Sublime: Sublimis/l’irreprésentable

 

Sujet:Sublime! c’est vraiment…sublime!

  • Qu’est ce le sublime?: C’est « ce qui ébranle, d’affecte l’âme », (Un pathos, une vive émotion face à ce qui nous dépasse)=sortir hors de soi, suite à une commotion.

C’est un sentiment (spectateur) qui provoque une paralysie de l’imagination (choc).

« un « plaisir mêlé de peine, un plaisir qui vient de la peine » « présentation de l’imprésentable » identification à « Il arrive », à l’événement de l’œuvre…

J.F.Lyotard.

http://www.fabula.org/atelier.php?Le_sublime_aujourd%27hui

« Un objet informe », disharmonieux, dissonant, et présente un « concept indéterminé de la raison .» kant ( plaisir , représentation négative.)

le beau et le sublime suscite des passions.Quelle en est la cause?« plaisir positif » suscité par le beau /VS   « délice » « la sensation qui accompagne l’éloignement de la douleur ou du danger »(delight) suscité par le sublime. « Plaisir négatif »« terreur délicieuse »,« étonnement », « admiration. »

« Tout ce qui est propre à exciter les idées de la douleur et du danger ; c’est-à-dire, tout ce qui est en quelque sorte terrible, tout ce qui traite d’objets terribles, tout ce qui agit d’une manière analogue à la terreur, est une source du sublime ; ou, si l’on veut, peut susciter la plus forte émotion que l’âme soit capable de sentir. Je dis la plus forte émotion, parce que je suis convaincu que les idées de la douleur sont plus puissantes que celles qui viennent du plaisir. »

SECTION VII.Du Sublime.Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau d’Edmund Burke

Boileau (Traité du sublime, 1674)

Peri hupsous du Pseudo-Longin

« Le sublime est toujours à trouver dans un objet infini ou informe (incommensurable).l’irreprésentable de l’expérience/représentation de l’inhumain/ la représentation se révèle impossible.

Sujet: mesure/démesure/commensurable/incommensurable

« …ne peut-on parler d’un accès direct à l’infini car, en effet, la conception de l’infini s’accomplit toujours dans un rapport du fini à l’infini. Seul le rapport est proprement infini. Or, je ne peux saisir ce rapport que de l’intérieur pour le hausser à la conscience, en réinstallant cette conscience dans le cadre d’une subjectivité, cette fois absolue et non plus relative, car se prenant elle-même pour objet. »http://www.philagora.net/capes-agreg/irrepresentable-3.php

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Sujet:  Résultat de recherche d'images pour "l'irreprésentable"« représentation impossible »Résultat de recherche d'images pour "l'irreprésentable "

Sujet  » Représenter/ présenter l’irreprésentable »

  • Qu’est ce qui n’est pas représentable?
  • paradoxe la concevoir c’est rester dans la représentation. Le principe est d’y échapper.
  • Y a t’il de l’irreprésentable? s’imagine t-il? se pense t-il?…
  • Comment monter l’insuffisance inhérente du  langage?
  • Expérience mystique ( fusion avec l’un) /expérience esthétique « passe pour ineffable en ce qu’elle déjoue le piège de la reconnaissance et donc de la représentation « contemplation .
  • L’irreprésentable est-il caché derrière toute tentative  d’identification.(ce qu’on ne peut identifier)
  • On ne peut le  saisir (conceptuellement/corporellement)
  •   Comment représenter « l’impensable » ( la shoah, la torture, les guerres coloniales, les violence d’état » …? « l’intraduisible  » J-J. Lebel. l’invisible/l’impalpable/la mort/le sexe/l’absolu.Refuser de voir.

la shoah=référent absolu irreprésentable

  • pas de façon direct (Boltanski).(travail sur la disparition et la mort). (Implicite contre explicite)
  • par quelque chose qui y ressemble.
  • pas de forme iconique
  • par la non visibilité(contre-monument): représentation cachée. »le monument c’est nous »J.Gertz
  • (aura=soustraite à la vue)=monument d’invisibilité à conjuguer  avec travail  d’exactitude documentaire (Lanzman).
  • Par association d’idées (suggestion)/évocations (métonymie/symbolisation/métaphore…
  • dire que cet impossible a eu lieu et qu’il ne doit plus être possible.

