En marge de la mort comme invariant, suggestion de lectures « vivifiantes » (!) sur la mort et particulièrement l’angoisse de mort:
Irvin Yalom, professeur de psychiatrie à Stanford et psychothérapeute, a publié de nombreux ouvrages entre fiction, philosophie et psychothérapie. Je précise que I. Yalom n’est pas croyant, mais il est convaincu que ses écrits peuvent aussi être utiles aux personnes animées de fortes convictions religieuses.
Deux suggestions:
-LA MÉTHODE SCHOPENHAUER (2005):
Un psychothérapeute de San Francisco apprend qu’il lui reste globalement une année à vivre. Il va décider de vivre ces derniers mois comme il a toujours vécu, principalement en poursuivant son travail de thérapie de groupe. Au centre de ses interrogations, un de ses anciens patients nourri de la pensée du philosophe Arthur Shopenhauer.
-LE JARDIN D’EPICURE (2009):
À travers de nombreux exemples vécus en tant que psychothérapeute, la question universelle de la mort et de son corollaire, l’angoisse de mort. Se confronter à notre propre mortalité plutôt que de la fuir est pour lui salutaire: pour mettre de l’ordre dans nos priorités et apprécier d’autant plus la vie.
En marge de la mort comme invariant, suggestion de lectures « vivifiantes » (!) sur la mort et particulièrement l’angoisse de mort:
Irvin Yalom, professeur de psychiatrie à Stanford et psychothérapeute, a publié de nombreux ouvrages entre fiction, philosophie et psychothérapie. Je précise que I. Yalom n’est pas croyant, mais il est convaincu que ses écrits peuvent aussi être utiles aux personnes animées de fortes convictions religieuses.
Deux suggestions:
-LA MÉTHODE SCHOPENHAUER (2005):
Un psychothérapeute de San Francisco apprend qu’il lui reste globalement une année à vivre. Il va décider de vivre ces derniers mois comme il a toujours vécu, principalement en poursuivant son travail de thérapie de groupe. Au centre de ses interrogations, un de ses anciens patients nourri de la pensée du philosophe Arthur Shopenhauer.
-LE JARDIN D’EPICURE (2009):
À travers de nombreux exemples vécus en tant que psychothérapeute, la question universelle de la mort et de son corollaire, l’angoisse de mort. Se confronter à notre propre mortalité plutôt que de la fuir est pour lui salutaire: pour mettre de l’ordre dans nos priorités et apprécier d’autant plus la vie.
Merci ! pour ces suggestions. Je les partage au cours ce jeudi.