Exposition BNF sur Zola

Zola 1 art de l’écrivain art du peintre

Zola bio

Zola engagement

Zola et ses personnages

Zola Bonheur-des-dames

Zola Paris

Exposition BNF sur Sartre

http://expositions.bnf.fr/sartre/

Fiche 1 : L’intellectuel engagé Sartre intellectuel engagé

Fiche 2 : Le travail de l’écriture Sartre l’éciture

Fiche 3 : paysages sartriens : Sartre3

Fiche 4 : Biographie Sartre bio pdf

Entretien Sartre à propos de Huis-Clos + documents.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=k4O_OcTFfMc[/youtube]

Entretien sur la figure de l’intellectuel.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=82TCMShG80Y[/youtube]

L’existentialisme

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=_POT8mmgwgo[/youtube]

http://www.philo5.com/Les%20philosophes%20Textes/Sartre_L’EnferC’EstLesAutres.htm

huis Clos de Sartre. Texte intégral en pdf.

Huis-clos-et-les-mouches pdf

Discours de martin Luther king

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=8ryy7eP0kks[/youtube]

Bonnes vacances

Résultat de recherche d'images pour "bonnes vacances animé"Bonnes vacances à vous tous ! 

Et pour les 1ère, n’oubliez pas de m’envoyer un petit mail pour me tenir au courant, me dire que texte vous avez eu etc…

Programme littérature terminale L

Pour l’année scolaire 2015-2016, la liste des œuvres obligatoires inscrites au programme de littérature de la classe terminale de la série littéraire est la suivante.

A. Domaine d’étude « Littérature et langages de l’image »

Œuvres :

Sophocle, Œdipe Roi (édition au choix du professeur).

Pier Paolo Pasolini, Œdipe Roi, film italien, 1967 (édition au choix du professeur).

Le programme de l’enseignement de littérature en classe terminale de la série littéraire (arrêté du 12 juillet 2011 publié au B.O.E.N. spécial n° 8 du 13 octobre 2011) indique que le travail sur le domaine « Littérature et langages de l’image » doit « conduire les élèves vers l’étude précise des liens et des échanges qu’entretiennent des formes d’expression artistiques différentes ». L’inscription au programme de la tragédie de Sophocle Œdipe Roi (~425 av. JC) et de la version filmique qu’en a donnée Pier Paolo Pasolini (1967) met en jeu les relations entre littérature et langage cinématographique. La pièce de Sophocle et le film de Pasolini relèvent à l’évidence de la relation d’adaptation. La lecture croisée de l’un et de l’autre, recourant aux outils d’analyse adéquats à chacun, permettra aux élèves d’apprécier les œuvres « dans la double perspective de leur singularité et de leur intertextualité ».

Avec Œdipe Roi, Sophocle ouvre une nouvelle ère du tragique, dont les conflits ne jouent plus seulement entre l’humain et des forces divines, mais aussi entre le sujet et sa propre conscience, faisant surgir ainsi l’individu au cœur de la Cité.

L’Œdipe Roi de Pasolini s’affiche comme une réécriture de la pièce de Sophocle. Emblématique du « cinéma de poésie » théorisé par le réalisateur, le film fait de la tragédie antique l’archétype d’un questionnement sur soi, qui met aussi en jeu l’énigme de l’identité créatrice. Doublement dépaysée dans le temps et dans l’espace, la pièce y est enchâssée dans une fable autobiographique qui la réinterprète à la lumière des thèses freudiennes sur le « complexe d’Œdipe ». De la cristallisation initiale à la sublimation finale, le film relate, en s’attachant à manifester cinématographiquement la subjectivité d’un auteur, un parcours initiatique dont la tragédie grecque retrace, en abyme, la préhistoire. Traitée sur un mode onirique, la pièce de Sophocle s’inscrit dans le film à la manière d’un scénario inconscient et archaïque, dans lequel symboles et silences sont aussi signifiants que les mots, les sons et les cris. À la fois autoportrait et figure légendaire, le héros tragique devient, comme dans la pièce antique, le vecteur d’une interrogation sur la condition humaine, dont la portée universelle est clairement signifiée par le syncrétisme culturel qui caractérise le choix des décors, des costumes et de la musique.