 

Sujet: disparition

la disparition n’est pas la mort elle ne permet pas de faire son deuil (trou/vide/absence

 

Référence:Perrec

Boltanski  : recherhce maison manquante

  • représenter l’âme…

« Peut-on représenter l’irreprésentable que sont les mouvements de l’âme ?
1»1
Jean CLAIR, Hubris: la fabrique du monstre dans l’art moderne, Paris, France,
Gallimard, impr. 2012, 2012.

Sujet: Petite fabrique de monstres=on retrouve les 4 définitions du terme (animal fantastique/animal gigantesque/créature, organisme difforme, composite/laideur intérieur.)

  • Représenter l’irreprésentable en passant par le mythe.

Comment raconter une situations extrême et des expériences traumatiques (de violence)=par le détour effroi /peur (affronter)/ la tension dramatique peut passer par la fiction.

«  stratégie de distanciation, voire d’une rupture, et par un processus de métaphorisation, comme si le vécu, frappé d’étrangeté de par son caractère effroyable, ne pouvait être cerné et la réalité horrifiante ne pouvait être appréhendée que de cette manière indirecte. » …chaque conte serait issu, selon Kafka, « des profondeurs du sang et de la peur » .https://1920.hypotheses.org/tag/esthetique

Système de défense (le « Reizschutz » freudien « filtrage des stimuli ».

 

  • Quelle est la la place de l’artiste dans la société et son engagement?  Quel  doit être son positionnement esthétique face à l’horreur ?dénoncer les atrocités.l’artiste  les limites du politiquement acceptable (censure)/oeuvres  dérangeantes. (prohibition /caractère subversif de l’œuvre/sa puissante dissidence;  critique acerbe/appelle à l’insoumission. )

 

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« L’irreprésentable apparaît dès lors comme le proprement inconnaissable vers lequel on ne peut faire signe qu’en déjouant le jeu de la représentation. Aussi se demander « qu’est-ce que l’irreprésentable ? », c’est chercher à savoir comment l’on peut le penser ; et finalement s’interroger : peut-on penser en dehors de la représentation ? »

« …qu’est-ce que l’irreprésentable sinon une représentation qui n’est pas ?  »

 » Pour pouvoir me représenter quelque chose, je dois acquérir le concept de sa possibilité gnoséologique, quand bien même cette possibilité est imaginaire d’un point de vue ontologique. Ainsi, un centaure est une représentation possible en tant que le concept de centaure est formé de celui d’homme et de cheval, bien que la possibilité que je rencontre un centaure dans l’expérience soit nulle. Cette possibilité m’est ainsi fournie par l’intuition.  »

« je ne peux dire quelque chose que si je me représente cette chose, mais je ne peux me la représenter que si je peux la dire. La condition de la représentation est le langage »

« Il n’y a, par conséquent, de réalité possible pour le sujet qu’à travers la représentation.L’irreprésentable, le refoulement originaire du désir de totalité, fonde la représentation . » « une absence non-thématisé  »

« la dualité sujet-objet « . Incapacité à accéder à la connaissance autrement que par la représentation, sa limite… une médiation au réel…

L’irreprésentable comme anéantissement de la subjectivité= »l’expérience du mal absolu et de l’Atroce. »=limitation de ma faculté représentative (kant, le sublime)

http://www.philagora.net/capes-agreg/irrepresentable-1.php

Objectifs: Etudier cette notion esthétique de l’irreprésentable dans l’art, ce paradoxe qui est celui de la banalisation de l’horreur , la multiplication des images( flux continu)  et son impossible représentation.

