Les vingt ans de la chute du mur

CLICHÉ d’un jour

10/11/2009

Crédit : F. BENSCH / REUTERS  –  paru dans 20 minutes.fr

J’ai hésité avant de choisir le thème – archi rabbatu – de la célébration de la chute du mur de Berlin . Dés que les médias se saisissent de ce type d’évènement, plus rien ne les arrête… Ni les approximations, ni le sensationalisme ! Alors dans ce flot d’images, j’ai cherché ce qui vraiment m’avait marqué. Excepté l’excellent documentaire de Patrick ROTMAN, Un mur à Berlin, ce sont quelques brefs instants durant la cérémonie officielle qui m’ont marqués. Trop brefs instants…

Cette photo, par exemple, prise le 10 novembre 2009, en début d’après-midi. On y voit la chancelière allemande Angela MERKEL, accompagnée de l’ex-numéro un soviétique Mikhaïl GORBATCHEV. L’ancien leader syndical polonais Lech WALESA était aussi à leurs côtés, mais absent sur cette photo. Tous trois ont franchi le pont de la Bornholmer Strasse, un point de passage du Mur de Berlin ouvert pour la première fois sans contrôle il y a 20 ans aux Allemands de l’est.

Voir cet homme en ce lieu, vingt après, cela m’a touché. On a beaucoup dit sur Gorbatchev – tout et souvent n’importe quoi. L’Occident l’a célébré et la Russie détesté. Et aujourd’hui ? C’est un symbole, certes… Cependant, en le voyant aux côtés de la chancelière, j’ai soudain pris conscience du temps qui avait passé. Et voir cet homme me rassure certainement quelque part.

J’avais 20 ans à l’époque et la chute du mur avait fait naître en moi énormément d’espoirs. Vingt ans après, il est encore là. Et j’y crois encore. Mais l’attente est longue… Trop ?

Bruno SENTIER

La guerre des boutons portables

Il y a bientôt un siècle paraissait un bouquin qui devait se transformer  en best seller : « La Guerre Des Boutons ».

L’autre jour, alors que je cherchais désespérément mon téléphone portable (ne me dites pas que cela ne vous arrive jamais…..), je me suis laissée aller à imaginer ce que serait cette fable si nous devions la réécrire aujourd’hui.

Warum ?…… Vous allez très vite comprendre.

Voici, en vrac, ce que cela a donné. Je vous laisse faire le tri, je sais que les visiteurs de ce blog sont parmi les plus sensés de la blogosphère.

Tout d’abord, au niveau du décor, il est clair que nous serions très ambitieux : L’histoire ne se résumerait pas à l’analyse des conflits entre paroisses (Longeverne et Velrans, souvenez-vous), gamins, instit’s et paysans, mais serait planétaire.

De même, au niveau des personnages, il nous faudrait représenter la diversité du monde telle que nous la vivons au quotidien. Le grand Braque, P’tit Gibus, Grangibus, la Marie Tintin, Camus, l’Aztec des Gués (ça y est, ça vous revient ?) nous viendraient des 5 continents, ne parleraient peut-être pas les mêmes langues, n’auraient pas les mêmes cultures.

Enfin et surtout, les butins de guerre ne seraient certainement plus de simples boutons, mais, disons, …., les portables (nous y voilà).

Il y a un siècle, la richesse d’un enfant était grande. Elle était faite de chacun des liens qu’il tissait avec ses copains d’école. Il se nourrissait de son imaginaire, quand il se baladait, seul, en forêt, au détour du retour de l’école. Enfin il avait ses boutons, qui le permettaient de rester digne quand il rentrait chez lui.

Aujourd’hui, vous avez le portable. Si vous le cassez, le passez à la machine, si vous dépassez votre forfait, vous méritez les torgnoles que Lebrac recevait quand il perdait ses boutons. Vous ne vous baladez plus dans les forêts, mais surfez dans le monde entier. Vos amis ne sont plus les seuls dix copains de classe, vous comptez vos contacts par centaines, c’en est même un signe de prestique. Dans le même registre, d’ailleurs, si l’Aztec des Gués existe dans votre réseau, il s’agit certainement de celui qui la ramène toujours, vous savez, avec son  iPhone tout neuf.

