La télévision sociale

Aujourd’hui  » l’ancêtre d’internet « , comme dirait le présentateur de la célèbre émission de marionnettes, est directement lié au web par le biais des réseaux sociaux. Voici donc le nouveau statut de nos petits écrans, la télévision sociale.

En quoi consiste cette nouvelle façon de regarder la TV ?

En fait c’est très simple, les émissions qui marchent le mieux à la TV font le buzz sur internet. Être fans, cliquer sur le fameux « J’aime » ou twitter au moyen d’un hashtag, c’est montrer son intérêt pour tels ou tels émissions et programmes. Les téléspectateurs peuvent participer à ces émissions directement sur la demande des présentateurs, qui soumettent des sondages et demandent l’avis des téléspectateurs sur des sujets d’actualité. Les téléspectateurs deviennent alors aussi internautes et répondent à ces sondages via leur compte Facebook ou Twitter.

Cela permet à la télévision de devenir sociale, car elle est connectée aux réseaux sociaux et donc aux internautes. Les téléspectateurs, dans un même temps, participent directement à leurs émissions préférées. Le téléspectateur devient  » téléspect-acteur  » de ses émissions favorites. Ce phénomène est actuellement en plein développement, de plus en plus de personnes inter agissent via le web pour participer aux émissions.

Les chaînes regardent désormais leurs critiques sur les réseaux sociaux. Les blogs et autres sites internet consacrés aux émissions de la TV sont moins utilisés par les consommateurs, mais restent une source importante d’informations.

Image : http://www.lesmarquesalaloupe.com/points_de_vue/social-tv-il-n%E2%80%99y-a-plus-qu%E2%80%99a-allumer-la-meche/

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2013/03/25/the-voice-twitter-football-anges-telerealite_n_2949390.html

http://www.lesmarquesalaloupe.com/points_de_vue/social-tv-il-n%E2%80%99y-a-plus-qu%E2%80%99a-allumer-la-meche/
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Les archives ont aussi une présence numérique…

On le sait, l’avenir des archives tient du records management et de l’archivage électronique, mais quelle présence sur le web ?

La plupart des centres d’archives se lancent dans la numérisation de leurs archives et dans le mise en ligne de ces dernières. De la commune jusqu’au centre d’archives nationales, les services développent leur présence numérique par le biais de leur site internet.

Bien sûr, tout ne peut pas être diffuser sur le web. Seules certaines archives sont consultables en ligne, elles concernent des documents publics, souvent administratifs. On retrouve notamment les plans de cadastres anciens, l’état-civil et les registres paroissiaux, très souvent utilisés pour la généalogie. Cependant, ce genre de documents demandent des délais de communicabilité plus ou moins longs. Il n’est pas toujours possible de les consulter immédiatement après leur archivage.

La présence en ligne des archives permet aux généalogistes d’effectuer leurs recherches à distance et gratuitement, car les archives sont disponibles en ligne pour la plupart des services d’archives départementales. La numérisation et la présence en ligne permettent également la protection et la préservation des documents d’archives papiers précieux et anciens. De plus, cela permet une présence numérique pour ces centres d’archives. Leur site internet et donc leurs documents sont plus visités et consultés.

Source : http://fr.geneawiki.com/index.php/Archives_en_ligne

Image : http://macewanata.over-blog.com/article-archives-nationales-les-depots-2-2-52029569.html
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L'hypermnésie du web !

Un article très intéressant concernant la présence numérique :

http://www.culturedel.info/cactusacide/?p=5625

Dès lors que l’on se connecte sur le web, des données sont sauvegardées. Le web possède une mémoire, une très bonne mémoire. Les données sont conservées perpétuellement. Ne plus exister sur internet serait de l’ordre de l’impossible ?! Constituer son identité sur le web signifie alors prendre des précautions et ne pas dévoiler toutes sortes d’informations.

Selon les activités pratiquées sur internet, le degré de traçabilité est plus ou moins élevé. La présence numérique constitue le degré le plus élevé de traçabilité. D’une identité sur le web, on passe à une présence numérique.

Le schéma proposé par cet article sur les différents degrés de traçabilité nous permet, par exemple, de savoir ce que certaines actions impliquent sur les réseaux sociaux.
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