Les voitures carburent au numérique !

 

Une voiture connectée ?

Aujourd’hui les voitures sont de plus en plus connectées, avec les nouveaux modèles le numérique envahi le secteur de l’automobile et cela sans déplaire aux consommateurs ! Bien entendu la voiture c’est encore beaucoup de mécanique, mais de plus en plus de constructeurs innovent en utilisant les technologies numériques. Que ce soit le nouvel Espace V, la Twingo ou la Citroën Cactus, aucune n’a fait l’impasse sur les tablettes par exemple. Les véhicules sont dotés d’écrans tactiles qui servent dorénavant de consoles de commandes pour toutes les fonctions des voitures. La voiture connectée, il y a quelques années encore nous n’aurions jamais imaginé qu’une voiture puisse échanger des données avec un téléphone mobile ou bien que l’écran soit mobile.

Si vous étiez au Mondial de Paris vous avez surment du croisé la nouvelle génération de Link&Go de Akka Technologies. L’entreprise propose ici un prototype de voiture autonome pour la ville du futur.

Une troisième génération qui embarque une motorisation innovante, appelée MSD pour Moteur-Suspension-Directif. Placé sur chacun des deux essieux, il s’agit de moteurs électriques qui intègrent la suspension et la commande de direction dans un encombrement réduit.

 

« Avec ses quatre roues indépendantes, la prochaine génération pourra tourner sur elle-même et se garer en latéral »

Philippe Aubry, le directeur technique d’Akka Technologies.

Une voiture intelligente ?

Le projet Akka Technologies à débuter en 2009 et envisageait de faire de la Link&Go une vitrine des technologies à embarquer dans les véhicules urbains du futur. La troisième génération de Link&Go va encore plus loin que les versions précédentes en termes d’intégration dans la ville et de servicesproposés.

« Au-delà de la fonction de conduite autonome, nous voulons que Link&Go apporte à ses occupants des services intelligents. Elle sera une machine capable d’apprendre, donc elle vous reconnaîtra, et selon l’heure qu’il est par exemple elle pourra vous proposer de vous emmener au travail ou ailleurs. En fonction de l’expérience acquise, et des informations de contexte puisées sur le Cloud, elle sera capable de s’améliorer. »

Philippe Aubry

 

Le future nous réserve bien des surprises, alors pourquoi ne pas rêver d’une voiture dotée d’une véritable intelligence artificielle ?

La Link&Go reste toutefois encore un concept-car : les technologies sont prévues pour être applicables d’ici 10 à 15 ans. Mais les technologies numériques se développent à une vitesse folle, nous pourrons entrevoir les évolutions de ces nouveautés rapidement…
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Le transmédia storytelling

transmedia

 

Le Transmedia storytelling ce nouveau processus se développe dans le monde de la communication. Le transmédia voit les éléments d’une fiction dispersés sur diverses plateformes médiatiques dans le but de créer une expérience globale.

L’objectif des projets transmédias est de déployer, des univers cohérents où chaque élément narratif enrichit les autres. Chaque contenu est indépendant, et le public doit utiliser plusieurs supports (TV, radio, ordinateur, mobile, print, tablette…) s’il veut appréhender l’ensemble de l’expérience. Le transmédia est un nouveau modèle de communication qui permet de capter l’attention et de fidéliser l’audience. Il s’agit de multiplier les points d’entrée dans l’univers pour toucher une plus grande audience. Grâce au transmedia storytelling l’agence en charge des projets peut multiplier les angles de vues pour développer des récits « gigognes » qui permettent d’approfondir différentes notions en les abordant sous plusieurs formes. Avec ce nouveau processus la communication c’est enrichis, les supports de diffusion se multiplie et sont minutieusement choisis pour transmettre un message à travers une histoire qui est présentée à travers différents supports. En distinguant les atouts de ces derniers il s’agit de choisir les meilleurs supports et les plus cohérents pour rester en accord avec la stratégie de communication et s’adresser au public cible.

« Le transmédia est processus dans lequel les éléments d’une fiction sont dispersés sur diverses plateformes médiatiques dans le but de créer une expérience de divertissement coordonnée et unifiée.

