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« Le sumo qui ne pouvait pas grossir », E. Schmitt, Albin Michel

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Jun a quinze ans, il est tout maigre, vit dans les rues de Tokyo de ventes à la sauvette d’objets hideux, déteste ses parents et est harcelé par Shomintsu, un maître de sumo, qui « voit un gros en lui ». A contre-coeur, il accepte d’assister à un combat de sumo, et là, quelque chose se passe en lui qui lui donne l’envie d’en connaître plus sur cet art martial. Un beau et court roman initiatique !


14 commentaires

  1. (3.5) J’ai adoré ce livre car il se lit vite et comme il n’y a pas de chapitres on ne s’arrête qu’à la fin. J’ai trouvé le début très bien réussi, on connait les protagonistes rien qu’en lisant la première page : Shomintsu, un sumo, et Jun le garçon de 15 ans qui vit seul. « Je vois un gros en toi », c’est ce que dit Shomintsu dès qu’il rencontre Jun dans la rue mais il le prend pour un fou vu sa corpulence. Mais lorsqu’il entre dans l’école de Shomintsu, il l’écoute et grâce à lui, il arrive à se découvrir lui-même, et j’ai bien aimé ce moment du livre. Par contre, j’ai trouvé la fin beaucoup trop rapide, Jun apprend tout sur lui trop rapidement mais on n’a pas le temps de se dire que ça va trop vite puisque la fin est proche. C’est le meilleur livre que j’aie lu, et je le conseille fortement.

  2. (2.5) Ce livre est un livre intéressant qui montre que même si les gens se sentent seuls, ils peuvent quand même réussir à quelque chose dans la vie comme Jun dans « Le sumo qui ne pouvait pas grossir ». J’ai été pris dès le début dans l’histoire. J’ai surtout aimé le moment où Jun s’entraine pour devenir gros mais qu’il n’y arrive pas.
    Ce livre est vraiment bien, je le recommande pour les lecteurs amateurs car il n’est pas long à lire.

  3. (2) Un livre très intéressant qui arrive à montrer aux lecteurs qu’il n’y a pas d’âge pour se retrouver dans la rue et que même dans la misère on peut toujours avoir un rêve même s’ il est pratiquement impossible à réaliser. Ce livre se lit très vite et il est accessible à tous malgré un langage quelquefois choquant. C’est pour moi un livre assez bien.

  4. (3)Le sumo qui ne pouvait pas grossir.
    Mercredi après midi au soleil sur un banc. C’est le calme total et rien de tel pour lire un bouquin.
    Il devait être 13h15 et je me suis mise à lire cet ouvrage qui avait l’air d’être court. Page après page, je m’attache à l’histoire. Deux heures après je clos enfin la dernière page de livre.
    J’ai aimé bof bof. Le livre est d’une simplicité enfantine. Mais l’histoire manque de descriptions qui me paraitrait importantes. Par exemple, je trouve que l’auteur aurait pu développer le moment quand il devient « fan » du Sumo. Ce sport est particulier, et Jun est un peu réticent au début, mais Shomintsu, voit un gros en lui. Or, Jun a 2 problèmes, premièrement, il a beau manger comme quatre, il ne prend que quelques centaines de gramme, il se muscle mais rien, son corps n’a pas l’air de vouloir évoluer.
    Deuxièmement, Jun a des problèmes personnels, il est orphelin, enfin le livre nous réserve la surprise. Il vend des broutilles dans la rue au noir, Jun n’a rien pour lui et pourtant il s’accroche, un peu tardivement, mais oui il s’efforce d’y arriver. Ce qui m’a plu dans ce livre, c’est le fait que Jun ait beaucoup de volonté. Quand on veut, on peut et ça il l’a bien compris.
    Pour récapituler, ce livre était certes très facile à lire, mais je regrette les détails, l’histoire était courte, mais on accroche vite à l’histoire. Je le conseille tout de même parce que rien ne vous empêche d’inventer une autre fin ou de faire jouer votre imagination.
    Autre remarque: Je conseille Oscar et la dame rose, du même auteur.