Aujourd’hui, à l’idée de vous faire voler votre portable, vous suez sang et eau. Comme Lebrac quand son pantalon lui tombait par terre. Tout pareil.

Et pourtant, aujourd’hui, il y a encore des enfants dont les boutons sont la seule richesse.

Alors, comme eux, comme la Marie Tintin en 1912, même si l’objet diffère : prenez grand soin de l’usage que vous faites de votre portable. Point trop n’en faut. Les vrais amis se comptent sur les doigts d’une main. Il est bien sûr grisant d’accéder à tout ou presque en pianotant juste sur votre clavier. Mais demandez-vous si vous vous concentrez bien sur l’essentiel.  Et comprenez l’anxiété de vos parents à ce sujet : c’est tout simplement parce qu’ils savent que cette toute petite chose vous ouvre des portes vers des horizons dont ils ignoraient même l’existence quand ils avaient votre âge.

Cecileray

Les livres qui ont du succès au CDI

En ce mois de Novembre voici une petite sélection de livres chouettes qui ont fait le succès du CDI depuis la rentrée. Mais, n’ont-ils pas tous du succès ???…

Dans l’univers du contes, on  trouvera « Contes à l’envers » de DUMAS, Philippe et MOISSARD, Boris aux éditions Ecole des Loisirs.
Voici cinq contes « classiques » minutieusement démontés confrontés aux réalités d’aujourd’hui, ironiquement remontés et illustrés avec humour: La belle histoire de blanche-neige, Le Petit Chaperon bleu marine, Le don de la fée Mirobola, La Belle aux doigts bruyants et Conte à rebours.

Au niveau de la poésie, « Antara le poète du désert » de MASSOUDY, Hassan aux éditions Alternatives a fait le succès du CDI en cette première période.
Superbement calligraphié par Hassan Massoudy, le récit de la vie d’Antar – ou Antara – (525-615) nous présente ce héros de différentes chansons de geste comme un homme lancé à jamais dans la recherche de sa propre liberté.

Du côté roman centré du la vie affective, l’inévitable « Petit Nicolas » de GOSCINNY, René et illustré par SEMPE, Jean-Jacques aux éditions Gallimard, n’a pas échappé aux mains des élèves.
Les histoires mettent en scène un petit garçon, Nicolas, dans un environnement urbain pendant les années 1950, où se mêlent l’humour et la tendresse de l’enfance. Le personnage, identifié par un dessin au trait, nous livre ses pensées intimes grâce à un langage d’enfant créé par Goscinny .Les thèmes sont, bien sûr et avant tout, ceux de l’enfance (comme la camaraderie, les disputes, les rapports avec la maîtresse d’école, les premières amourettes) mais Goscinny décrypte également le monde complexe des adultes (comme le fait Titeuf aujourd’hui) : rapports entre voisins, avec son patron, avec une belle-famille, l’éducation, disputes familiales…

Le roman et récit merveilleux « L’indien du placard » de BANKS, Lynne Reid aux éditions école des loisirs a également plu aux collégiens.
Pour son anniversaire, on offre à Omri une figurine en plastique représentant un Indien. Le lendemain, Petit Taureau a pris vie ! Il est même très vivant : insolent, exigeant, susceptible… doté, pour tout dire, d’un sale caractère. Celui-ci ne s’améliore pas avec l’arrivée d’un cow-boy lui aussi très vivant ! La fable d’un enfant qui devient responsable d’un être aux yeux duquel il est un géant. De cette responsabilité nouvelle, naît la maturité… et le plaisir du lecteur.