  • Shoah et Landzmann.(la question de l’image/du témoignage/de la mémoire).
  • travail  sur avec le corps comme expression critique, revendication politique ?

 

  • « par un conflit évident entre esthétique et éthique, l‘art se voit interdire des domaines de représentation et par conséquent connaîtrait un irreprésentable. »L’art de l’immonde : l’art de l’irreprésentable

    https://ecm.univ-paris1.fr/nuxeo/site/…/ab9ca503-817f-4b34-bd1f-785eda62c153;…
    le dégoût est l’interdit absolu (kant)…(Emmanuel KANT, Critique de la faculté de juger, trad. fr. Alain Renaut, Paris, France,
    Flammarion, DL 2008.)
  • Interdit sacré de la représentation (religion mosaïques)/problème de la représentation de Dieu.(pulsion, refoulement premier (Freud).Représentation de dieu en nous (Descartes, Leibnitz, théodicée). Comment figurer, sous forme « humaine », celui qui, par sa réalisation spirituelle, dépasse toute catégorie humaine ?( Buddha). Défi artistique=représenter dans une forme conventionnelle ce qui a dépassé la forme (Nirvâna), une divinité qui est ineffable et inconcevable.(réalité supra-mondaine)

Solutions: l’aniconisme : absence de représentation humaine du Buddha ! choisir des symboles/ indiciels /élements de son environnement ou biographiques permettant de montrer ce qui n’est pas visible=un trône ou un parasol, un pilier entouré de flammes, les empreintes de ses pieds…épisodes décisifs de sa vie.

ex: l’arbre comme symbole de Eveil. 

la roue comme représentation du premier sermon qui « fait tourner la Roue de la Loi »

empreintes/traces

https://bouddhismes.net/comment-representer-l-irrepresentable

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Images du prophète.

la représentation au stade du miroir le soi avec un autre soi qui est soi représenté.

« (la mise à distance de l’objet et par là à la représentation de celui-ci en même temps qu’à sa propre position de sujet.) »

« L’irruption brutale et inopinée du soi, irreprésentable, inimaginable, terrifiant créée une angoisse intense, une peur immense, avec une agitation. Le sujet est désemparé, perdu, affolé. Il peut crier, délirer. »

représentation du refoulé…Image associéeC.G.Jung Rêve Alchimie

Aconit, angoisse émotions, mort

 – Irruption brutale de l’indicible
« Si l’art explore tous les rapports possible à l’être, il est normal qu’il
passe par le « dégoûtant », le « repoussant », sans que ce soit régressif » – Sibony
Daniel »Daniel SIBONY, Violence: traversées, Paris, France, Seuil, 1998.
.
lien: sujet du beau/du laid
harmonie/disharmonie /heurte / bienséances
Pourtant   la fascination pour la laideur existe… »Fascination de la laideur » Murielle GAGNEBIN, Fascination de la laideur: la main et le temps, Lausanne, Suisse,
l’Âge d’homme, 1978.
satisfaction /insatisfaction du regard (des  sens)et de l’intellect.
Fakir Musafar, The Perfect Gentleman, 1959
Andres Serrano, The Morgue (Sleeping Pill Overdose), 1992,, cibachrome
Image associéeRésultat de recherche d'images pour "David Nebreda, Visage recouvert d’excréments, 1989-1990"
David Nebreda, La Trinidad de los
espejos, 1989
David Nebreda, Visage recouvert
d’excréments, 1989-1990
 Question de la limite du représentable.
1)Il y a d’abord eu la laideur avec Platon (entacher son âme)/pas de place dans le monde des Idées.
2)du dégoût(kant)= »satisfaction du regard donc si le regard est violenté cela ne peut-être de l’art. »
3)l’abject.(la surenchère de provocation et de scandale.)
« le monde de l’immonde »
« C’est immonde! »(immoral :son sujet? sa forme).
Ce terme est composé du mot –monde, le
préfix –im sous-entend l’absence de frontières. L’immonde serait un monde sans
frontière, sans limite à dépasser, sans barrière à détruire. L’immonde est un
monde où tout est permis, tout est toléré par conséquent où tout est montrable
même ce qui est considéré comme immorale dans notre « monde frontière »
« L’immonde amène le sujet à être vue par le biais de la morale. »= »violation des bonnes
mœurs, de ce qui est jugé convenable, montrable, politiquement correct. »
Montrer ce qu’on préférerait  ne pas voir.
provoquer le dégoût=Répulsion
Fakir Musafar hésite nullement à maltraiter, déformer et torturer son corps.

