Allemagne, 1943. Sophie Scholl, son frère Hans et leurs amis sont entrés en résistance. Sous le nom de La Rose blanche, le groupe d’étudiants appelle à la chute du IIIième Reich. Ils impriment des tracts qu’ils diffusent à l’université ou dans les boîtes aux lettres, posent des affiches, tentent de mobiliser la jeunesse contre le régime nazi et sa politique dévastatrice. Arrêtés par la Gestapo, ils sont exécutés pour l’exemple après un simulacre de procès le .
Pour évoquer cet épisode sombre de l’histoire allemande, Paule du Bouchet a inventé le personnage d’Elsa, meilleure amie de Sophie. Convaincue, mais incapable de s’engager en actes, Elsa écrit. C’est son journal imaginaire qui permet au lecteur de vivre, grâce à des retour en arrière, la prise de conscience progressive des réalités du régime : restriction des libertés, montée de l’antisémitisme et persécutions qui s’ensuivent, élimination des enfants handicapés. C’est aussi l’occasion de dire les privations, la peur, la suspicion, la lâcheté mais aussi la bonté et la dignité de quelques uns. Le journal s’ouvre le 15 février 1943, soient trois jours avant l’arrestation de Sophie et s’achève le 18 mai par l’arrestation de la narratrice. Un épilogue renseigne ensuite sur la destinée d’Elsa.
J’ai adoré ce livre, en effet l’histoire de la résistance des jeunes allemands pendant la guerre est très instructive. Le fait que cette histoire soit associée à l’histoire d’Elisa qui montre ouvertement dans son journal intime toutes ses pensées, son amitié pour Sophie Scholl rend ce livre moins ennuyeux.
Il est très intéressant d’avoir plusieurs personnes différentes : Elisa une résistante non militante, Sophie Scholl ses amis et l’oncle d’Elisa des résistants militants contre le nazisme et léo un juif en fuite.
J’ai bien aimé ce livre car c’est l’histoire de l’Allemagne en 1940 sous une forme romancée. Beaucoup de thèmes sont abordés : l’amitié, l’amour, la solidarité, la trahison, ce qui rend le livre très facile à lire. Ce livre étant guidé par les émotions permet une réelle identification aux personnages. Et nous qui sommes adolescent, qu’aurons nous fait à leur places ? Je conseille donc ce livre à tout types de lecteurs.
Ce livre est un mélange de réalité historique et de fiction.
On aborde la Seconde Guerre Mondiale vécue par de jeunes étudiants allemands qui militent contre Hiltler, par l’intermédiaire d’Elisa qui écrit son journal intime en tant que spectatrice de ces événements.
Il est intéressant de voir le quotidien de cette guerre à travers le regard de ces jeunes allemands qui se battent contre leur propre pays, mais j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de généralités et peu de détails au sujet des actions menées. Je n’ai pas réussi à m’identifier aux personnages, on ne vit pas leur quotidien.
Le style du journal intime n’est pas assez vivant, il y a beaucoup de sentiments et d’émotions, mais pas d’actions. Elisa raconte sa vie avec beaucoup de retours en arrière, et il est parfois difficile de retrouver le fil ; elle parle beaucoup de sa peur, et de sa honte de ne pas pouvoir s’investir davantage dans la lutte avec ses amis. Elle raconte ses regrets et ses états d’âme.
Il s’agit toutefois d’un livre court, facile à lire,mais dans le calme, pour se mettre dans le contexte, et que je conseille aux lecteurs qui aiment le style «journal intime» et qui pourraient s’identifier à Elisa, pour qui le dénouement est finalement heureux, malgré toutes les horreurs qu’elle a pu voir.
Mon amie, Sophie Scholl, est un livre intéressant car il mélange fiction, avec le personnage de Elisa, et réalité, avec les évènements de la 2nd guerre mondiale. Ici ce qui est mis en valeur, c’est la résistance des jeunes, le mouvement de la Rose Blanche.
