Home » NOS RESSOURCES: LIVRES, FILMS, REVUES... » Nouveautés DVD – Les films de Sergueï Paradjanov

Bienvenue sur le blog de notre Médiathèque

Bonjour à tous ! La médiathèque dispose d'un blog et pour les lecteurs, l'outil est un bon complément au site www.institutfrancais.ro et au catalogue www.carthame.ro consultable en ligne Vous allez trouver les programmations mensuelles, les concours, les expositions, les rencontres bref, tout le quotidien du lieu par écrit et par image. Vous pouvez découvrir également, nos coups de cœur pour des lectures, des films ou des musiques en tous genres. Il ne vous reste qu'à profiter de ce nouveau service ! Vous êtes tous invités à participer à la vie de ce blog et n’hésitez pas à nous laisser vos commentaires. Consultez régulièrement tous les onglets pour suivre notre actualité! L'équipe de la Médiathèque
juin 2024
L M M J V S D
 12
3456789
10111213141516
17181920212223
24252627282930

Archives

Catégories

Nouveautés DVD – Les films de Sergueï Paradjanov

Sergueï Paradjanov

parajanov6

(9 janvier 1924, Tbilissi en RSS de Géorgie – 20 juillet 1990 à Erevan en Arménie)

Artiste pluriethnique, musicien, plasticien, peintre, créateur de légendes et même auteur de légendes sur sa propre vie, Paradjanov est né Sarkis Yossifovitch Paradjanian, le 9 janvier 1924, à Tbilissi (ancienne Tiflis), en Géorgie, dans une famille d’ethnie arménienne. Réalisateur controversé en Union soviétique, il a été très défendu et apprécié par les cinéphiles occidentaux.

Il a élaboré une œuvre cinématographique en prise directe sur les traditions des régions où il tourne (Ukraine, Géorgie, Azerbaïdjan, Arménie).

Comme son père, Iossif Paradjanian, était antiquaire, Sergei Paradjanov a eu un contact précoce avec les objets d’arts, qui ont façonné son imaginaire et son goût pour les collections. Il a inspiré sa pratique stakhanoviste des collages, qui tiennent à la fois de l’art conceptuel et du folklore naïf ; des films compressés en quelque sorte, que Paradjanov bricolait lorsqu’il ne pouvait pas tourner (en prison notamment).

Pour Paradjanov, l’essentiel n’était pas la narration mais la vision, l’image. Il disait s’inspirer souvent de ses rêves et ne faisait pas de distinction entre un tableau et un film.

La Médiathèque du Centre Culturel Français de Cluj

vous présente quatre films de son oeuvre


Les chevaux de feu (1965)

Paradjanov a été découvert dans les festivals internationaux avec ce film. Tiré de l’œuvre de Mikhaïl Kotzioubinski, ce conte met en scène des bergers et bûcherons des Carpates ukrainiennes. Douze chapitres retracent la vie tragique d’Ivan, paysan accablé par le destin, mis au ban de sa communauté.

chev

Sayat Noya / La couleur de la grenade (1968)

est inspiré de la vie d’un poète arménien mort en Géorgie. Au lieu d’un récit linéaire, le film se compose d’une série de tableaux vivants représentant des moments clés de la vie du poète. Paradjanov déclare : « Il m’a semblé qu’une image statique, au cinéma, peut avoir une profondeur, telle une miniature, une plastique, une dynamique internes… »

Paradjanov - Sayat Nova4

La Légende de la forteresse de Souram (1984)

le film est tirée d’une nouvelle du Géorgien Daniel Chonkadzé selon laquelle une forteresse ne peut être sauvée de la ruine que si un homme y est emmuré.

flFl_Illustration_17790

Achik Kérib, conte d’un poète amoureux (1988)

c’est tiré d’une nouvelle du poète russe Mikhaïl Lermontov, rappelle les contes des Mille et une nuits : un jeune troubadour pauvre tombe amoureux de la jolie fille d’un riche marchand. Pour pouvoir l’épouser il décide de faire fortune en parcourant le monde.

ashikkerab

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sergue%C3%AF_Paradjanov

http://simpleappareil.free.fr/lobservatoire/index.php?2008/02/17/47-sayat-nova

http://www.espritsnomades.com/sitecinema/paradjanov/paradjanov.html


Leave a comment

juin 2024
L M M J V S D
 12
3456789
10111213141516
17181920212223
24252627282930

Archives

Catégories

buy windows 11 pro test ediyorum