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(Vosquestionsdeparents du 2/11/9)

Le mur de Berlin

Mur de Berlin : la fiche pédagogique de TV5

Riccardo Ehrman, le journaliste qui a précipité la chute du Mur de Berlin (Rue89 du 5/11/9)

L’université de Magdebourg cherche ses étudiants surtout à l’Ouest de l’Allemagne (Le Monde du 5/11/9)
En direct du Monde

Comment la presse américaine juge la 1ère année d’Obama (Libération du 4/11/9)

Vaste rénovation pour la tombe de Toutankhamon (Le Parisien du 10/11/9)

Un 11 Novembre sous le signe de l’entente franco-allemande (Le Monde du 10/11/9)

La guerre de 1914 en BD (Le Monde du 11/11/9, blog Le Comptoir de la BD)

Cicatrices de guerre (Ed. La Gouttière) : la guerre de 1914 au quotidien par 26 auteurs de BD (Le Figaro du 11/11/9)
Géographie

Le Mont Blanc a perdu 45 cm: Il va falloir réviser les manuels de géographie.

Le Mont Blanc s’élève désormais à 4810,45 m (Le Parisien du 5/11/9)

La NASA a survolé l’Antarctique (Le Monde du 5/11/9)

Comment trouver un stage ?

7 étapes pour trouver un stage sur le site Canaldesmétiers.tv

Le jeudi noir, 24 octobre 1929

La Bourse de Wall Street, à New York, se souvient du jeudi 24 octobre 1929 comme d’un «Jeudi noir» (Black Thursday en anglais).

L’environnement d’avant Krach
La première guerre mondiale s’achève grâce au soutien logistique et militaire des Etats-Unis. Le XXème siècle débute ainsi sur une hégémonie américaine, alors que l’économie du XIXème siècle avait été dirigée par la toute puissante Angleterre. Cette victoire, et cette forte croissance développent la confiance des américains. Ainsi la production industrielle d’après-guerre s’envole en quelques années.
Cette croissance économique, basée à 15% sur le crédit à partir de 1925, fait s’envoler les résultats des entreprises. Ces dernières voient leurs titres grimper inexorablement en bourse. Les américains ont trouvé une nouvelle manière de s’enrichir : acheter des actions pour les revendre plus haut et ainsi dégager des plus-values. La hausse des cours étant ininterrompue, pourquoi ne pas s’endetter pour acheter des actions ?

C’est ce que font en masse les particuliers, et les banques n’hésitent pas à prêter de fortes sommes pour de tels investissements. Les Etats-Unis comptent rapidement 15 millions d’investisseurs en actions à travers tout le pays.
Toutefois, les prémisses d’un retournement se font sentir. Certains n’hésitent pas à observer que la majorité des nouveaux titres introduits sur le marché étaient destinés à racheter d’autres titres. Les entreprises n’augmentent plus leur capital pour se développer mais pour acquérir d’autres titres.

Le Krach de 1929 ou Jeudi Noir
Le krach est directement lié à la spéculation: il était plus intéressant de jouer à la bourse plutôt que d’investir ou de consommer.
Le principal détonateur du krach de 1929 est lié à la hausse des taux d’intérêts. De 1927 à 1929, les taux d’intérêts sont montés de 4,06% à 7,6% à cause du nombre important d’achats à crédit et de l’exportation de masses de capitaux à l’étranger par les Etats-Unis.

Beaucoup d’investisseurs ayant acheté leurs titres à crédit, ne peuvent plus rembourser les intérêts qu’ils doivent verser, la hausse des actions devenant inférieure au coût de l’emprunt. Le cycle vicieux est entamé.
Le jeudi 24 octobre (jeudi noir), les cours de la bourse jusque-là orientés à la hausse s’effondrent, suscitant une immense panique dans le milieu des actionnaires.

Les investisseurs sont paniqués et vendent en masse leurs titres pour éviter de voir leurs actions s’effondrer.
Les banques tentent d’enrayer la baisse, mais la confiance est perdue. Le 29 octobre, plus de 16 millions de titres sont ainsi échangés, participant à la baisse des cours qui durera jusqu’en 1933. Les pertes boursières ont une répercussion immédiate sur le système bancaire américain, constitué d’une multitude de petites banques dans l’incapacité de réagir face à la situation. En quelques semaines, on compte plus de deux milles faillites qui ont un impact immédiat sur l’activité économique. On passe ainsi rapidement d’une crise financière à une crise économique, qui se traduit par un recul spectaculaire de la production.