L’art de l’immonde : l’art de l’irreprésentable

https://ecm.univ-paris1.fr/nuxeo/site/…/ab9ca503-817f-4b34-bd1f-785eda62c153;…
 Carole TALON-HUGON, Goût et dégoût: l’art peut-il tout montrer??, Nîmes, France, J.
Chambon, 2003.
Paul ARDENNE, Extrême: esthétiques de la limite dépassée, Paris, France, Flammarion,
impr. 2006.

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7 L’ÉVÈNEMENT TRAUMATIQUE …

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Le Cauchemar (Anonyme), 1530 | Edelseider

Lectures

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« Sublimis désigne ce qui est haut, élevé, au summum. » (verticalité et dimension, échelle)/ « le face à face avec un trop, l’excès. »

« Cela fait événement.(…) »Le sublime est ce qui « produit en nous une certaine admiration mêlée d’étonnement et de surprise » …  » Étonner veut dire vibrer devant ce qui apparaît . »étonnement, ce choc est un effet des dissonances de la forme »

« les imperfections mêmes, les entorses au goût, la laideur ont leur part dans l’effet de choc »

L’étonnement=to thaumasion= dessaisissement-même  + d’ekplèxis= frayeur subite,  stupeur

« Le sublime est un débordement, une « extase », une démesure, un excès… » … »De quoi est-il l’excès ? Il est l’excès de l’événement.

 » le pathos du transport “divin”.

 

 

Référence électronique

Denis Viennet, « Il y a « quand même ». À propos du sublime aujourd’hui », Philosophique [En ligne], 14 | 2011, mis en ligne le 06 avril 2012, consulté le 05 juin 2018. URL : http://journals.openedition.org/philosophique/171 ; DOI : 10.4000/philosophique.171

 

Image associéeImage associéePhilip James De Loutherbourg, 1803 The Alps

Je suis tout petit/vraiment petit

notion d’échelle

 

 

Si la perspective est un système de signes= espace discursif, un espace à trois dimensions/rompre avec ce dispositif (sans profondeur) rompre avec l’appareil perspectif (transparence) , volume, théâtralité) pour la planéité  (opacité)peau, pellicule.,.Un support pur et plan(pourquoi?)=recherche de pureté/libération  du  « dispositifs d’aliénation »= contre l’évanouissement de son support. Retour à sa  surface propre. » la révolution picturale est la  conquête par la peinture de sa surface propre. »un lieu où la figure acquiert de l’autonomie ».

« faire entrer les objets représentés  dans un système de valeurs qui est le système capitaliste…les fait fonctionner comme marchandises » (J.F.Lyotard.)l’espace à trois dimensions et l’espace « théâtral »=espace capitaliste.(système) »L’apparition de la profondeur est inséparable de la transformation de l’énergie libidinale en marchandise. »

la perspective organiste, hierarchise.  » la surface a fonctionné comme un lieu où fait défaut toute hiérarchie. »degré zéro.  Mots et images , texte image  ne sont plus séparés,fonctionner en tant que signes.. (pour Rancière.)

