Rédaction N°2
Le monstre était démesuré avec des pattes de canard géantes, un corps de cerf musclé, une gueule de crocodile béante, répugnante et malodorante. Au bout de ses grandes pattes, de longues griffes tranchantes me firent tellement peur que je faillis m’évanouir. Il avançait à vive allure, je courus, courus, je trébuchai et tombai dans les pommes. Je me réveillai dans un magnifique château. Le monstre me servit à manger, et finalement nous sympathisons. Il n’est pas si méchant !
FIN
Très bonne maîtrise du récit au passé et un vocabulaire étoffé et varié : bravo Titoine !
VOUS AVEZ RAISON