michel Onfray. applaudit par certains, considéré comme brulot par d’autres, l’ouvrage du philosophe a déchainé des oppositions auxquelles on pouvait s’attendre. S’en prendre au dogme freudien n’est pourtant pas une nouveauté, mais c’est à chaque fois pareil : quand on s’en prend à Freud on jette à chaque fois un pavé dans la mare. Quels sont donc les arguments utilisés par Onfray ? Qu’est-ce qui a été reproché à ses arguments ? Bref : qu’en penser ? C’est à cette tâche très complexe – houleuse – que seront confrontés les courageux Benjamin et Kévin. Une tonne de commentaires les attend. Parce que nous manquons de recul sur cette affaire, ils tenteront de faire une synthèse de cette chaude actualité.

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