  5. (4) »Je vois un gros en toi  » , c’est la phrase que répète chaque jour un maître du sumo à un jeune garçon de 15 ans loin d’avoir le physique du sumo idéal .
    J’ai lu ce livre écrit par Eric-Emmanuel Schmitt en un peu moins de deux heures dans le train , il est très agréable et simple à lire , je le conseille aux « petits lecteurs » .
    Ce qui m’a plus dans ce roman c’est tout le chemin qu’a parcouru Jun pour arriver à son rêve, tout au long du livre on ressent ses angoisses, ses joies, ses peines, ses moments de doutes …
    Pour conclure je dirais que c’est un des livres qui m’a le plus plu dans tous ceux proposés , et pas besoin d’être fan de l’Asie et ses coutumes pour apprécier pleinement ce livre rempli d’humour et d’amour .
    « Le sumo qui ne pouvait pas grossir  » un livre à lire absolument .

  6. (1) Bon livre facile et rapide à lire.
    Je préfère le début du livre où l’enfant est dans la rue, avec le temps j’accrochais mieux. Le héros a une vie très mouvementée entre la mort de ses parents, le besoin de faire de la contrebande pour survivre et ensuite le vieux qui lui propose de devenir sumo. J’ai aimé la façon dont l’auteur raconte l’histoire.

  7. (2.5) « Le sumo qui ne pouvait pas grossir » de Eric-Emmanuel Schmitt est un livre qui, lorsque j’ai vu le titre, ne m’emballait pas du tout, j’avais l’impression d’avoir un livre pour bébé. Mais, une fois la trentaine de pages dépassées, j’ai commencé à me mettre dans l’histoire, l’écrivain a tourné cette histoire d’une façon qui m’a bien plu. Ces enchaînements au cours de la vie de Jun ont été intéressants et surtout le cours de l’histoire, que j’ai apprécié. Ce petit garçon veut s’en sortir tant bien que mal en vivant dans la rue et tout d’un coup un vieillard, en lui disant « je vois un gros en toi », va faire changer le cours de son existence, lui donner une autre vision de lui et lui apprendre beaucoup de choses sur ses parents qu’il déteste tant. La narration avec laquelle les apprentissages, les premiers matchs de sumo de JUN sont racontés ont été pour moi un vrai plaisir à lire.
    J’ai plus apprécié ce livre que « La rebelle ».

  8. (3.5) « Je vois un gros en toi », tels sont les mots de Shomintsu, et c’est sur cette phrase que débute le livre. J’aime assez la manière dont l’auteur nous immerge dans son histoire, mais d’un autre côté je me demande si l’auteur ne serait pas un peu amoureux de cette phrase ? On la retrouve partout ! Au début, au milieu, au 1/4 du livre, et l’histoire se finit même par, devinez quoi ? Et oui vous l’aurez bien compris, il y a un gros en lui !! En fait, avec ce livre l’auteur a surement voulu que l’on ne retienne qu’une seule phrase qu’il a lui même trouvé cool. Mais bon passons. Je critique ce livre mais dans le fond, je l’ai plutôt apprécié. D’un côté, c’est vrai qu’on plonge très rapidement dans l’histoire; elle se lit plutôt vite, à peine le temps d’ouvrir le livre et de regarder la première page qu’il est déjà fini (quand même pas mais bon, presque). Il faut à peu près 2 heures pour le lire. Si je devais le conseiller à un certains type de lecteurs, ce serait bien les petits lecteurs, car des lecteurs plus avisés pourraient s’ennuyer à le lire. Et d’un autre côté, avec tous ces gros, on sait plus trop où on se situe nous dans tous ça ! La preuve en est, que, malgré tout, je n’ai pas très bien compris la « fin/chute » de ce livre, cela est fort ennuyeux …

  9. (3.5) « Le sumo qui ne pouvait pas grossir » est un livre que j’ai lu en un week-end seulement. Je me suis impressionné moi-même, le matin en me réveillant je pensais à ce livre que je devais lire et je ne m’endormais pas si je n’avais pas un peu lu. J’aime beaucoup la façon dont est écrit ce livre, déjà pas de chapitres, donc on ne sais pas quand s’arrêter, et donc on ne s’arrête pas… Il est simple à comprendre, écrit avec classe, les dialogues sont souvent en langage familiers, et le cadre de ce texte est très bien décrit, on peut facilement voir dans notre tête le décor et imaginer les personnages.
    C’est une histoire vraiment intéressante que celle de Jun, un jeune japonais de 15 ans, très maigre, vivant à Tokyo, sans logement, et qui doit vendre ce qu’il trouve pour se nourrir. Il s’est déconnecté de sa famille. Puis il rencontre cet homme, Shomintsu, avec qui ça n’a vraiment pas marché au début. « Je vois un gros en toi » lui dit-il à chaque fois qu’il le croisait dans sa rue. Shomintsu est en fait à la tête d’une école de sumo, que Jun va découvrir par la suite. Grâce a un ticket d’entrée pour un match, il se trouve un idole, Ashoryu, le « yokozuna »= champion des champions.
    Je recommande vivement ce livre, qui prouve que même en partant de rien, on peut tout avoir, que même si on critique, on peut toujours trouver du bon dans ce que l’on critique. J’ai réellement apprécié ce livre. J’ai même prévu de lire d’autres ouvrages d’Eric-Emmanuel Schmitt.