Henry Jenkins 

La multiplication des outils multimédias (ordinateur, TV, mobile, tablette…) offre la possibilité à l’audience de rechercher les éléments du récit pour compléter les histoires racontées par les autres supports. Les messages se complètent et permettent une bonne compréhension de l’histoire. L’annonce sera d’autant plus intégrée car cette multitude de support rendent la communication plus efficace. C’est justement en variant les modalités, que l’écriture Transmedia permet de renouveler l’expérience d’utilisation. Elle permet d’approfondir naturellement la compréhension du contenu en facilitant l’assimilation des informations. C’est un moyen très efficace de transmettre une information tout en s’assurant une visibilité maximale. La rentabilité est donc mieux assurée, qu’avec un dispositif classique, du fait de la multiplicité des sources qui permettent d’augmenter l’exposition de l’audience.

Ne pas confondre transmédia et cross-média :

Le cross-média est un processus dans lequel la narration s’adapte aux spécificités des plateformes. C’est une pratique publicitaire et marketing qui consiste à utiliser plusieurs médias pour une campagne. L’objectif de ces campagnes est de jouer sur la complémentarité entre les différents médias utilisés.

« Le cross-média ne propose pas un univers enrichi mais plutôt l’adaptation d’une même histoire sur plusieurs médias.

Henry Jenkins 

 

Le Transmedia storytelling est aujourd’hui un moyen efficace et rentable de communiquer, mais la construction de l’univers global et du message restent des enjeux majeurs dans le succès d’une campagne de communication.
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Les robots vont-ils nous mettre au chômage ?

30% des travailleurs seront remplacés par des systèmes robotisés. Qu’en dites-vous ?

Le Robot Asimo de Honda, le 16 avril 2014, à New York. (Photo : DON EMMERT.AFP)
Le Robot Asimo de Honda, le 16 avril 2014, à New York. (Photo : DON EMMERT.AFP)

 

Nos sociétés sont-elles préparées à de tels taux de chômage ?

La généralisation de la robotisation devrait permettre de vous remplacer, vous travailleurs humains, dans des secteurs d’activité qui, jusque-là, vous étaient réservés et qui étaient inaccessibles à l’automatisation.

Les robots sont des automates industriels dotés de fonctions très diverses et plutôt surprenante, ils savent peindre, souder, mesurer et bien d’autres choses encore ! Ces machines, qui restent des objets guidés par l’humain, n’ont toutefois aucune autonomie de décision.

Depuis une quinzaine d’années, la robotique moderne s’attache à développer cette qualité. C’est pourquoi de nombreux objets sont considérés comme robotique sans pour autant n’avoir aucune polyvalence. Ils sont tout simplement doués d’une certaine autonomie de décision, cette autonomie nous permet de différencier l’automatisation de la robotisation. L’automatisation a pour but de réaliser un processus de production plus rapidement et de meilleur qualité que ne l’aurait fait l’opérateur humain, mais en contrepartie d’une grande spécialisation.

La robotisation ne vise pas à produire mieux qu’un homme, mais à le remplacer dans certaines circonstances, c’est pourquoi elle est moins spécialisée et ne se limite pas à un seul processus.

Des drones qui prennent des décisions !

Les progrès de la robotique sont rapides et importants, les rayons de presse regorgent de magazines qui traitent du sujet.

Les drones utilisés par l’armée américaine en Afghanistan ne sont pas de simples modèles réduits, mais bien une robotisation. Ces engins prennent seuls une partie des décisions qui concernent leur vol. C’est aussi la qualité de son autonomie qui permet au robot Asimo de Honda de n’être piloté par personne lorsqu’il apporte un plateau à un individu.

Aujourd’hui la technologie n’est pas freinée au contraire, l’évolution de la robotique est remarquable par rapport à l’évolution de l’informatique en 1981, lorsque IBM lançait le premier PC. D’ici moins de 30 ans la robotisation sera mature et généralisée dans beaucoup de pays monde.

Le Japon, très visionnaire, vise un marché à 100 milliards de dollars d’ici 20 ans pour la robotique, ils envisageaient une exportation de robots destinés aux services à la personne s’élevant à plus de 80 millions d’euros pour la Corée du Sud en 2012.

Le Japon et la Corée du Sud envisagent la robotique comme un segment majeur du marché.