« Mon ami Frédéric » de RICHTER, Hans Peter aux éditions Hachette a été le roman historique le plus emprunté.
Hans et Frédéric sont dans la même école et habitent le même immeuble. Ils sont devenus inséparables. Mais Frédéric est juif, et dans l’Allemagne hitlérienne, mieux vaut ne pas l’être. Rapidement, les vexations se transforment en violences. En 1942, un jour où Frédéric voudra se réfugier à la cave pour échapper aux bombardements, on ne le laissera pas entrer… Une écriture d’une grande sobriété au service de ce récit sur la vie quotidienne en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale.

Du côté fantastique, « Le fils des loups » de SURGET, Alain aux éditions Rageot a été apprécié.
Pélot part chercher du bois avec son père avant que la « Bête », qui sème la terreur dans la forêt vosgienne, ne s’approche trop près des habitations. Mais il s’égare, ne retrouve plus son père. La « Bête » est sur ses talons… Il parvient à lui échapper une première fois et, dans sa course, sauve un louveteau. On croit sentir le souffle de la meute, sa chaleur, entendre ses plaintes dans la forêt. Vivre avec les loups, devenir leur familier, un rêve d’enfant que propose ici un auteur inspiré.

« Enquête au collège » de ARROU-VIGNOD, Jean-Philippe aux éditions Gallimard est le roman policier qui a transformé nos élèves en détectives en herbe !
Le collège est sous le choc : on a agressé Mr Cornue, l’assistant du prof de sciences nat’ ! Pour le proviseur, pas de doute : c’est un interne qui a fait le coup. Tout semble accuser Rémi Pharamon, cancre bien connu de la 4e B. Tout et surtout, son meilleur ami, P.P. Cul-Vert ! Le spectre du conseil de discipline n’est pas loin. Il faudra toute l’énergie de nos deux compères et de leur amie Mathilde pour faire éclater la vérité.

A l’occasion des 50 ans de la création de la bande dessinée, « Astérix et Obélix » de UDERZO, Albert et GOSCINNY, René, les élèves ont dévalisé les rayonnages où siégeaient nos héros !

DERNIÈRE MINUTE !

Presse quotidienne : abonnements gratuits pour les 18-24 ans
Recevoir un quotidien gratuitement une fois par semaine et pendant un an, c’est l’offre que propose le ministère de la culture en partenariat avec les éditeurs de presse aux 200 000 premiers jeunes âgés de 18 à 24 ans qui s’inscrivent sur le site www.monjournaloffert.fr à partir du 30 octobre 2009. Surtout, n’hésitez pas à en profiter, l’offre est réservée aux 200.000 premières demandes !

Kelly FISCHETTI

Article réalisé à l’aide de l’ouvrage « Littérature jeunesse au collège » du CRDP de l’académie de Grenoble.

Ecrire est un plaisir difficile à partager

BLOG A PART
Saison 1 : épisode 2
Edito,

Difficile d’expliquer le plaisir qu’on peut ressentir à se retrouver seul face à cet écran (presque) blanc. Jadis, j’ai connu le calvaire de la copie, puis de la page blanche. La peur au ventre lorsqu’il y avait la réussite d’un examen à la clé, j’utilisais un brouillon, puis deux, puis trois pendant deux ou trois heures. Puis venait le moment crucial où il me fallait quitter le crayon gris pour me saisir du stylo plume. L’encre commençait alors à s’écouler sur la page pour ne plus s’arrêter avant le point final. Plus rien n’existait autour de moi, ni les bruits, ni les gens. Seul un regard furtif sur ma montre me donnait la mesure du temps qui passait. Toujours trop court.