La tragédie antique se fait aussi, conformément à sa fonction originelle, l’instrument d’une mise en question du présent. La transposition de la pièce de Sophocle dans un univers « primitif » et « barbare » traduit, chez Pasolini, une nostalgie du sacré, dont l’oubli ou la négation fonde le tragique moderne. L’épilogue du film, inspiré d’Œdipe à Colone, l’infléchit vers une réflexion sur le collectif, de nature politique, qui tout à la fois rappelle l’origine de la tragédie et appelle une réflexion sur le rôle de l’homme, et plus particulièrement de l’artiste, au sein de la Cité.

Quelques ressources pour les professeurs

Sur la tragédie et sur Œdipe roi de Sophocle :

– Aristote, Poétique (trad. J. Hardy), Gallimard, « Tel », 1996.

– Nietzsche, Friedrich, La Naissance de la tragédie, Gallimard, Folio Essais, 1989.

– Sodini-Dubarry, Christine, Étude sur Sophocle, Œdipe roi, Ellipses, « Résonances », 1994.

– Hoffmann, Georges, Œdipe roi, PUF, « Études littéraires », 1990.

Sur le film de Pasolini :

– Bernard de Courville, Florence, Œdipe roi de Pasolini. Poétique de la mimèsis, L’Harmattan, 2012.

– Ceccatty (de), René, Pasolini, Gallimard, « Folio biographies », 2005.

– Duflot, Jean, Pasolini. Entretiens avec Pier Paolo Pasolini, Pierre Belfond, 1970.

– Revue d’esthétique, n° 3 hors-série : « Pasolini », Paris, Jean-Michel Place, 1992.

– Vontrat, Fabienne, « Œdipe roide Sophocle à Pasolini », http://la-psychanalyse-encore.fr/La_psychanalyse_encore/PSYCHANALYSE_et_CINEMA.html

Sur le mythe d’Œdipe :

– Lobo, Ana Lúcia, « Freud face à l’Antiquité grecque : le cas du Complexe d’Œdipe », http://anabases.revues.org/185

– Scherer, Jacques, Dramaturgies d’Œdipe, PUF, 1987.

– Vernant, Jean-Pierre et Vidal Naquet, Pierre, Œdipe et ses mythes, éditions Complexe, « Historiques », 2006.

– Vogin, Magali, « La fuite d’Œdipe de Corinthe à Thèbes », http://etudesromanes.revues.org/620, 2012.

Ressources visuelles :

– Court extrait d’une interview de Pasolini sur Œdipe roi : www.ina.fr/video/I04154749

Plusieurs extraits de différentes versions du mythe d’Œdipe sont visibles en ligne sur le site : http://fresques.ina.fr/en-scenes/parcours/0021/la-tragedie-grecque-et-ses-reecritures.html

B. Domaine d’étude « Lire-écrire-publier »

Œuvre :

– Madame Bovary de Gustave Flaubert

Le programme de l’enseignement de littérature en classe terminale de la série littéraire (arrêté du 12 juillet 2011 publié au B.O.E.N. spécial n° 8 du 13 octobre 2011) indique que le travail sur le domaine « lire-écrire-publier » invite les élèves « à une compréhension plus complète du fait littéraire, en les rendant sensibles, à partir d’une œuvre et pour contribuer à son interprétation, à son inscription dans un ensemble de relations qui intègrent les conditions de sa production comme celles de sa réception ou de sa diffusion ».

Pour l’étude de Madame Bovary de Gustave Flaubert, le professeur privilégiera l’analyse de la genèse qui permet aux élèves de pénétrer dans le laboratoire de l’écrivain et de s’interroger sur le processus de création du roman. Les étapes successives de l’avant-texte (plans, scénarios, esquisses, brouillons et manuscrits) constituent autant d’éléments qui nous donnent accès à l’histoire de la création. Ils rendent manifestes l’obsession et la passion du romancier pour le mot, pour la phrase, son attention aux rythmes et aux harmonies, à la dimension sonore de la langue, inscrivant la quête romanesque dans une aventure poétique, stylistique et esthétique inédite. Flaubert fait du roman un vaste poème narratif, où l’écriture s’astreint à une double exigence de justesse absolue, sur le plan de la diction comme sur celui de la fiction. La transformation d’un fait-divers banal en œuvre d’art éclaire également le travail de l’écrivain en amont du texte. Enfin, la correspondance de Flaubert avec ses contemporains, véritable essai sur l’art romanesque, permet de mieux comprendre la genèse du roman, révélant l’épreuve d’une écriture qui rompt avec le mythe de l’inspiration.