Personne ne se doute que le monde occidental est entré dans la plus grande crise économique de son Histoire.
C’est que des centaines de milliers de ménages ont emprunté pour spéculer à la Bourse et qu’ils comptaient rembourser leurs dettes en revendant leurs actions. Avec la chute des cours, ils se retrouvent ruinés.
Les banques auxquelles ils ont emprunté se déclarent en faillite. Les commerces et les entreprises sont à leur tour affectés par la ruine des banques et des consommateurs.

La production industrielle s’effondre de plus de moitié en trois ans, les prix baissent des deux tiers. Les petits fermiers sont jetés sur les routes. On compte bientôt treize millions de chômeurs aux États-Unis et en l’absence de cotisations sociales, une grande partie d’entre eux doivent s’en remettre à la charité publique.

Diffusion à l’ensemble du monde

Le reste du monde est affecté par ricochets. En 1929, les États-Unis concentrent 45% de la production industrielle mondiale et 1/3 du commerce mondial. La crise se traduit également par un arrêt des importations américaines. En outre, face à leurs difficultés intérieures, les Américains rapatrient les capitaux investis à travers le monde, contribuant ainsi à exporter la crise. Les pays les plus touchés sont les pays les plus étroitement liés à l’économie américaine. Ainsi en Allemagne, qui vivait depuis le milieu des années 1920 grâce à l’aide économique américaine, la crise est très violente. Elle est par contre plus atténuée en Grande-Bretagne et au Japon, mais la secousse est néanmoins sévère. La France, où l’économie capitaliste est moins développée, n’est touchée qu’à partir de 1931. La contraction générale du commerce mondial entraîne une récession économique qui touche l’ensemble du monde. Ainsi, la crise n’épargne pas les grandes puissances agricoles comme le Brésil où le café ne trouve plus d’acheteurs et est brûlé dans les locomotives. Les colonies subissent également le contrecoup de la récession des métropoles. Finalement, seule l’URSS de Staline, dont l’économie est repliée sur elle-même et obéit à d’autres critères, échappe à la dépression.

En Allemagne, l’économie est en ruine, le chômage qui frappe les classes moyennes (près de 25% de la population active) favorise la remontée électorale du parti nazi. Son leader, Adolf Hitler, voyait son étoile pâlir en 1929. Trois ans plus tard, il accède au pouvoir dans les derniers mois de la crise…

Conclusion

Aujourd’hui on connait le mécanisme des « Krachs », c’est toujours le même scénario  une bulle spéculative se forme et une étincelle déclenche une explosion dévastatrice. En ce qui concerne 1929 : une inflation exagérée de la valeur de la bourse, du crédit en masse, toutes les banques prêtent. Cette bulle est sans fondement et entraine un éclatement.

Les pouvoirs n’interviendront pas ce qui entrainera une grande récession, une déflation, des tensions économiques et politiques qui seront le déclencheur de la 2ème guerre mondiale.

Olivia CIUPA (3eme C)

Sources :
le Web pédagogique, Edubourse, le reportage sur les « Krachs » diffusé sur France 2 le 29 octobre 2009.

Rembrandt, un peintre moderne

Rembrandt est né à Leyde (Pays-Bas) le 15/07/1606. Il meurt à l’âge de soixante-trois ans à Amsterdam (Pays-Bas) le 04/10/1669. Peintre, graveur et également compétent en dessins, il est considéré comme l’un des plus grands peintres de l’histoire de l’art baroque européen, et le plus grand des peintres néerlandais du XVIIe siècle. Ses contributions à l’art sont venues à une période que les historiens appellent l’âge d’or hollandais. Il a influencé de très nombreux artistes par ses étonnantes palettes de couleurs or, ocre et noir.

ENFANCE

Rembrandt Harmenszoon van Rijn naît à Leyde, il est le huitième des neuf enfants dans une famille relativement aisée qui mettra l’accent sur son éducation. Toutefois, Rembrandt n’est pas fait pour les études universitaires et se tournera rapidement vers l’art. il apprendra aussi bien la peinture d’histoire, que le dessin et la gravure.