A travers son journal intime, Elisa raconte les temps forts envers son amour Léo, mais aussi les aventures risquées qu’ont pris ses amis, tel que Sophie sa meilleure amie ou encore son frère, opposants au régime nazis. La peur est très souvent avec Elisa, car elle suit de près le mouvement de ses amis, en ayant la crainte de les savoir arrêtés pour leurs actes. Quant à elle, Elisa n’ose pas participer, elle ne se sent pas assez « forte » . A plusieurs reprises, elle a fui son domicile, après avoir été arrêtée, elle fut relâchée, mais les membres de la Rose Blanche furent exécutés.
Ce livre est bien, j’ai bien aimé le fait que ce soit raconté sous forme d’un journal intime, mais je n’ai pas totalement accrochée.
Une histoire très touchante, parlant du nazisme et de la résistance d’un groupe de jeunes appelé la ‘Rose Blanche, racontée avec une grande émotion par Elisa, l’amie de Sophie qui, elle, fait partie intégrante de la résistance. Elisa qui tient un journal intime, y décrit ses peurs, ses angoisses et surtout son envie de participer à cette révolution qu’elle regarde impuissante. Elle voit disparaître peu à peu tous ces proches pour la même cause. En lisant ce livre, nous pouvons vivre avec elle la peur de se faire prendre, la fierté d’avoir fait, même un peu, bouger les choses et tant d’autres émotions qui nous submergent. Ce livre n’est pas dur à lire, on s’y plonge rapidement et l’on s’y croit ! Il nous transmet une vraie leçon de vie, je le conseille donc vivement à n’importe quel lecteur !
J’ai bien aimé ce livre qui raconte la vie en Allemagne pendant la période nazie, car cela m’a appris beaucoup de choses à propos de cette période, comme par exemple le manque de nourriture ou encore le manque de charbon pour se chauffer. Je suis aussi d’accord avec Cécile pour dire que ce livre déborde d’émotions, comme quand Elsa nous fait parvenir ses sentiments de solitude, ou quand elle pense que ses amis résistants sont morts. Elsa aussi n’avait pas le courage de faire de la résistance et je me demande aussi, moi qui ai leur âge, si j’aurais pu faire de la résistance comme eux, et je pense que non car il faut beaucoup de courage. Les membres de la « Rose Blanche » devaient en avoir, car ils savaient qu’affronter une aussi grosse organisation était un risque énorme, mais ils l’ont fait. Le seul inconvénient de ce livre est qu’il y ait des retours en arrière quand Elsa parle. Mis à part cela, ce livre se lit facilement.
Ici, le livre s’inspire de l’histoire réelle d’un groupe de jeunes résistants allemands.
J’ai beaucoup aimé ce livre.
Il était très touchant: Elisa connaît une triste fin ainsi que Greta ,Sophie ,Hans…
Ce que j’ai aimé dans se livre c’est qu’on parle rarement des allemands qui ont résisté, et pourtant il est important de montrer que tous ne partageaient pas les idées d’Hitler.
je le conseille car il est facile à lire.
J’ai beaucoup apprécié ce livre qui était très touchant. Le mélange entre le côté historique illustrant la « Rose Blanche », un groupe de jeunes allemands résistants et le côté fictif où Elisa, l’amie de Sophie, raconte par le biais de son journal intime l’histoire de cette dernière m’a paru très intéressant. Certes, j’aurais préféré que cela soit plus développé, mais j’ai tout de même pu apprendre certaines choses à propos de la vie des adolescents résistants à cette époque, et notamment que certains Allemands ont eu, eux aussi, le courage de se confronter au nazisme à cette époque de l’Histoire. En le lisant, je me suis souvent posé la question de ce que nous, adolescents en 2012, aurions eu comme comportement à la place de ces personnes. Ce livre déborde également d’émotions car, étant un journal intime, c’est Elisa qui nous compte ses sentiments face aux difficultés rencontrées dans sa vie : c’est-à-dire un mélange de crainte et d’admiration envers Sophie et le courage de ses camarades de la « Rose blanche ». Elle y écrit toutes ses peurs, ses questionnements mais aussi ses moments forts. C’est un livre très facile à lire qui ne m’a pas demandé beaucoup de temps, mais qui m’a donné du plaisir. Les phrases sont très simples. Je le conseille vraiment aux petits lecteurs.