L’équipe de Littér’Andaines #3
Dans les prochains jours, bien d’autres photos de vos rédacteurs préférés… patience…
Florine et Laura travaillent sur les limites de la psychanalyse. Les recherches avancent bien, mais il manque encore un peu de documentation. Elles doivent trouver des commentaires sur Karl Popper pour comprendre en quoi la psychanalyse ne peut être une science car elle n’est pas réfutable. Pourquoi Popper prétend-il que le caractère de scientificité d’une théorie est sa réfutabilité ? A méditer…
Ashley et Lise parcourent les stades de l’enfance. Elles ont pris le problème à bras le corps et ont déjà saisi les grandes lignes de ces découvertes freudiennes. Mais les analyses sont loin d’être terminées : nos « stades de l’enfance » sont liés les uns avec les autres, se confondent parfois, et les théories du père Freud semblent demander beaucoup de prudence… Mais bravo les filles, vous fournissez pour le moment un très bon travail.
Paul et Titouan prennent manifestement beaucoup de plaisir à étudier la pensée cartésienne. Il faut dire que lire un philosophe qui a voulu prouver sa propre existence et celle de sa pensée, on ne voit pas ça tous les jours. Quoiqu’il en soit, ils doivent comprendre dans quelle mesure nous sommes maîtres de nos pensées : la conscience est le tout de l’âme ; l’inconscient ne serait rien pour descartes. Mais attention à ne pas vous laisser divertir par le diabolique Kévin : les méditations cartésiennes sont loin d’être aussi simples ; prenez le temps d’étudier ce que notre penseur écrit sur la question de la liberté humaine.
Océane et Suzon ne semblent pas confrontées au même problème que tout le monde : en ce qui les concerne elles ont trop de documents, trop à dire, trop à penser, bref elles se demandent déjà comment elles pourront réaliser leur article en seulement deux pages. Elles devront s’efforcer de bien synthétiser leur recherche sur le surréalisme et concentrer leur attention sur le rapport avec Freud.
Audrey et Lydie lisent Leibniz et sa célèbre doctrine des « petites perceptions ». A priori plus simple que Freud car seulement centrée sur des pensées faites « sans conscience » cette théorie est pourtant difficile à cerner, notamment parce que le style de Leibniz date de près de trois siècles… Face à ces lectures complexes nos rédactrices ne lachent rien : continuez ainsi !
Camille illuminée par la grâce divine et Dominick désormais converti à la lecture des pavés de 500 pages ? Et pourquoi pas ! Après tout rien n’est impossible pour ce binôme qui s’attaque à la religion… une névrose obsessionnelle selon Freud. Trois livres devront être évoqués : Totem et tabou ; L’avenir d’une illusion et Moïse et la religion monothéiste. Les recherches se poursuivent ; gare aux névroses, aux phobies, aux angoisses et autres crises d’hystéries mystiques au moment de la rédaction !
Fann et Mathieu travaillent sur l’idée d’un inconscient collectif, tel qu’il a notamment été conceptualisé par Jung. Pour l’heure c’est la notion d’archétype qui intrigue notre binôme. Les recherches doivent se poursuivre. Il faut prendre le temps de lire, de comprendre, de réfléchir : le thème va s’éclaircir dans les prochaines séances ! Nous attendrons encore quelques jours avant de voir Fann en photo : sa conscience et son inconscient ont réussi à échapper à l’objectif !
Clothilde et Sindy n’ont pas attendu un instant : elles ont immédiatement saisi le sens d’un texte de Freud sur la psychanalyse considérée comme véritable révolution scientifique. Elles ont déjà commencé à rédiger quelques lignes : Bravo. Mais il faudra encore comprendre pourquoi Freud estime que son hypothèse de l’inconscient est « nécessaire et légitime ». Bonne continuation !
Benjamin et Kévin ont choisi un sujet difficile :
la critique que Michel Onfray adresse à Freud. Ils projettent de rédiger l’article en deux parties : d’une part présenter la thèse de Onfray ; d’autre part évoquer ce que l’on peut reprocher à cette contestation. Le lecteur se fera lui-même son avis. Mais nos deux rédacteurs n’y voient pas encore très clair sur ce sujet un peu obscur ; il faudra ouvrir l’oeil, et le bon – laissons-leur du temps. Les recherches documentaires doivent se poursuivre sans relâche.
Alexandre et Océane étudient la psychanalyse de Freud dans ses grandes lignes théoriques. Objectifs principaux : dégager les significations des thèmes majeurs de la doctrine de Freud. Essentiellement ils devront donc nous présenter des définitions. Il ne faut pas hésiter à exploiter le dictionnaire de psychanalyse disponible au CDI ! Mais que ces deux élèves poursuivent ainsi : le travail est actif ; c’est bien !
Abygaël et Julie doivent rédiger un article sur la pratique freudienne, c’est-à-dire sur la méthode utilisée par le psychanalyste dans le traitement de ses patients. Le divan, la méthode des libres associations d’idées, etc… doivent attirer l’attention de nos rédactrices qui fournissent pour l’heure un travail sérieux. Poursuivez vos recherches documentaires pour bien comprendre à quoi ressemble dans les faits une cure ( = une catharsis ) psychanalytique.
Angèle et Marine travaillent sur les neurosciences et leur lien avec la question de l’inconscient. Les recherches sont attentives, c’est bien. En fin de séance notre binôme a trouvé un petit livre consacré à cette thématique : il faudra en faire un bon usage ! A définir, aussi : les mots « neurone » et « matérialisme ».
