Publié dans Concours de nouvelles

Erreur fatale, une histoire écrite par Elina, 4ème 1

Erreur fatale

une histoire écrite par Elina

Lydia Vercheze est mariée depuis trois ans à Tonio le patron de la mafia italienne locale. Celle-ci a soif d’aventures, elle n’a pas peur de prendre des risques, c’est une femmes forte. Lydia entretient une relation secrète avec Antonio le frère de son mari, cela est beaucoup plus qu’une relation adultère : ils s’aiment d’un amour fou. Ils ne peuvent pas vivre leur amour au grand jour car, si M. Vercheze l’apprend, cela peut conduire à leur perte. Épuisée de se cacher, Mme Vercheze décide donc d’assassiner son mari. Lydia est tellement amoureuse que, même commettre le meurtre de son propre mari, lui importe peu. Le soir-même, Lydia s’arme d’un calibre 50. Quand elle pointe le revolver sur son mari, celui-ci ne prend même pas la peine de se défendre, elle trouva cela encore plus étrange car Tonio a toujours une arme sur lui… mais, bon, après tout c’est un coup de chance !

La nuit passe. Lydia se réveille avec un sentiment de délivrance, elle descend les escaliers petit à petit, quand, soudain, elle entend une voix grave, elle l’aurait reconnue entre mille… mais, ce n’est pas possible, je l’ai tué, se dit-elle. Elle arrive dans la cuisine, elle s’arrête un instant, se demande si elle ne délire pas, si elle n’est pas en plein rêve…

«  Alors, tu as passé une bonne nuit, chérie ? »

Si seulement les deux frères n’avaient pas été jumeaux…

FIN

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Dents acérées une histoire de Bonnie & Floriane, 4ème 1

Dents acérées

une histoire de Bonnie & Floriane

Charly Curlay est un jeune meurtrier de 24 ans ayant commis plus de 53 assassinats. Il vit actuellement dans la maison de sa dernière victime et est sur le point de se faire appréhender par la police, elle-même aidée d’un chien détective, réputé le meilleur de toute l’Angleterre. Charly décide donc d’installer de puissants pièges à loup qu’il avait trouvés dans le grenier lorsqu’ il avait caché le corps de sa dernière victime. Il en pose un peu partout pour que le chien détective se prenne les pattes dedans et ne soit plus opérationnel pour enquêter. Quand, deux heures plus tard, il pose le dernier piège non loin de son propre pied, il entend la sonnette du portail tinter. Il se concentre alors pour paraître le plus naturel possible. Il prend une grande inspiration puis se dirige vers le portail, lorsque, tout à coup, il gémit de douleur.

Deux jours plus tard au tribunal, on voit arriver Charly Curlay les deux pieds dans le plâtre, en fauteuil roulant. On ne verra jamais Charly Curlay ressortir, il vient d’être condamné à la prison à perpétuité.

FIN

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Le monstre de la nuit, une nouvelle écrite par Rudy et Raphaël, 3ème 1

Le monstre de la nuit


par Rudy et Raphaël, 3ème 1

Ce 31 octobre, la pleine lune se reflétait dans les vitres de ma fenêtre.

Je jouais tranquillement dans ma chambre, j ‘étais tout seul dans la maison, mes parents n’étaient pas encore rentrés du travail, quand j’entendis sonner à la porte.

J’allai regarder dans l’œilleton. Ce que je vis n’était ni ma mère ni mon père, ni le livreur de pizza… je vis un montre !

Pris de peur, je m’enfuis dans ma chambre en courant mais je me souvins que je n’ avais pas fermé la porte a clé…

J’entendis alors la porte s’ouvrir puis une voix dit :

« Nicolas … »

Comment connaît-il mon nom ?!

Je redescendis à pas de loup l’escalier et risquai un œil… Je le vis sortir du salon : il se dirigeait vers ma chambre !!

Je remontai me placer derrière la porte, j’entendais ses pas dans le couloir, le plancher craquer, plus il avançait, plus je transpirais.

Je pris un livre pour l’assommer, le monstre entra dans ma chambre, je commençai à prendre mon élan et m’arrêtai net : je venais d’apercevoir une fermeture éclair dans le dos du monstre !.

Il se retourna, j’eus la peur de ma vie… mais je reconnus la tête de mon copain, il portait un déguisement…

C’était mon premier Halloween…

FIN

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Le Monstre, une nouvelle écrite par Henri & Even, 3ème 1

Le Monstre,

par Henri & Even, 3ème 1

Notre fourmilière était construite entre des murs dorés qui nous protégeaient de tout.

Elle grossissait régulièrement depuis le printemps, notre réseau souterrain ne cessait de s’agrandir.

La colonie en profitait : le gîte et le couvert étaient garantis pour tous.