« Pour qu’un tableau soit plan, il faut qu’il soit vu comme plan… »

 

Sources:Référence électronique

Denis Skopin, « Le sublime, la surface picturale et les disparitions politiques », Appareil [En ligne], 10 | 2012, mis en ligne le 20 décembre 2012, consulté le 06 juin 2018. URL : http://journals.openedition.org/appareil/985 ; DOI : 10.4000/appareil.985

« Sujet: « montrer le support »…on voit le support

 

Sujet :visager/dévisager

la déshumanisation de l’homme: la tête sans visage: privation du visage

Gilles Deleuze interprète le visage comme un système mur blanc (joue, front) / trou noir (yeux, bouche) en l’opposant au système du corps volume/cavité.

le visage avec sa cartographie – les traits, les lignes, les rides – n’appartient pas au corps

la privation du visage qui sert de support à l’humanité dans l’homme, provoque chez le spectateur une angoisse inconsciente encore plus forte que l’amputation des membres.

« Elle fait pressentir (représente négativement) le trou noir de l’inhumain absolu ou de l’ « informe » kantien. L’effroi et l’affect qui remplissent le spectateur en train de contempler les photos noircies s’expliquent par l’impossibilité d’identifier les visages disparus. L’informe de l’horreur vécue ne permet pas à la représentation de s’accomplir : le visage du personnage reste inconnu, le spectateur est impuissant à identifier la victime, son nom, les dates de naissance et de mort et – ce qui est aussi important – le lieu de sa mort. L’angoisse du spectateur est « sublime » mais ce sublime ne s’accompagne pas de plaisir comme c’était le cas chez Kant. »

Selon Deleuze, le visage est toujours inhumain, il est produit par une « machine abstraite »machinique, capitaliste. C’est par le visage que passe le racisme qui « propage les ondes du même jusqu’à l’extinction de ce qui ne se laisse pas identifier15 »

défaire le visage en « traits de visagéité ». Cette analyse montre que le visage ne sera pas uniquement « le visage du despote » et que sa représentation sur une photo est parfois le seul moyen d’identifier la victime. Le visage, en tant que support identificatoire dans l’homme, ne peut pas être interprété seulement comme « figure du pouvoir ». Il faut séparer l’idée de la machine et l’idée du visage. On voit bien que l’effacement du visage est un phénomène totalitaire qui accompagne l’écrasement physique de l’opposant politique. Aussi Deleuze fait-il jouer l’opposition entre d’un côté le retour du même, sa répétition à l’infini et de l’autre côté un devenir vertigineux, un glissement dans un retour qui ne serait pas un retour au même (devenir femme, animal, fleur, etc.).

 

le visage – à condition qu’il soit saisi, représenté par des intermédiaires techniques que sont les appareils – n’est pas une figure du pouvoir et n’est pas produit par les machines, pas plus qu’il serait politiquement neutre. S’inscrivant dans la tradition qui vient des portraits de groupe dans la peinture hollandaise, les portraits photographiques sont loin d’être de simples procédés mnémoniques. La réunion dans le même espace photographique des visages de ceux qui partagent les mêmes idées fait exister politiquement un groupe social – qu’il s’agisse de leaders politiques, de travailleurs ou d’un groupe de riches bourgeois bienfaiteurs comme ceux qui figurent sur une photo trouvée dans les archives de Nijni-Novgorod19. »

 

« Photographier, c’est conférer de l’importance. »

Susan SONTAG, Sur la photographie, trad. fr. Philippe Blanchard, Paris, France, C.
Bourgois, DL 2008. p. 49

instantanéité/fige le temps / donne une copie de la réalité/montrer le réel/immortalise le réel/immortaliser des moments de sa vie….

je  capturer un instant parce qu’il le semble important.

« aujourd’hui nous photographions principalement dans le but
de témoigner de nos actions plus que d’immortaliser celles-ci »

Sujet:J’ immortaliser un 
moments de ma vie, je le fixe capture  pour l’éternité.. »figer , arrêterla réalité,

 

« Mon travail est le témoin d’une époque ».

Diane Arbus ne fait pas qu’ « illustrer », elle témoigne des conditions
sociales des modèles.

 


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