Asimo, un petit robot à l’allure humaine, nous ressemble et ce n’est pas un hasard. Il s’agit là d’une plateforme de R&D dont le but est d’aboutir à des produits industriels qui devront à terme se comporter comme vous ! De plus il pourra utiliser les structures qui nous sont destinées comme les escaliers par exemple, mais ce robot, doté de 10 doigts, pourra aussi saisir les mêmes objets que nous !

Deviendra-t-il devenir un véritable acteur de notre société ?

Des robots dans les restaurants

Avec la Silver économie, les soins à la personne sont la cible principale des premiers fabricants de robots humanoïdes comme le modèle Roméo de la société française Aldebaran, devenue japonaise depuis peu.

Les robots sont déjà capables de porter un plateau à une personne dépendante, il est donc normal d’imaginer que le service en salle dans certains restaurants sera possible ! L’automatisation a amélioré la productivité industrielle, c’est au tour maintenant des emplois de service qui se verront concurrencés par la robotisation…

Dans certain domaine, tel que la sécurité routière, les avantages de l’automobile robotisée sont évidents : on pourra se déplacer en voiture sans savoir ou pouvoir conduire.

Selon Carlos Ghosn, le PDG de Renault-Nissan «les véhicules autonomes pourront être commercialisés en Europe à partir de 2020».

D’ici une dizaine d’années on pourra sans doute voir des véhicules totalement autonomes, comme la Google-car sillonner nos belles villes !

Les nouvelles technologies nous font rêver mais font aussi déchanter… Des véhicules autonomes qui viendraient prendre livraison des commandes passées sur Internet pourraient être plutôt intéressants pour baisser les coûts de livraison ! Mais qu’en sera-t-il des chauffeurs salariés ? Ils seront susceptibles d’être remplacés par ces voitures autonomes. Mais pas d’affolement, les chauffeurs ne disparaîtront pas, car il y aura toujours des trajets qui nécessiteront une interaction humaine.

Des métiers comme plombier ou encore psychologue ne disparaîtront sans doute jamais, mais nos économies globalisées rendent la robotisation inéluctable pour un grand nombre d’activités. Une globalisation qui nous impose d’investir dès maintenant dans les technologies de la robotique. Sans cela, nous risquons de subir une robotisation du travail délocalisée…

Vers une nouvelle société ?

Le travail est un facteur d’identité et d’intégration sociale irremplaçable pour la majorité d’entre nous. Une société basée sur l’oisiveté nous reste tout simplement inimaginable. Serons-nous néanmoins capables de l’inventer ?

La robotisation qui arrive impose à nos sociétés de se repenser sans le travail comme norme. Si bien que la question à laquelle les partis politiques doivent répondre n’est plus «comment revenir à l’économie du plein-emploi», mais «comment se préparer à l’économie de l’emploi rare»…
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Concevoir un projet éditorial pour le web

Aujourd’hui avec les nombreux contenus qui circulent en ligne et qui seront de plus en plus, il est parfois difficile de savoir comment concevoir un bon projet éditorial. A l’époque le principal vecteur d’information et de connaissances fût le livre, mais à ce jour le web lui fait beaucoup d’ombre. On peut dire que l’on assiste à une vraie montée en puissance de l’édition numérique.

Le site web

Un projet éditorial qu’il faut traiter avec attention en mettant à profit ses compétences d’éditeur. Il faut se poser les bonnes questions :

  • Comment projette-t-on un site web ?
  • Comment agence-t-on ses contenus ?
  • Comment choisit-on les solutions techniques en cohérence avec ces contenus ?

De l’expression du besoin à la phase d’exploitation, en passant par les choix éditoriaux, techniques et graphiques, voici les rouages et les bonnes pratiques qui sont à la base de toute conception et réalisation d’un projet éditorial en ligne.

Conception d'un projet éditorial
Conception d’un projet éditorial

Préparation du projet : le cahier des charges fonctionnel

Le cahier des charges fonctionnel

C’est un document indispensable pour réaliser des supports et des contenus justes et efficaces. Il présente les lignes conductrices et doit être une référence pour tous les acteurs du projet, tout au long de son développement. Selon la taille du projet il faudra élaborer un cahier des charges plus ou moins précis (structure, budget..).