Chaque jour, nous envoyions quelques-uns d’entre nous pour scruter les environs et vérifier s’il n’y avait pas une faille entre les murs.

Seulement, un jour d’été nous entendîmes un grondement de tonnerre.

L’orage menaçait sous un ciel d’été, l’air était cuisant, lourd et métallique.

Toute la fourmilière se réfugia à l’intérieur. Tous avaient peur.

Je ressentais la panique et l’angoisse de chacun.

Les plus courageux d’entre nous sortirent pour regarder et observer la chose.

Des éclairs nous éblouissaient, cet orage était si fort que le sol en tremblait.

Il fallait prévenir les autres : lorsque la pluie tomberait, l’eau s’infiltrerait dans les galeries et les plus jeunes et anciens seraient en danger.

Dans un grondement sourd, des gerbes d’étincelles paille et orange, un aveuglant panache de fumée blanche, l’orage était passé.

  • Mince ! J’ai calé, ronchonna une voix.

  • Je ne vais pas m’arrêter, je ne verrai rien de plus .

  • Je n’aime pas stopper lorsque je moissonne. J’ai pourtant touché quelque chose, on aurait dit une butte et ce fichu soleil qui m’éblouit sans cesse avec les chromes de la moissonneuse.

Le paysan remit le contact.

La moissonneuse-batteuse s’ébranla dans un grondement sourd, cracha une fumée blanche et épaisse au démarrage et continua sa fauche tout droit dans le champ de blé.

FIN

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L’arachnophobe une nouvelle d’Erine & Manon, 3ème 2

L’arachnophobe

une nouvelle d’Erine & Manon, 3ème 2

Un énorme bruit fait sursauter Valentin, un jeune garçon de trois ans. Il lève les yeux au ciel et voit des pattes noires, géantes, juste au-dessus de lui. L’enfant entend plein de bruits effrayants. Il fait très sombre, le ciel est gris, des éclats de tonnerre retentissent et la pluie commence à tomber à grosses gouttes qui font un fracas monstrueux en touchant le sol. Les pattes ressemblent à de noires pattes d’araignée mais une araignée qui n’a que quatre pattes, c’est étrange…

L’araignée géante n’a qu’un seul œil et cela fait très peur au jeune garçon.

« Bonjour, je suis votre guide et je vais vous faire la visite d’aujourd’hui. J’imagine que vous connaissez tous la Tour Eiffel, mais avant de commencer, j’ai une question : est-ce que vous savez quand elle a été construite ?

-Valentin, arrête de flâner et viens écouter ! » S’écrie alors la mère du bambin.

FIN

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La bête du soir, une nouvelle écrite par Lylia & Eliot, 3ème 2

La bête du soir

Ça y est, ça recommence, elle l’entend arriver.

Un bruit assourdissant annonce toujours son arrivée dans la chambre…

Depuis un mois environ, il ne cesse de revenir presque tous les soirs.

Il est hors de contrôle. Sa mère tente en vain de le dompter mais n’arrive pas à l’arrêter. Avec un bruit strident, il entre dans sa chambre et avale tout sur son passage. Tout y passe. Elle se blottit sur son lit pour échapper au sort horrible des objets qu’il engloutit avidement. Elle se cache sous la couette pour qu’il ne puisse pas la voir. Il n’est rassasié que lorsqu’il ne trouve plus rien à manger.

Il fait un bruit si horrible qu’elle est obligée de se boucher les oreilles pour ne plus l’entendre. Son corps de taille moyenne possède de toutes petites pattes, presque invisibles. Mais la chose la plus horrible est sa longue trompe, avec au bout sa bouche sans dents qui aspire tout. Elle se rappelle avoir vu son doudou disparaître… elle s’entend encore crier contre la bête… Heureusement sa mère a réussi à le lui arracher avant qu’il ne disparaisse pour de bon.

Le seul moment où l’on ne l’entend pas, c’est quand il est repus, caché sous l’escalier. Il se cache alors dans l’ombre, sous les marches, sans bruit…

Ce qu’elle ne comprend pas c’est pourquoi son papa et sa maman ne se sont pas débarrassés de lui la première fois, elle se dit qu’il reviendra sûrement le lendemain, cette petite fille est tellement effrayée qu’elle en dort mal la nuit, elle pense tout le temps à cette monstruosité, elle hante ses pensées, sa vie, elle n’en peut plus.

Et, à ce moment-là, elle le voit s’attaquer à nouveau et manger Pinpin, son doudou favori ! cette fois-ci, il disparaît pour de bon, elle pleure son doudou mort, elle décide d’en finir, elle saute sur cette créature mais sa mère l’en empêche :

« Tu es folle, tu vas casser l’aspirateur ! »

Fin