  10. (3) J’ai trouvé ce livre très intéressant dans l’ensemble.
    L’histoire est superbe, d’abord parce que l’auteur joue sur les sentiments du lecteur (la vie d’un jeune garçon dans la rue qui essaie de gagner de l’argent comme il peut), puis il énonce des morales de la vie très vraies et très utiles.
    Ce qui est dommage c’est que la fin est trop rapide, on connait toute la vérité en trop peu de temps.
    Quand on lit le livre on se pose beaucoup de questions sur le futur de Jun le jeune ado qui veut devenir sumo et c’est ce qui nous pousse à lire la suite.
    C’est un livre court et facile à lire qui peut plaire à de nombreuses personnes.

  11. (3.5) « Le Sumo qui ne pouvait pas grossir », franchement, quand on lit ce titre on peut se poser des questions sur l’histoire.
    Malgré les questions qu’on se pose, ce livre est très agréable à lire, je l’ai lu d’ailleurs assez vite. Même moi qui n’aime pas vraiment lire en fait j’ai adoré. J’étais vraiment dedans.
    J’ai bien aimé l’histoire de Jun qui vit dans la rue, déteste ses parents, et qu’un jour il rencontre Shomintsu un maître-sumo qui lui répète tous les jours la même phrase : « je vois un gros en toi », mais Jun l’insulte et refuse d’aller à un match de sumo et qui finalement accepte l’invitation.
    Quand on lit, on se pose sans cesse des questions sur la vie de Jun, « Comment il va vivre sa vie plus tard? Deviendra t-il un sumo ? … »
    J’ai bien aimé comment le livre était écrit car tous les détails sont donnés, comme par exemple quand il y a un match de sumo, toutes les techniques pour faire tomber son adversaire.
    Au fur et à mesure du livre l’histoire devient de plus en plus intéressante et on ne peut plus s’arrêter de le lire car on veut toujours savoir la suite.
    A la fin du livre je suis tombée de haut sur la révélation que fait Shomintsu à Jun.
    Livre très intéressant et notamment pour les gens qui n’aiment pas vraiment lire 🙂

  12. (1.5) J’ai bien aimé ce livre, car l’auteur joue sur les sentiments du lecteur. Le personnage principal, Jun, est attachant, en effet, l’auteur a choisi comme personnage un jeune garçon sans parents comptant sur la rue pour vivre. Sa vie va être bouleversée grâce à un sumo qui voit un gros en lui. Nous suivons Jun dans toutes ses péripéties qui donnent au lecteur un effet de compassion ; jusqu’à la fin du livre, nous ne savons pas quel va être son destin.

  13. (1.5) Bon livre aéré qui se lit vite et facilement. C’est l’histoire d’un adolescent chinois qui s’appelle Jun et qui a été abandonné par sa mère et qui pour survivre vend des ramasses-poussières dans la rue. Un jour, il fait la connaissance de Shomintsu, un professeur de sumo qui « voit un gros en lui ». Tous les jours, Shomintsu dit en passant devant Jun toujours la même chose et à chaque fois, Jun l’insulte et un jour, Shomintsu offre un ticket à Jun pour aller voir un combat entre sumos… Ce livre est très captivant et nous raconte l’ascension dans la société d’un gamin qui a grandi dans la rue…

  14. Ce livre me plait parce que l’enfant dit des mots vulgaires et que le sumo dit qu’il y a un gros à l’interrieur de l’enfant mais l’enfant ne veut pas comprendre. Alors il vend des marchandise dans un coin de rue où il y beaucoup de personnes.
    Et j aime bien aussi parce que l’histoire se passe au japon.

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