Les missions éditoriales peuvent être intégrées au sein de la structure à l’origine du projet, externalisées ou bien réalisées par des prestataires missionnés ou par une agence. C’est pourquoi le cahier des charges doit être pertinent et contenir un maximum d’informations afin que le prestataire puisse être guidé au mieux pour le projet.

Le cahier des charges fonctionnel doit détailler les moyens à disposition et les contraintes à prendre en compte pour la réalisation du projet :

  • Les moyens humains.
  • Le budget.
  • Les délais.
Les étapes à suivre
  • L’expression et la contextualisation du besoin.
  • Récolte des informations.
  • Définition claire et complète du projet, de son environnement, de ses objectifs et des moyens disponibles pour sa mise en place par le responsable du projet.
Les informations importantes à relever :
  • Quelle est la structure à l’origine du projet ?
  • En quoi consiste le projet et quels en sont les objectifs ?) et non comment il doit le faire (fonctionnement technique).
  • Quel est le public visé ? Quels sont ses usages et ses besoins ?

Choix et contenus éditoriaux : la charte éditoriale

Pour réaliser une structure cohérente du site internet et répondre correctement au projet il faut définir quel type de site internet sera efficace et approprié à la demande. Un inventaire des contenus qui doivent y figurer est indispensable, cela permet de dégager lesquels sont les plus important.

A savoir :

Tous les éléments utilisés doivent être exploitable sur le web, ils peuvent toutefois être de tous types : texte, photo, illustration, vidéo, podcast, PDF, etc.

Les contenus

Les « métacontenus » fournissent des informations plus générales et contextualisent le site. On y retrouve :

  • Mentions légales (obligatoires au Canada comme en France).
  • Charte de la vie privée : informations sur la politique de protection des données personnelles.
  • Crédits : nom et coordonnées de l’ensemble des personnes ayant contribué à la réalisation du site.

À ces contenus s’ajoutent des fonctionnalités que l’éditeur du site pourra mettre en place suivant la demande de l’annonceur : choix du moteur de recherche, fil RSS, module de commentaires, options de notification et de partage sur les réseaux sociaux, formulaire de contact, fil d’ariane, forum, comptes utilisateurs, etc.

Les autres plateformes

Aujourd’hui avec les tablettes et les smartphones il est important de penser à la déclinaison de son site internet sur d’autres supports que l’ordinateur. La présence de celui-ci sur d’autres plateformes doit être pensée afin de maximiser les modes d’accès aux contenus et leur visibilité.

Attention : le choix se fait en adéquation avec l’objectif du projet, la cible, les pratiques, les moyens disponibles, etc.

Avec l’essor des réseaux sociaux et autres plateformes d’échanges il faut aussi penser à être présent sur l’un d’entre eux :

  • Réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google +, LinkedIn, Pinterest)
  • Plateformes de partage de vidéo et photo (Youtube, Vimeo, Vine, Instagram, Flickr)
  • Plateformes de podcast (iTunes U, Podcast addict)
  • Blogs et micro-blogs (WordPress, Tumblr, Blogger)

Tous les moyens de communication sont organisés et liés afin de créer des ensembles et des sous-ensembles cohérents et interconnectés que l’on appelle le rubriquage. La hiérarchisation et le maillage de ces rubriques permettent de structurer le site et de réaliser une arborescence simple, logique et exhaustive.

Pour créer un bon site il est important de respecter des règles et des bonnes pratiques, une ligne éditoriale du projet doit donc être définie.

La charte éditoriale

Elle apporte une cohérence et une identité au projet, un style, un ton. Tous les types de contenus (texte, vidéo, podcast, illustration, etc.) et de publications (sur le site, les réseaux sociaux, par courriel, etc.) doivent être spécifiés : le niveau de langage, la façon de s’adresser aux internautes, le style et la taille (nombre de signes ou de mots) des titres, des accroches et des textes, la longueur et le format des vidéos, les choix d’images, la fréquence de publication etc.

Pour réaliser, éditer et mettre en ligne un site internet il est important de suivre certaine norme pour ne pas passer à la trappe. Le web est aujourd’hui un support incontournable il faut être présent sur les plateformes les plus fréquentées pour être visible.

La création d’un site internet n’est pas simple, de nombreux code, mode et contenus sont à proscrire et d’autre à intégrer pour réussir son site.
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