SA VIE
Il s’installe en 1931 à Amsterdam où, entré en contact avec une clientèle de riches négociants , il ne tarde pas à s’imposer comme portraitiste. Il réalise un portrait du roi Charles Ier.
Rembrandt se marie avec la nièce de son marchand d’art : Saskia van Uylenburg , chez lequel il s’était d’ailleurs installé en 1631. Il représentera sa femme dans de nombreuses toiles, portant divers costumes et accessoires. Il peindra également son fils Titus issu de ce mariage.  Sa femme meurt de la tuberculose en 1642. Titus est élevé par sa servante Hendrickje Stoffels devenue sa compagne. Celle-ci lui donne une fille : Cornélia.
Rembrandt vivant au-dessus de ses moyens, achetant des pièces d’art, des costumes dont il se sert souvent dans ses peintures, il n’arrive plus à honorer ses dettes en 1656. Il doit alors vendre sa maison et se contenter d’un logis plus modeste sur Rozengracht. Hendrickje et Titus y installent une boutique d’art pour faire vivre la famille, car la renommée de Rembrandt chute et les commandes ne suivent plus. Il survit pourtant à Hendrickje(décédée en 1663) et Titus, mort en 1668. Seule sa fille Cornelia est à ses côtés quand il meurt le 4 octobre 1669. Pauvre, il est inhumé dans l’église de Wesker.

SA TECHNIQUE
Son inspiration est le plus souvent mythologique, biblique ou historique. Il ne cessa de s’interroger sur la condition humaine.
Rembrandt a réalisé près de 600 peintures, 300 gravures et 2000 dessins. Grâce à son goût pour les autoportraits (une centaine réalisée tout au long de sa carrière), on peut suivre son évolution personnelle, tant dans son apparence physique que dans ses émotions. Une des caractéristiques majeures de son œuvre est l’utilisation de la lumière et de l’ obscurité (technique du Clair-obscur), qui attire le regard par le jeu de contrastes appuyés. Rembrandt aime aussi représenter des scènes de la vie quotidienne, des groupes sociaux avec compassion et humanité qui ressort dans l’expression de ses personnages, qui sont parfois pauvres et âgés.

Antoine DEVILLE (4eme C)

Sources :dictionnaire de la langue française, encyclopédie Larousse
http://www.curiosphere.tv/agenda/rembrandt/tout-savoir/accueil.html
http://www.linternaute.com/biographie/rembrandt-1
http://expositions.bnf.fr/rembrandt/reperes/01.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rembrandt
http://www.jesuismort.com/biographie-rembrandt-1014.php


Un portrait de Charlemagne

Introduction
Charles dit le grand ou Charlemagne, est né le 2 avril, probablement en 742 ou 748. Il est mort à Aix-la-Chapelle le 28 janvier 814.
Il est roi des Francs (768-814), devient par conquête roi des Lombards (774-814) et est couronné Empereur par Léon III le 25 décembre 800, relevant une dignité prestigieuse disparue depuis l’an 476 en Occident.
Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes successives, en particulier par la lente mais violente soumissions des Saxon païens (772-804).
Souverain réformateur, soucieux d’orthodoxie religieuse et de culture, il protège les arts et les lettres et est à l’origine, dans son vaste Empire, du Brillant Mouvement ultérieurement qualifié de renaissance carolingienne.
Son œuvre politique immédiate ne le survit pas longtemps. L’Empire est partagé entre ses trois petits fils dès le Traité de Verdun en 843.

Couronnement impérial
Le jour de noël de l’an 800, charlemagne est couronné Empereur d’occident par le Pape   Léon III à Rome, en la Basilique Saint Pierre.
Si l’Empire d’orient peine à reconnaitre ce titre, charlemagne bénéficie d’une légitimité nouvelle. Malgré quelques difficultés sporadiques à l’est, les frontières de l’empire sont stables et charlemagne ne consacre avant tout à la politique intérieure durant les quatorze années de son règne.
Souhaitant moraliser le pays, il multiplie les initiatives favorisant une meilleure organisation de l’Empire et un renouveau culturel : c’est la Renaissance Carolingienne.

Fin de règne
Quelques années avant sa mort , charlemagne projette de partager ses territoires entre ses trois fils. Cependant deux meurent  entre 806 et 813. Sentent ses forces décliner, charlemagne décide finalement de transmettre son titre d’Empereur à Louis. Louis le Pieux est couronné en 813.
Un an plus tard, charlemagne décède dans sa capital, Aix-la-Chapelle.
Les extensions territoriales :
Dès 773, il scelle son union avec le Saint-Siège en attaquant les Lombards qui capitule à Pavie. Dès lors, Charlemagne se donne pour mission de christianiser l’Europe et notamment les rois saxon.
En 782, Charlemagne est aux prises avec l’ancien chef saxon Widukind qui le bat au mont Sunthal. Le roi franc fait alors preuve d’une violence inouïe en ordonnant l’exécution de 4500 otages retenus à Verden. Finalement Widukind sera battu en 785.
En 788, il s’attaque à Tassilon duc de Bavière qui conspire contre lui avec les saxons. Il le réduit à l’impuissance et ajoute ses états à son empire.
En 791, avec l’aide de son fils Pépin d’Italie, il mène contre les Avars une première expédition.
En 795, il réussit à s’emparer de leur camp retranché.
En 805, les derniers Avars rebelles sont définitivement soumis.