Aujourd’hui, je n’utilise plus de stylo plume – les tâches d’encre récurrentes ont eu raison de ma patience et ma maniaquerie. Il reste le plaisir. Ce plaisir simple de pouvoir mener les mots là où je veux et quand je veux. Je n’aime pas qu’on me lise avant qu’un article soit terminé. Je n’aime d’ailleurs pas l’écrire trop tôt. Un peu comme avec mes feuilles de brouillon, j’aime bien me promener autour du sujet, lire des informations ici et là, y réfléchir, penser à une phrase puis à y renoncer. A l’heure de publier les articles de chacun, j’ai soudain réalisé que je venais de partager ce plaisir de l’écriture avec vous, « rédacteurs d’un mois« . Vous aussi vous avez du vous y reprendre à plusieurs fois (Philippe et Béatrice me comprendront mieux que d’autres), vous aussi vous avez hésité avant de m’envoyer votre article. Et moi qui croyait que ce plaisir était trop intime pour être partagé…

Rendez-vous compte : en seulement deux mois, nous prenons ensemble conscience que quelques jeunes aiment lire, mais aussi écrire ! De plus, ce mois ci, certains ont vraiment voulu partager leur coups de cœur, leur passion (de la danse jusqu’au plaisir de voyager). je ne saurai achever cet Edito sans saluer comme il se doit l’arrivée d’Elise COQUELLE et de Charles FLÈCHE dans l’équipe de nos chroniqueurs. Anciens partenaires de scène (et de classe), ces amis ont accepté de nous faire partager chaque mois leur vie « un peu plus loin » de chez nous. Pour la première, c’est à Cracovie, en Pologne. Pour l’autre, c’est à Londres, au Royaume-Uni.

Mais je ne vous en dit pas plus et vous laisse au plaisir de découvrir ce tout nouveau numéro de Blogapart !

Bruno SENTIER

Pourquoi fuir l’Afrique ?

EPOQUE EPIQUE
Pourquoi fuir l’Afrique ?

A l’occasion d’une séquence d’introduction sur l’Afrique, en classe de 5ème, j’ai eu l’occasion de faire le bilan d’un peu toutes les idées reçues des élèves sur ce grand continent. Après l’évocation du désert, des animaux sauvages et des populations noires, la pauvreté s’est rapidement invitée parmi les représentations. Je ne pouvais hélas que confirmer cette réalité : ce continent est aussi pauvre qu’il est dynamique et porteur d’espoirs dans certaines de ses composantes – d’aucun se chargera de nous le rappeler à l’occasion de la prochaine coupe du monde de football qui se tiendra en Afrique du sud. Répondant à quelques questions, énumérant quelques chiffres pour étayer mon raisonnement, la petite voix de Juliette L. s’est soudain imposée pour me demander. « Monsieur, s’ils sont si malheureux, qu’ils viennent en Europe, et on n’en parlera plus ! »

Cette belle et non moins spontanée générosité m’a tout d’abord fait marquer un temps d’arrêt. J’avais déjà brossé un tableau si noir de la situation, que je n’avais pas envie d’en rajouter – surtout face à un raisonnement si logique et si porteur d’espoirs pour son auteur… Je n’ai donc pas osé briser d’un seul coup ce rêve illusoire – pour ne pas dire naïf – mais « heureusement » encore récurrent à cet âge où l’on ose encore croire que tout est possible.

J’ai montré à Juliette les places restées vides dans la rangée qui était à sa droite. Je lui en ais vanté les mérites (on voit mieux le tableau, l’éclairage est meilleur, je leur donnerai des Bonus, etc…) et demandé si elle avait envie de changer de place – puisque ce jour là elle était seule à sa table. Bien évidemment, elle a voulu engager cette migration salvatrice ! Seulement, quand j’ai expliqué à ceux de l’autre rangée qu’ils allaient devoir partager leur Bonus et moins s‘étaler sur leur table, ils se sont presque tous opposés à ce changement.

