Les camps de la mort, lieu de mémoire et d’horreur.
Brûlure, souffrance, expérience terrifiante.
L’humanité n’est plus présente, la mort règne.
Un goût de sang est omniprésent.
Des victimes, il ne reste rien…
Aucune trace, aucune épitaphe,
silence assourdissant qui tambourine dans nos tempes,
cœur brûlés arrachés à leurs identités.
Âmes étouffées dans la tristesse.
Ange livide aux espoirs jamais aboutis.
Comment peut on qualifier un être de dégénéré
simplement parce qu’il a fois en une autre religion
que celle de ces étranges démons qui sont
des êtres tueurs, violeurs et qui torturent par plaisir?
Temps électrique.
Le temps lui seul pourra oublier les cris,
les yeux pleins de rêve arrachés,
le sentiment de joie presque délaissé, abandonné.
Palassin Loréna.