Madame Bovary contribue ainsi à l’invention d’un nouveau rapport au monde. La recherche du « neutre », de « l’impersonnalité », l’égalité de traitement des personnages, des sujets et des points de vue, affranchissent la littérature du devoir de représenter l’ordre constitué. L’écriture flaubertienne porte à sa manière une esthétique de l’âge démocratique, dévoilant un lien inextricable entre poétique et politique.

À cet égard, le professeur pourrait aborder avec les élèves dans une perspective complémentaire la réception très polémique du roman en 1857. Le procès qui s’en suivit notamment montre la complexité des liens entre littérature et société au milieu du XIXe siècle et soulève la question de la moralité à laquelle Flaubert, dans la stratégie de défense qu’il met en œuvre, fait subir un déplacement décisif : répondant à ses adversaires sur leur propre terrain, il substitue par ailleurs aux cadres d’une littérature édifiante corsetée par une morale prescriptive une éthique de l’écriture et de la lecture, fondée sur l’affirmation de l’autonomie de l’art.

Quelques ressources pour les professeurs

– Flaubert, Gustave, Madame Bovary dans Œuvres complètes, Paris, Gallimard, collection « Bibliothèque de la Pléiade », 1951, t. I, appareil critique rédigé par René Dumesnil, p. 271-289.

Sur la genèse du roman :

– Plans et scénarios de Madame Bovary, présentation, transcription et notes de Y. Leclerc, Paris, CNRS Éditions / Zulma, coll. « Manuscrits », 1995.

– Transcription intégrale des manuscrits de Madame Bovary, sous la responsabilité de D. Girard et Y. Leclerc, Bibliothèque municipale de Rouen au centre Flaubert : http://www.bovary.fr/.

– De nombreux sites nationaux ou académiques proposent des ressources pédagogiques utiles pour le programme. Citons principalement les sites de Rouen, Grenoble, Versailles mais aussi celui du réseau Canopé (voir notamment l’article de Caroline d’Atabekian).

– De Biasi, P.-M., Gustave Flaubert, Une manière spéciale de vivre, Grasset, 2009, particulièrement les chapitres 6 (« Entrer en littérature »), 7 (« Madame Bovary, c’est qui? ») et 8 (« Le procès du style »).

– Gotot-Mersch, Cl., La Genèse de « Madame Bovary », Paris, Corti, 1966 ; Genève, Slatkine Reprints, 1980.

Flaubert, (Gustave), Correspondances, Paris, Gallimard, collection « Bibliothèque de la Pléiade », 1980, t. II (1851-1858).

Sur la poétique du texte :

– Mitterand, Henri, « Flaubert et le style », Les Mots de Flaubert, n° 27, décembre 1965, p. 4-10.

– Proust, Marcel, Pastiches et mélanges, 1919 (le pastiche qui relate l’affaire Lemoine à la manière de Flaubert pourra être proposé aux élèves).

– Rancière, Jacques, Politique de la littérature, Galilée, 2007.

Un écrivain dans son siècle :

– Winock, Michel, Flaubert, NRF biographies, 2013.

Sur la réception du roman :

– Baudelaire, Charles, M. Gustave Flaubert, Madame Bovary et la Tentation de Saint-Antoine.- L’Artiste, 18 octobre 1857.

– Sainte-Beuve, C.-A., Variétés. Littérature. Madame Bovary, par Gustave Flaubert. Le Moniteur, 4 mai 1857.

– Leclerc, Yves, Crimes écrits. La littérature en procès au XIXe siècle, Paris, Plon, 1991.

– Bourdieu, P., Les Règles de l’art – Genèse et structure du champ littéraire, Seuil, 1992, réédition collection « Points », 1998.

– Vatan, Florence,« Outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs », Gustave Flaubert et la « morale de l’Art », dans Pensée morale et genre littéraire, sous la direction de Jean-Charles Darmon et Philippe Desan, Paris, PUF, 2009, p. 139-158.

 

Pour la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche
et par délégation,
La directrice générale de l’enseignement scolaire,
Florence Robine

Lectures estivales !

Pour les classes de 2nde – 1ère

Poésie

Prévert, Paroles

Baudelaire, Rimbaud, Apollinaire… Feuilletez des anthologies si vous en avez à la maison.