Conclusion
En restaurant l’Empire, charlemagne à contribué à stabiliser l’Europe du Moyen Age et à asseoir la présence et le pouvoir de l’église. Cependant, son immense Empire ne le survivra pas.

Sources : jesuismort.com, wikipedia, l’internaute, francehistoire.free

Lorenzo SAVIO (5eme D)

Les dieux égyptiens

Les égyptiens ont adoré des milliers de dieux : ils étaient polythéistes.
Chaque ville, chaque oasis d’Égypte avaient ses dieux. Chaque dieu fait référence à un lieu précis et à une époque déterminée. La plupart étaient représentés avec un corps humain et une tête d’animal, ils portaient à la main la croix de vie et le bâton du pouvoir. Les dieux étaient très présent dans la vie quotidienne du peuple égyptien.

Les divinités égyptiennes représentent les différents aspects de la vie quotidienne de l’Antiquité : la vie, ma mort, le cycle du Nil, l’agriculture, le jour et la nuit. La religion égyptienne accorde une grande importance aux animaux : vache, bélier, taureau,cobra, vautour, chat, crocodile,ibis … Mais l’animal n’est pas adoré en tant que tel, on honore à travers l’animal le symbole, la puissance qu’il incarne. Les dieux sont à l’image des hommes, ils ont une âme, ne sont pas parfaits, se querellent, se font la guerre, se marient, ont des enfants et meurent.

On regroupe les dieux sur le modèle « père – mère – fils » c’est une triade. La triade la plus connue : Osiris, Isis, Horus.

OSIRIS – le dieu de la mort et de la renaissance, père
Il est représenté comme un homme momifié au visage vert ou noir coiffé de la couronne blanche.

ISIS – la déesse, mère
Isis est la femme d ’Osiris et le mère d’Horus, elle est la magicienne qui favorise la résurrection des morts.

HORUS – le dieu du ciel, fils
Fils d’Isis et d’Osiris, dieu du ciel et du soleil, il est le protecteurs des pharaons.Les égyptiens croyaient que les inondations, les sécheresses, les famines ou les épidémies étaient provoquées par la colère des dieux. Comme il existait beaucoup de dieux, les égyptiens consacraient énormément de temps à la prière et à la construction de temples. Ainsi, ils espéraient que les dieux allaient être satisfaits et qu’ils allaient les protéger. Ils recherchaient soutien et protection contre les forces du mal.

L’un des plus beaux mythes égyptiens était celui des funérailles. Une fois morte la personne était momifiée. Lorsque la personne était déposé dans son tombeau, les égyptiens croyait qu’elle était jugée par un tribunal divin. Les dieux décidaient si le mort était digne de vie éternelle. Pour en être digne, il fallait avoir été juste, bon et fidèle aux dieux toute sa vie. Dans la salle du jugement, on croyait qu’il y avait une balance avec deux plateaux .Cette balance servait à peser le cœur de la personne décédée. D’un côté on y plaçait le cœur et de l’autre une plume. Si le défunt avait été bon toute sa vie, les plateaux s’équilibraient et le mort entrait dans la vie éternelle. Au contraire, s’il avait été mauvais, il était dévoré par un monstre à la fois crocodile, hippopotame et panthère.

Source principale pour cet article : L’Egypte, site de Caroline FERLAND et Caroline LAFLAMME

Rosalie PARENT (5ème C)

L’histoire en chaussettes

De quoi avez-vous besoin pour apprendre l’histoire ? De chaussetets, bien évidemment… Si on accepte ce postulat de départ, tout devient possible ! C’est ce q’a fait une paire de zozos échappés du Jamel Comedy Club (Yacine et Dédo). Leur web-série a d’ailleurs obtenu un prix au festival de fiction TV de La Rochelle.  Au programme aujourd’hui, Jésus et Judas !

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x6qft6_n1-lhistoire-racontee-par-des-chaus_fun[/dailymotion]

Pour en découvrir plus (la construction des pyramides, l »invention de la seconde et même la guerre du Vietnam), il vous suffit de cliquer I C I .

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