MAIRUNOVICH

MAIRUNOVICH  de

ZAKURI SATO

L’histoire est centrée sur  Mairu, une lycéenne, c’est la fille la plus moche de son lycée. Un jour elle décide de changer et le lecteur suit la progression vers son but. C’est un shojo (manga pour fille) qui est vraiment captivant pour les personnes qui aime ce style de manga.

J’ai bien aimé les dessins (surtout les garçons 😉 ).

Le scénario est assez « nunuche », tout comme l’héroïne. L’héroïne est aussi très pleurnicharde et maladroite, c’est assez lassant, heureusement pour elle qu’elle a des amis de confiance.

Mélina

Voici les critiques de Clara =D !!!

Prêts à savoir ce que je pense de Mairunovich ( que Mélina a détesté =D ) ?

 Hé bah c’est parti !!

Résumé:

Mairu est un genre de remake de Nadeshiko Yamato – un autre shojo qui se révèle être dans le même style -. D’abord en quoi un remake ?

C’est à cause du thème : la fille moche, pas vraiment attirante (forcément, elle est moche ), elle est surnommée d’ailleurs le « champignon vénéneux »  – quelle orignalité!!! – et vit avec son grand frère qui la considère comme un larbin qui cuisine bien. Et à la suite d’une très très mauvaise blague de la part des garçons de son lycée, Mairu souhaite changer. Elle supplie son ami d’enfance et voisin, Fuwari, un travesti gay – ça c’est original ! -, de la rendre jolie et agréable à regarder. Ainsi, métamorphosée, elle attire maintenant les regards masculins. Mais le plus populaires des garçons de son bahut Tenyu Kumada décide de l’aider dans son projet de trouver l’amour, puisqu’une fois devenue belle, elle pense qu’un petit ami est ce qui lui manque le plus. De nombreux jeunes hommes, plus ou moins beaux, commencent à lui tourner alors autour….

Mon avis :

Mairunovich. Il n’est absolument pas innovant au niveau du concept, pas tellement d’originalité dans la personnalité de l’héroïne, passive au possible. Mais, parce qu’il y a un « mais ». L’originalité réside en particulier dans le travesti Fuwari et son petit frère Jun, un des protagonistes des histoires d’amour de Mairu, qui sont hilarants. Je trouve que c’est l’un des bons points du manga ainsi que le beau « character design ». L’auteur a de l’expérience, elle est notamment l’auteur de  » Obaka-chan  » un autre shojo sur une héroïne assez marginale, et on retrouve le même genre de recette, mais les ingrédients sont pourtant différents. Les garçons sont décrits comme ils le sont réellement pour la plupart, uniquement focalisés sur l’apparence des filles ( que celui qui me donne tort soit lapidé et occis par une foule en délire de Justin Bieber !!)  ce qui nous rappelle la faiblesse de l’adolescence, qui se concentre essentiellement sur le paraître… Que c’est dommage, oui c’est vraiment dommage.

Mais je digresse…

Tenyu est bien rigolo lui aussi, le héros qui lance des phrases qui n’ont parfois rien à voir avec la situation – on embête la logique -, et qui a souvent faim. Raison de sa relation avec Mairu, elle lui fournit à bouffer, lui l’aide avec les mecs, et tout le monde il est content, point barre.

Mairu est » sympatoche », sans plus, c’est pas l’héroïne du siècle, elle n’est pas trop niaise et naïve non plus (bon point ! ), son frère est vraiment méchant, son voisin la méprise, son meilleur ami est un trav’, et le mec qui l’aide à en conquérir d’autre est un beau gosse. Quoi, vous rêviez d’une vie encore plus exaltante et passionante que celle-ci ?  ( moi je veux un travesti blond pour moi toute seule pour qu’il me maquille *o*)

Clara