Théâtre

Molière, Dom Juan**

Racine, Andromaque**

Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard**, Les Fausses Confidences**

Musset, Comédies et Proverbes : Les Caprices de Marianne, On ne badine pas avec l’amour**

J Anouilh, Antigone*

Cocteau, La Machine infernale*

E Ionesco, La Leçon* Rhinocéros * La Cantatrice chauve**

JP Sartre, Les Mains sales**, Les Mouches**, Huis Clos**

Apologue

La Fontaine, Fables, Livres VII et VIII**

Voltaire, Zadig, L’Ingénu, Micromégas**

I Calvino, Le Vicomte Pourfendu *, le chevalier inexistant*

D Daeninck, Cannibale*

A Huxley, Le Meilleur des mondes**

R Lewis, Pourquoi j’ai mangé mon père**

G Orwell, La Ferme des Animaux **

Roman

Chrétien de Troyes, Perceval*

Mme de La Fayette, La Princesse de Montpensier ***, La princesse de Clèves***

Les Mille et Une Nuits, GF*

H de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu**, Les Illusions perdues**, Le lys dans la vallée * 

J Conrad, Fortune *

A Dumas, Le Comte de Monte-Cristo*, Les trois mousquetaires *

G de Maupassant, Bel-Ami*

M Shelley, Frankenstein*

J Verne, Voyage au Centre de la Terre * Le tour du monde en 80 jours *

O Wilde, Le Portrait de Dorian Gray*

E Zola, Pot-Bouille*, Nana**

A Camus, L’Etranger**

M Duras, Un Barrage contre le Pacifique** La douleur*

A Fournier, Le Grand Meaulnes *

R Queneau, Zazie dans le métro, *

A de Saint-Exupéry, Terre des Hommes*

B Vian, L’Ecume des Jours **

S Zweig, Amok*, Retour dans le passé*, La Confusion des sentiments… *

 

Pour le plaisir ! 

A Brink, Une Saison blanche et sèche *

Tracy Chevalier, La Jeune Fille à la perle*

Ph Claudel, La Petite Fille de M. Linh *

P Coelho, L’Alchimiste *

Dai Sijie, La Petite Tailleuse chinoise *

Umberto Eco, Le Nom de la rose**

A Gavalda, Ensemble, c’est tout *

Laurent Gaudé, La Mort du roi Tsongor*, Eldorado *

Ph Grimberg Un Secret *

Nancy Houston, Lignes de faille *

Douglas Kennedy, La Poursuite du bonheur, Les Charmes discrets de la vie quotidienne*

Sepulveda, Le Vieux qui lisait des romans d’amour *

P Süskind, Le Parfum *

F Vargas, Pars vite et reviens tard *

corrigés bac 2015

Dans la page annales vous trouverez les consignes de correction de l’écrit. Mais restez concentrés sur l’oral !

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« Saluer la voix vivante des écrivains »

Laurent Gaudé a réagi lundi 22 juin dans un court texte. Le prix Goncourt 2004 affirme « comprendre » l’angoisse des lycéens et lève le mystère sur le « tigre bleu » :

« Dans ce texte, Alexandre Le Grand parle à la mort et raconte une dernière fois sa vie. Il évoque notamment la rencontre qu’il a faite avec un animal imaginaire et mythologique : le tigre bleu. Dans ces terres de Mésopotamie où coulent deux fleuves, le Tigre et l’Euphrate, le félin et le fleuve ont le même nom, oui. La poésie invite, à travers des jeux d’échos, des métaphores, des associations d’idées, à développer l’imaginaire et l’émotion ».

Libre à l’élève donc d’interpréter à sa façon le texte poétique. S’il fait part de sa « surprise » d’avoir vu son œuvre sélectionnée pour le bac aux côtés de celles de Racine et Ionesco, l’auteur se félicite de l’introduction de textes contemporains au programme de l’examen : « Une manière pour le pays (…) de saluer la voix vivante de ses écrivains ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/bac-lycee/article/2015/06/23/bac-2015-laurent-gaude-defend-son-tigre-bleu_4659828_4401499.html#ltXXvUZvbIH7kZqm.99

Courage et bonne chance !

Pour ceux qui ont l’impression de partir au front !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=AZa9ae0Oz9g[/youtube]

Pour ne pas ressembler à ce pauvre Perceval si vous choisissez L’Ecriture d’invention !

http://kaamelott.co/livre-4/la-poetique-2-1re-partie/

http://kaamelott.co/livre-4/la-poetique-2-2e-partie/

Attention à votre botte secrète… à utiliser avec parcimonie à l’oral !

http://www.kaamelott.info/livre-1/71-la-botte-secrete.html#.U6r-XZR_uSo