Ce n’était pas un piège et encore moins du prosélytisme. C’était juste l’explication simple et pratique que partager, ce n’était pas simple au quotidien. Alors quand il s’agit d’accepter que les plus démunis viennent vivre avec nous, c’est encore moins évident. Je suis un peu triste Juliette, de ne pas avoir pu d’apporter d’autre réponse. Mais la réalité est encore plus sombre que celle que tu as cru découvrir ce jour là…

Bruno SENTIER

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x7ls5n_economie-africaine-le-developpement_school[/dailymotion]

Coups de Coeur d’Octobre 09

COUPS DE COEUR
Un Livre, un Jeu, un Film…

Un LIVRE

Le donjon de Naheulbeuk

Genre : BD
Caractère : humour

C’est un livre d’aventure et d’action, avec le groupe déchainé de 7 aventuriers et aventurières (nain, elfe, magicienne, barbare, voleur, ogre, et à la tête du groupe, le ranger). Prêts à relever tous les défis, ils doivent réunir 12 statuettes pour accomplir une prophétie  et seul un gnome des forêts du nord unijambiste dansant à la pleine lune au milieu des 12 statuettes enroulé dans du jambon, ouvrira la porte de « seuralbak » et permettra  l’accomplissement de la prophétie.

Toujours le bon moment pour rire, ils font n’importe quoi mais réussissent tout de même à battre les ennemis… ils ont deux plans d’attaque… Soit ils attaquent et font couler le sang de leurs ennemis jusqu’à la dernière goutte… Ou bien ils fuient devant 15 ogres armés jusqu’aux  dents avec les restes de leurs victimes encore accrochés à l’épée ! C’est souvent cette dernière attitude qu’ils choisissent, plutôt que de  se faire massacrer ! Mais, un ménestrel insouciant que le groupe d’aventuriers a rencontré sur sa route a essayé de chanter une chanson à un ogre armé d’un bâton où deux boules de piques sont logées à chaque extrémité… L’elfe a du faire le docteur et le nain, pendant ce temps s’est amusé à dire au ménestrel : « ça fait mal quand j’appuie là ? » bien sûr, la réponse ne pouvait être qu’un gros « Aïeeeee !»

Un JEU

Dofus

Support : ordinateur (PC, Mac, Linux)

C’est un jeu d’aventure et d’action, où le but et de récupérer les Dofus, les précieux œufs de dragons, qui eux sont maintenant morts… Plusieurs serveurs s’offrent à vous, choisissez-en un parmi vos envies.
Incarnez votre personnage parmi les « races » proposées, il y a : Eniripsa, sram, ecaflip, xelor, enutrof, osamodas, iop, sadida, sacrieur, cra, feca et pandawa.
Dans le jeu, des donjons, des quêtes vous sont proposés pour gagner des kamas, la monnaie du jeu et aussi de l’expérience, pour passer des niveaux et gagner de nouveaux sorts.
Il y a aussi les guildes, qui réunissent plusieurs joueurs qui ont envie de partager leurs modes de jeu, et ne pas jouer en solitaire. Il y a bien sur Bonta et Brakmar, deux villes ennemies qui vous proposent de devenir « ange» ou « démon ». Mettez le nom des personnages à l’envers, pour certains, cela fait des mots (ex : cra = arc)

Mais, malheureusement, on est obligé de s’abonner pour avoir accès à tout l’univers du jeu. ..


Un FILM


Super héro movie

Type : Humour

Ce film d’action, d’humour et fantastique créé par Craig Mazin raconte la vie d’un jeune homme particulièrement malchanceux qui se fit piquer par une libellule dont l’ADN a été modifié au cours d’une expérience.
Le groupe d’élèves était alors dans le laboratoire d’animaux génétiquement modifiés quand le docteur Strom, l’ingénieur, aussi guide de la visite se rendit compte qu’une libellule sur 7 qu’il avait, s’était échappée. Ce fut sur Ryke Ryker, le jeune homme suivit pendant tout le film, qui se fit piquer. Il découvre au fil du temps qu’il a des pouvoirs. Mais, il n’y a jamais de super héro sans un puissant méchant. « Le sablier », le nouveau nom de Lou Lander, un visionnaire s’en prend alors aux personnes que Ryke fréquente et aime.

par Timothée BARLOY (4e E)

buy windows 11 pro test ediyorum